Une autre belle aventure de sortir de chez moi et expérimenter mon œil aux évènements de la vie.
Le froid s’installe pour tout le monde dans ce beau pays le Québec uni dans ce grand Canada qui comme le dit la devise s’étend d’un océan à l’autre.
Où veux-tu en venir?
Je vais vous parler de cette photo et du pourquoi dans ce Québéc. Un moment donné la vague de séparation bourgeonnait dans tous les humains du coin de cette planète.
Ce matin il est dans mon cœur l’heure de dire ça. Ça va me libérer du fardeau de la langue.
Ici on parle le français et tout ce qui nous entoure est dans un autre langue rien de très grave mais … La loi 101 Houpi. Je peux écrire et m’exprimer en Français aujourd’hui grâce au bienfait de loi 101.
Ce sont les années 1972. Plein de choses, d’événements battent le fer. Dans ma région peu de langue autre que celle parlée par la majorité. Même les radios sont plutôt Français de france.
Alors le choc est là.
Je vois et j’écris ces mots pour dire une situation. La rue Maisonneuve coin Amherst est achalandée pas mal pour ce temps de l’hiver
Les autos roulent déjà à sens unique. Au coin de la rue les gens attendent
On me voit et on me surveille Les autos roulent déjà à sens unique. Au coin de la rue les gens attendent
On me voit et on me surveille. Pas si vrai que ça pour la surveillance car le photographe est tenace et les prises avec sa caméra produisent des réalités différentes les preuves se voient avec ces deux photos. L’action parle du changement que la vie fait vers l’avant.
Je revoie aussi en 2020 ces écriteaux et la question se pose toujours dans ma tête pourquoi parler Français? Voilà, the cat est sorti de sa cachette
Les cartes sont mêlées
Pas besoin d’auto. aujourd’hui je marche au soleil de l’hiver quelle joie.
On se dirige vers le magasin Dupuis et Frères qui depuis bien des lunes ne fait plus parti des édifices dans l’est
Il y a plein de sens unique dans le centre ville. Nous avons pris notre marche et rentrons chez nous dans cet édifice. La marche fut très bonne et plein de gens remplissaient les trottoirs et les magasins.
Rue Papineau Francine prend l’autobus pour aller travailler à l’Hôpital Notre Dame sur Sherbrooke non loin de Papineau en face du parc Lafontaine.
Je retourne chez moi et la petite chatte est dans ma chambre sur la pile de disques et ronron
Comme toujours. Je flâne dans le Carré St-Louis à la recherche de bonnes prises. Le soleil brille dans mon objectif. Les vieilles maisons du quartier gris de manque de lumière rayonnent de leur mieux.
Au centre du carré des gens s’amusent à vivre l’hiver Québécois.
le banc et la neige déguisent le Carré St Louis .
Le soleil réchauffe les aventuriers et aventurières de la saison du froid.
Le spectateur est le preneur d’images caché dans son manteau et derrière la boite à lentille. Le parcomètre en silence attend avec impatience l’auto qui voudra bien leur tenir compagnie et même lui raconter quelques histoires de la belle saison du blanc.
Bien oui il me fait plaisir de marcher dans le froid. Je découvre des gens qui se débrouillent très bien eux aussi avec cette température.
Cet homme se dirigeant vers la rue Sherbrooke me sourie malgré mon accoutrement de tripeux regardant dans un troisième œil. Un petit bonjour en passant solidifie son plaisir de me voir dans sa journée.
Plus loin prenant garde de ne pas glisser Madame Truchon me lance en farce. Encore dans le voyage du découvreur de la ville mon garçon. Bien oui je lui lance en cliquant pour la saisir jusqu’à aujourd’hui Ma farce est bonne hé Madame Truchon
Je l’entends me dire bien oui Errol.
Toute est figé au coin de Amherst et Maisonneuve annonce la radio centre ville. Au coin le char penche de froid. La neige peinture le coffre arrière et les roues tournent carré et l’échappement bourdonne étouffé par le carbone.
Ce sera la une du journal de Montréal dans un avenir pas bien loin chez Bouchard le restaurant sur Maisonneuve de l’ancien joueur du Canadien Bouch Bouchard mon espoir dans ce monde va passer et moi aussi. Marcher dans les rues de ma ville à mon âge c’est heureux.
Chacun son chemin en ce moment ce chemin est avec toi et moi je figure dans l’histoire.
Caché pour mieux passer inaperçu dans ce coin de la ville. Mais en observant on la voit bien cette femme. Elle enveloppe le monde qui la regarde.
Je me demande ce qui va se passer ? Ils vont faire un autre plein d’essence.
Encore là une langue qui envahi mon coin de rue ST …
Pas d’auto ni rien encore une petite frette pour le chemin
Le chat à Francine
Je ne sais pas ce qui se passe je le vois un peu plus Je dois me préparer. Il sera là une proie facile à attraper.
A non encore une grosse accumulation de neige dans la rue. Au fil des journées, c’est plaisant de pouvoir immortaliser cette montagne et ce champignon d’hiver
C’est samedi comme aujourd’hui. Ce matin je suis dans l’atelier et mes mots se couchent sur la feuille de l’ordinateur.
Les portes sur la rue se ressemblent. Mes mots coulent de l’encrier du déjà écrit.
Le phymouth ce beau gros char est silencieux .Tout autour le bruit du samedi fait rage. Ce matin tout comme ce jour du passé le son du samedi faisait du bien l’autoroute était presque silencieuse et les quartiers-dortoirs sommeillaient.
Je me lève tôt pour avoir une longue journée. Je marche beaucoup comme livreur de journaux. Je gagne mon quotidien. Je me surprends à compter les marches durant mes livraisons. Souvent les gens m’attendent pour avoir les nouvelles et m’accueilent avec un beau grand sourire.
Un autre beau mot Barber Shop. La loi 101 ouvrit l’existence à la langue Française (Québécoise).
La marche du chien ?
Tu gagne le pari.
La rue St Denis donne quelques bourgeons de cet arbre la langue de chez-nous mon oncle antoine de Jutras est à l’affiche du St-Denis à côté le Vidéographe de la bonne époque en face le St-Malo et l’Alternatif pour la musique.
Je ne sais pas ce qui vient de se passer. Tout est difforme et le sourire rayonne. Je viens de rencontrer un ami qui m’a parlé de toi et ta gang qui venait du Saguenay. Moi aussi je suis natif de Jonquière.
Il parait que tu ne connais rien de la photo et que tu pratiques cette art par instinct?
Bien oui ! Un cadeau de la vie. Je me permets de rêver d’être un grand de la vie quotidienne.
Me promenant dans cette ville des surprises autres que les hommes attirent mon attention et cette arbre sortant à travers des maisons et édifices m’a fasciné.
Un coup du regard inventif transforme.
Les chemins inventés se gravent dans le temps et les routes parsemées de ramifications conduisent droit dans le temps.
Vraiment incroyable dans le ciel ces branches tortueuses tracent des chemins pour celui ou celle qui se laisse transporter par sa présence grandiose.
4 Gros trèfles à quatre feuilles furent installés sur la rue.
Cee décor semble tomber du ciel pour dire à la vie que tout va bien et que chacun développe le temps de rire quand le besoin se fait sentir. J’affirme que c’est toujours le temps pour rire de un peu à beaucoup. Le Bis peut rester là.
Jeune homme que te prépares-tu à faire comme coup?
Je me vois encore en train de marcher . Tu as raison je le vois dans le futur
J’apprends que dans la vie on passe comme en ce moment : un regard, une pensée, un geste, une parole tous ces actions sont captés par un clic. Chacun transforme ses perceptions
Mes rêves sont loin et pas tant que cela. Je vais facilement traverser le temps grâce à cette photo
Les portes de la rue et mon regard et le chapeau que je traîne depuis le temps de ma jeunesse.
un petit coup de canne dans la neige solidifie ma marche vers chez moi
Je me permets de sortir. Un bon café au restaurant chez Bouch un vieille ami. C’est son fils qui tient le restaurant son père prend un verre avec les amis et fait de parlage. C’est quand même le patron et mon ami.
Dans la neige des trottoirs déneigés je me déplace très bien. les autos sont à surveiller car on à le…
des objets nécessaires dans une ville peuplée de plus en plus
Une vie autour de chez Dupuis Frères un souvenir. Qui se rappelle de cette époque? Taverne et hôtel les lieux de la culture. Le rassemblement se faisait autour de la draff (bière en fut).
Aussi le restaurant de l’ex joueur du Canadien Bouch sur la rue Maisonneuve près du terminus d’autobus de Berri de Montigny.
Moi je suis ici depuis belle lurette. J’ai fait comme tout le monde la campagne ne me disait rien j’y avais passé mon enfance. Une terre de roches pas bon pour élever des enfants.
Je viens de st-Enclin village du Québec en évolution et en disparition de nos jeunes.
Gros char et même une chanson qui prône le char de Casinade Si j’avais un Char.
On parle de la consommation en 2020 imagine en 1974 la fin du rural pour le ville plein de circulation dans les autoroute qui amenaient ces fermiers au bercail pour la nuit qui leur donnerait la chance de se reposer.
L’imagination à été dépassée par la réalité. Il faut le faire. Imagine ton futur ..
Le décor de la rue est paisible et calme.
Un escalier et bien d’autres se respectent et se dévoilent et laissent leur accessibilité aux curieux
Un camion orne le trottoir entrée dans les petites entrées et sortie des édifices de la rue.
Que vas-tu inventer encore avec ta caméra. Je sais tu vas parler du futur passé.
Une livraison déjà faite et la journée commence. Tu sais peut être pas j’achève. A l’heure que j’ai commencé ce matin , je suis en avance sur toi.
Le bas de la côte de la rue St Denis rempli de repos.
Je marche vers chez moi pour aller lire mon journal.
Aucune activité ne semble perturber le calme des mansardes de la rue .
Escalier en escalier la ville se peuple de ces entrées aussi spectaculaires que la diversité des gens qui l’imagine.
Allongeons le temps et laissons la vie faire son chemin sans attendre que du repos.
Il y a toujours de quoi dire sur un coin de rue quand tu analyses l’architecture. Dans ces années-là c’était ça mais aujourd’hui bien de ces maison ont changé et même disparues pour une autre forme de bâtiments. Une chose est certaine la rue est toujours là les arbres ont poussé où sont disparus aussi tu sais cinquante années change.
Ce qu’il y a d’agréable dans ces précisions je les sens et elles me remplissent de bonheur.
Considère ça un cadeau d’Un humain à humain .Gros Merci de vivre toi aussi sur la terre et que la vie t’intéresse. Cette histoire est l’histoire de ceux qui vivent et prennent le temps de regarder.
J’ai pris le contrôle de ma destinée je sors quand je veux et le froid me fait que du bien.
Une autre journée croquée pour la postérité. J’arrive de travailler. Je me posais une question:
Comment la vie pourrais faire pour que je sois encore là dans cinquante ans?
Une réponse facile pour moi aujourd’hui bien une photo pour les archives de Errol. C’est fait et ce 24 du 2020 je repart pour un autre temps dans la mémoire de la vie .
En plus avec la technologie tu peux jouer avec le photo. D’une prise général me voici un gros plan. Je sais que c’est ta spécialité. Tu fais bien ton métier.
J’ai un peu le look d’un intellectuel. Bien j’en suis un
J’aime marcher et vivre mon quotidien dans la ville.
Une belle Valiant passe au même moment quel souvenir.
Le carbone produit ses effets à un certain froid. Les voitures et les camions se transforment. Ce coin diffère de St Denis entre Ontario et Maisonneuve.
Vroum vroum le son se fait sourd. Le sens est à double sens .
Je trouve cette rue tranquille et surtout à cette heure-ci
Quelques personnes déambulent sur le trottoir. Le calme de cette neige laisse la buée décorer le visage des gens qui respire ce temps hivernal.
La rue Carré Vigé et sa circulation en attente. On entend le son des tuyaux d’échappement.
Le silence des édifices bondés de gens jacassant sur la vie et ce qu’elle va devenir. Surprise disent l’un et l’autre écoute les prédictions accablantes.
Ce coin sera toujours gravé dans la mémoire des gens qui ont eu à attendre sur le feu de circulation de cette partie achalandée.
Les rues se ressemblent tous comme toi et moi. Nous avons tous des folies de grandeur
Un petit coin qui décorait le centre de la rue St Denis sur Ste Catherine.
regard l’autre coté un homme
on attend toujours cette lumière qui vient pas bien vite Je suis prêt
maîtresse j’ai la bougeotte. Je me sens passionné par la transcription des textes de chaque contact. Je glisse mes doigts sur le clavier comme dans une pente de la montagne. J’aime ces petits mots vagabonds. Voici le 28.