Contact #23 – Visite de la ville

by Oct 25, 2021Moment présent

deux femme discute vu de l'intérieur d'une voiture

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Découvrez les images exclusives jamais publiées de la collection personnelle d’Errol Gagné qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1970 et 1975. Une époque très peu documentée.

l’arrivée

La visite dans le centre ville par Régis lors de notre première rencontre nous a fait voir un monde différent de notre réalité. Ma réalité c’est le quartier de pauvres des gens dans la réalité de sans sous.  

petit dans si grand

Le photographe remarque la hauteur et la petitesse de l’humain dans le déplacement dans ce réseau de vie. A travers les buildings des trottoirs des arbres des rampes. Des et-cetera qui ornent le visuel des bâtiments.

La tête dans les airs c’est là que se situe le regard des gens de ce monde de la finance et de la prospérité.

Les mains dans les poches Régis le guide du voyage dans la nouvelle ville de vie est au-dessus de tout sifflant presque devant la grandeur.

Des bureaux vides après les heures de travail c’est le centre ville de la ville de Montréal et de toutes les autres agglomérations de travail de bureau les mains dans les poches Régis le guide du voyage dans la nouvelle ville de vie est au-dessus de tout sifflant presque devant la grandeur.

la salle est prête

Enfin la paix dans un endroit chic. Je sens la grandeur de la richesse. Quand je vois ça, je me réfère à ma connaissance. Le salon chez moi était réservé pour les invités. Cet endroit est libre et doit attendre des invités.

Tient en voici un dans ce grand salon affairé dans ses projets. Une action ou plusieurs à faire pour une concrétisation de ceux-ci.

A chaque instant, quand on se  sent seul dans une grande ville on peut compter surle métro et ses vagues de gens se succèdent à chaque arrivé.

Je continue a m’occuper des dernier mais je doit juste me préoccuper de mon arrivé et de ma nouvelle direction car je ne suis jamais le dernier.

Tient, encore un esseulé qui choisit l’exercice.  Le cœur va pomper mes muscles se faire de l’étirement mes bras se faire aller à droite à gauche  les genoux travailler leur flexibilité. Chaque montée que je gravis est un plus pour moi. Ma santé gagne de la force.

On passe tassez vous. Dans l’éthique de monteurs d’escalier roulant il y a comme sur la route une voie de dépassement. Pour ne pas avoir à dire à ceux qui ne se tasse pas ou sont dans leur bulle, les gens automatiquement se rangent à droite.

Une question se pose comment commencer ce projet ?

Je ne sais pas ce que vous pensé dit Marie-Christine mais moi je laisse le projet des rêves je mise pour le concret.

Une bière et un tour dans la city

ça se pose des rêves

Des bonnes idées quand on les expriment.

On est en caucus de production lance Forcier. C’est pas vrai qu’il n’y aura pas de film. On est trop parti et les délire comme le dit très bien Marie Christine on à tous les notre.

La bière nous fait décoller. Demain ce sera des souvenirs jusqu’au jour où Errol les ressortiras

J’aime le cadre. Je ne sais pas de qui mais il se retrouve sur nos images.

André reprend

J’aime le cadre je ne sais pas de qui mais il se retrouve sur nos images.

André reprend

Je suis contente de faire parti des tes images. J’aime ton petit ourson sur le mur. Je ne l’avais pas remarqué la dernière fois. Mais là je le savoure.

pas certain

Pour ma part, je suis toujours partant pour les aventures qui me garochent dans la création.

La musique est belle et les idées se calment avec cette prise de mots de tous.

  Je vous le dit on va en faire tout un film.

J’ai pas tellement l’air en forme! Bien je me remets de la brosse d’hier 

Le tourne disque à Moustafa un Mc Intoch. Le son résonne et les subtilités des enregistrements sort comme si on assistait au life.

Écoute ce son.

Les disques de Hervé Lapointe et sur la table un classique Pharaon Sander

jeune fonceuse

Encore une histoire Errol tu en baves comme un brave. Tu défiles tout ce qui te passe par la tête.

je dessine

Que dit tu là Marie Christine? C’est un photographe avant tout. Regard ce qu’il fait avec ses souvenirs.

Un ampli très haut performance pour un mélomane. Jacques Cartier, un ami de Patrick le Bison Ravi

Tout cela ça lampe

Je le trouve pas mal brancher avec nos âmes. Qui désire se réaliser? C’est des détails le chemin qu’il prend pour redonner vie à nous ses personnages.

C’est un ami. Une connaissance si tu préfères. On vivait un quotidien et le partage se faisait pour Errol par des clics sans claques. Est bonne celle-là. Il a juste ce photographe qui peu l’écrire car il l’a entendu et le son du clavier a remplacé le clic de sa Minolta srt-101

un bijou

Enfin la structure des grands bâtiments se couche sur le négatif et le noir et blanc se forme sur le papier et le transfert numérique me permet de jouer avec cette image en portrait de ce building du centre des affaire de Montréal notre métropole. Une hauteur impressionnante un autre maison des affaires

La lumière de circulation nous montre que le chemin est libre. La circulation peut se laisse aller dans leur direction désirée.

feu rouge

que c’est impressionnant ce nombre de fenêtres dans le vide entre ciel et terre.

six

Comment ces lumières vont transmettre la splendeur du soleil à ces murs de verres. Mes sentiments face à ces amoncellements de béton d’acier frise le délire de l’architecte en moi. Je pense à Steve qui dessinait des châteaux avec des tours et des tours, Quel flyé!

éblouissant

Les temples de la finance et de la religion prônent dans ce quartier.

en solo

Le sous sol de la ville s’ouvre en descendant l’escalier

un verre
avec plaisir

Une fonction, le jeu de l’agrandissement d’une portion de l’image, nous pousse au surréalisme dans notre imagination.

Regarder les mots qui exprime le désir de dire quelque chose de bon et d’intelligent sur une salle de conférence inanimée c’est des fils à broder qui me sont nécessaires.

Cette salle est en pose car la salle  avait de l’ordre il y a peu de temps avant que des aventurier de la finance ne gravissent les couloirs menant à la réunion réclamée par le patron pour discuter de projets pour donner de l’aide aux créateurs désireux d’exprimer leurs façon de voir la vie à travers l’art.

Des verres à eau, des gobelets, des cabarets, des cigarettes, des cendriers tout ce que la vie permettait en ces temps-là.

Après quelque quarante ans  les gens apportent leur bouteille d’eau dans des contenants en plastique. Le coût des réunions sont retournés à la société. Plus de déchets plus de profits pour qui? Je ne suis pas à écrire sur ce temps pour une critique. J’essaie de donner des mots au silence de la vie que j’ai photographiée dans le but de dire que j’ai existé et que d’autres comme moi espéraient leur place au soleil.

Faire ce que mon être voulait. J’ai tenu le silence un temps et en ce moment je refais ma version de la vie par ces textes qui emmènent à la découverte d’une vie de milliers de moments fixés par un fixeur Ilford et conservés par le temps dans  la cave de mes frères et d’autres pour aboutir dans ma cave.  

Le va et vient sous les couloirs sous la terre par l’homme et la femme de la ville.

Le vide ; suivi de l’achalandage.

J’aime l’espace de ses couloirs.

La brillance de ces nouveaux venus dans notre pays. 1967 pour l’expo universel de Montréal.

Vite en bas le métro part.

une je ne sais quoi a travers les passages .

Vite arrivé vite rempli et rapidement sorti de la station pour le couloir leur étant réservé.

Les gens commencent à se ramasser sur le quai de l’embarquement

vu de haut

Des gens de toutes sortes sont garés pour voir l’arrivée du véhicule de tête qui annonce un départ pour bientôt.

Je me rappelle les affiches de garage sur Maisonneuve en « Anglais » une autre langue que celle de la majorité. Même dans le métro payé par les français, une autre langue y est vu.

Je ne sais pas comment cela ce fait que je me sens touché par la vue de cette langue qui m’ignore.

centre de ouest

La splendeur de l’extérieur de ce centre ville qui possède des richesses d’architecture. Un néon me calme ; Le reine Elisabeth l’un des hôtels les plus prestigieux de la city est dans une langue que je comprends et qui démontre que les gens d’ici on une attache la langue.

Je vois sortir dans la lumière le contact 24.

Errol regarde négatif d'une photo

Errol Gagné Photographe

Ce blogue raconte les nombreuses histoire d’un homme qui a capté les évènements de la contre-culture québécoise tournant autour du Conventum, centre d’essaie multidisciplinaire mythique du 1237 Sanguinet à Montréal, entre les années 1972 et 1976. Découvrez les images exclusive jamais publiées de sa collection personnelle qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1972 et 1976. Une époque très peu documentée.