La visite dans le centre ville par Régis lors de notre première rencontre nous a fait voir un monde différent de notre réalité. Ma réalité c’est le quartier de pauvres des gens dans la réalité de sans sous.
Le photographe remarque la hauteur et la petitesse de l’humain dans le déplacement dans ce réseau de vie. A travers les buildings des trottoirs des arbres des rampes. Des et-cetera qui ornent le visuel des bâtiments.
La tête dans les airs c’est là que se situe le regard des gens de ce monde de la finance et de la prospérité.
Les mains dans les poches Régis le guide du voyage dans la nouvelle ville de vie est au-dessus de tout sifflant presque devant la grandeur.
Des bureaux vides après les heures de travail c’est le centre ville de la ville de Montréal et de toutes les autres agglomérations de travail de bureau les mains dans les poches Régis le guide du voyage dans la nouvelle ville de vie est au-dessus de tout sifflant presque devant la grandeur.
Enfin la paix dans un endroit chic. Je sens la grandeur de la richesse. Quand je vois ça, je me réfère à ma connaissance. Le salon chez moi était réservé pour les invités. Cet endroit est libre et doit attendre des invités.
Tient en voici un dans ce grand salon affairé dans ses projets. Une action ou plusieurs à faire pour une concrétisation de ceux-ci.
A chaque instant, quand on se sent seul dans une grande ville on peut compter surle métro et ses vagues de gens se succèdent à chaque arrivé.
Je continue a m’occuper des dernier mais je doit juste me préoccuper de mon arrivé et de ma nouvelle direction car je ne suis jamais le dernier.
Tient, encore un esseulé qui choisit l’exercice. Le cœur va pomper mes muscles se faire de l’étirement mes bras se faire aller à droite à gauche les genoux travailler leur flexibilité. Chaque montée que je gravis est un plus pour moi. Ma santé gagne de la force.
On passe tassez vous. Dans l’éthique de monteurs d’escalier roulant il y a comme sur la route une voie de dépassement. Pour ne pas avoir à dire à ceux qui ne se tasse pas ou sont dans leur bulle, les gens automatiquement se rangent à droite.
Une question se pose comment commencer ce projet ?
Je ne sais pas ce que vous pensé dit Marie-Christine mais moi je laisse le projet des rêves je mise pour le concret.
Une bière et un tour dans la city
Des bonnes idées quand on les expriment.
On est en caucus de production lance Forcier. C’est pas vrai qu’il n’y aura pas de film. On est trop parti et les délire comme le dit très bien Marie Christine on à tous les notre.
La bière nous fait décoller. Demain ce sera des souvenirs jusqu’au jour où Errol les ressortiras
J’aime le cadre. Je ne sais pas de qui mais il se retrouve sur nos images.
André reprend
J’aime le cadre je ne sais pas de qui mais il se retrouve sur nos images.
André reprend
Je suis contente de faire parti des tes images. J’aime ton petit ourson sur le mur. Je ne l’avais pas remarqué la dernière fois. Mais là je le savoure.
Pour ma part, je suis toujours partant pour les aventures qui me garochent dans la création.
La musique est belle et les idées se calment avec cette prise de mots de tous.
Je vous le dit on va en faire tout un film.
J’ai pas tellement l’air en forme! Bien je me remets de la brosse d’hier
Le tourne disque à Moustafa un Mc Intoch. Le son résonne et les subtilités des enregistrements sort comme si on assistait au life.
Écoute ce son.
Les disques de Hervé Lapointe et sur la table un classique Pharaon Sander
Encore une histoire Errol tu en baves comme un brave. Tu défiles tout ce qui te passe par la tête.
Que dit tu là Marie Christine? C’est un photographe avant tout. Regard ce qu’il fait avec ses souvenirs.
Un ampli très haut performance pour un mélomane. Jacques Cartier, un ami de Patrick le Bison Ravi
Tout cela ça lampe
Je le trouve pas mal brancher avec nos âmes. Qui désire se réaliser? C’est des détails le chemin qu’il prend pour redonner vie à nous ses personnages.
C’est un ami. Une connaissance si tu préfères. On vivait un quotidien et le partage se faisait pour Errol par des clics sans claques. Est bonne celle-là. Il a juste ce photographe qui peu l’écrire car il l’a entendu et le son du clavier a remplacé le clic de sa Minolta srt-101
Enfin la structure des grands bâtiments se couche sur le négatif et le noir et blanc se forme sur le papier et le transfert numérique me permet de jouer avec cette image en portrait de ce building du centre des affaire de Montréal notre métropole. Une hauteur impressionnante un autre maison des affaires
La lumière de circulation nous montre que le chemin est libre. La circulation peut se laisse aller dans leur direction désirée.
que c’est impressionnant ce nombre de fenêtres dans le vide entre ciel et terre.
Comment ces lumières vont transmettre la splendeur du soleil à ces murs de verres. Mes sentiments face à ces amoncellements de béton d’acier frise le délire de l’architecte en moi. Je pense à Steve qui dessinait des châteaux avec des tours et des tours, Quel flyé!
Les temples de la finance et de la religion prônent dans ce quartier.
Le sous sol de la ville s’ouvre en descendant l’escalier
Une fonction, le jeu de l’agrandissement d’une portion de l’image, nous pousse au surréalisme dans notre imagination.
Regarder les mots qui exprime le désir de dire quelque chose de bon et d’intelligent sur une salle de conférence inanimée c’est des fils à broder qui me sont nécessaires.
Cette salle est en pose car la salle avait de l’ordre il y a peu de temps avant que des aventurier de la finance ne gravissent les couloirs menant à la réunion réclamée par le patron pour discuter de projets pour donner de l’aide aux créateurs désireux d’exprimer leurs façon de voir la vie à travers l’art.
Des verres à eau, des gobelets, des cabarets, des cigarettes, des cendriers tout ce que la vie permettait en ces temps-là.
Après quelque quarante ans les gens apportent leur bouteille d’eau dans des contenants en plastique. Le coût des réunions sont retournés à la société. Plus de déchets plus de profits pour qui? Je ne suis pas à écrire sur ce temps pour une critique. J’essaie de donner des mots au silence de la vie que j’ai photographiée dans le but de dire que j’ai existé et que d’autres comme moi espéraient leur place au soleil.
Faire ce que mon être voulait. J’ai tenu le silence un temps et en ce moment je refais ma version de la vie par ces textes qui emmènent à la découverte d’une vie de milliers de moments fixés par un fixeur Ilford et conservés par le temps dans la cave de mes frères et d’autres pour aboutir dans ma cave.
Le va et vient sous les couloirs sous la terre par l’homme et la femme de la ville.
Le vide ; suivi de l’achalandage.
J’aime l’espace de ses couloirs.
La brillance de ces nouveaux venus dans notre pays. 1967 pour l’expo universel de Montréal.
Vite en bas le métro part.
une je ne sais quoi a travers les passages .
Vite arrivé vite rempli et rapidement sorti de la station pour le couloir leur étant réservé.
Les gens commencent à se ramasser sur le quai de l’embarquement
Des gens de toutes sortes sont garés pour voir l’arrivée du véhicule de tête qui annonce un départ pour bientôt.
Je me rappelle les affiches de garage sur Maisonneuve en « Anglais » une autre langue que celle de la majorité. Même dans le métro payé par les français, une autre langue y est vu.
Je ne sais pas comment cela ce fait que je me sens touché par la vue de cette langue qui m’ignore.
La splendeur de l’extérieur de ce centre ville qui possède des richesses d’architecture. Un néon me calme ; Le reine Elisabeth l’un des hôtels les plus prestigieux de la city est dans une langue que je comprends et qui démontre que les gens d’ici on une attache la langue.
Grand papa Philipe Boulet gagne la vie de sa famille comme menuisier. J’ai souvenir que dans ma toute jeune enfance il avait creusé la cave.
Une entreprise de géant cette aventure.
Grand papa est dans sa chambre sur la rue Derfla notre demeure que maman avait dessinée et contractée. Il avait assisté à la construction de la maison. Je ne sais pas s’il à travailler tout le temps de la construction?
Le père de maman nous accueillait presque tous les soirs pour écouter la télévision. Elle était noire et blanc.
Je me souviens de la lutte. Des parties de hockey et des films plates de ce temps-là mais quand même intéressant quand on est enfant.
Un gros merci grand papa de ton grand cœur.
Philipe Boulet
Voyage à Chicoutimi. Jje passe voir mon grand père
Cuisine de la rue Jacques Cartier que je partage avec Steve mon frère et un bout de temps avec Marc Morais un ami du cégep en concentration art. Louise dans le contact 18 suivait aussi cette classe. Le nom de professeur M Angers un artiste de la région.
Le salon et ma chambre à couché avec mon système de son. Il m’était indispensable car je dormais avec la musique. Mes états de contemplation sur les effets du pot hashi acide mescaline et vin st George et bière exigeaient un fond musical qui me propulsait au sept ciel avec amour.
Bien oui c’est bien moi encore sur la party. Ben oui Johnny aussi. Je suis dans le temps de la bande dessinée et dans le salon où s’installe les couche tard.
Ce matin là étendu sur le tapis du salon (L’ancien tapis de l’ordre indépendant des Forestier qui a mûri dans le bureau de mon père.)
La monté des nombreuses marches nous permettait d’ accèder à l’étage de ce bureau.
Le dernière marche de cette longue et longue escalier se trouvait la porte de la toilette de l’étage. Un corridor d’une vingtaine de pieds face à une belle grande fenêtre
menait les aventuriers intéressés au service que papa offrait.
Cette journée commença par ces invités surprises.
Notre chien Stone dans son environnement Saguenéen.
Chez nous rue Derfla avec sa belle neige et son calme, merci maman. Derrière le banc de neige et de Stone on distingue la maison des Laverdière, plus loin celle des Gaudreault ( Musicien) le fils fut un musicien de l’orchestre de Montréal comme joueur de Cor Anglais, peut être Français. Ce sont mes informations non formelles, et après, la petite bordure de forêt, l’orphelinat de Chicoutimi devenu l’université de Chicoutimi.
Le chien Stone de notre famille
Vive la neige merci Louis de me promener dans les sentiers de Notre Dame du Saguenay.
Louis Gagné et Stone dans notre patrimoine et la neige.
Chacun son histoire dans ce document de la taverne de Chicoutimi.
Pour ma part je suis un espèce de déserteur revenu voir ce que la vie donne de plus dans ce pays.
J’ai analysé et mis sur négatif mes observations et remarqué mon rôle dans ce partage avec cette gang qui fut la mienne. Je peux dire longtemps, mais au fond, ce fut intense et court. Mon sentiment pour ce pays quitté s’illustre par le vague des personnages présent. Je Clic et clic ma parole devient image.
Là au moment que je rédige cette histoire un grande émotion de gratitude monte. Je vois en silence mon chemin. Merci
Dans un petit coin me regardant Sylvain Tremblay avec son foulard blanc derrière Jean Grégoire et Jacques Brassard ami du primaire
Le frère de Sylvain je pense Michel Tremblay et Jacques Brassard jamais
dans la même équipe car je pense que l’on compétitionais l’un contre l’autre. Les autres un oubli pour leur nom .
Beau souvenir avec cette photo du bon temps dans les Scouts dans l’équipe des Loups ou je partageais mon adolescence avec ces jeunes intéressés au grand air et à la troupe
Pour Claude Boivin souvenir d’un gros buveur.
Pierre Turcotte `Mon ancien chef de patrouille des Loup. Son voisin
René Tremblay, ami de Serge et professeur et André Tremblay, ingénieur à l’Alcan un ami de mon frère
Roger Gauthier Alain Turcotte
Je pense que le passé fait parti du rêve. Bien assis devant mon clavier je cours après les mots que me souffle le réveil.
On pense ou plutôt je pense que je rêve et je me laisse bercer par la douceur du souvenir.
Le temps grand papa Boulet peux tu : oui Errol je voie le contact 23 que tu me présentes dans mon rêve . Je t’aime Errol . Merci Grand papa.
La vie commence sur la rue Papineau. Visite de Nicole dans la grande ville chez sa sœur. La plus jeune qui a pris la place de bébé de Francine.
Un œuf ce matin Errol et Francine c’est moi qui fait le petit déjeuner.
C’est toujours plaisant d’avoir un sourire pour remerciement
A mon tour de faire de même pour la postérité.
Je pense au résultat d’une conversation de la sorte.
Un moment, le chat, je suis récent dans ta vie mais je te demande d’attendre Francine; elle va te donner ce que tu veux
Pauvre petit minou
Tu lui as arrangé ça comme portrait. C’est pas mal l’attitude qu’il a quand il veut quelque chose.
Ces traces sur la photos c’est le résultat d’une inondation durant la sauvegarde de ses trésors.
Jeu de quoi ? D’échecs
Tu es pas mal belle avec ton air ingénu qui sort de rien. Salut la vie
Bien oui je peux dire tout j’ai aimé cette aventure
Des photos pour l’histoire d’une belle rencontre qui donne plein de collaborations et d’amour. En plus j’ai la chance de l’annoncer ce 22 ièmes contact et ses surprises.
Je viens de connaître Francine et La visite de sa sœur Nicole que je rencontre pour la première foi.
Mon ami Moustafa qui reste chez moi arrive fatigué et se repose sur le sofa.
Francine qui prend son autobus pour aller au travail à hôpital Notre-Dame.
Nicole aime parader pour se faire photographie elle parait bien.
Il faut attendre
Ma première visite au bien être social.
Est-ce que je peut recevoir un soutient pour subsistance?
Je ne suis pas le seul dans cette réalité.
Arrive tous toute des régions?
Je t’aime mon beau Errol c’est pas mal intéressant d’être avec toi. Bonne journée et merci de ta présence.
Bien oui je t’ai vu vouloir remplir la page avec la photo. Tu m’as entendu avec mon objection?
L’autobus arrive je me concentre sur le présent qui s’en vient.
En écrivant ces mots je ne savais pas que j’aurais pu moi aussi avoir une emploi dans cette boite, l’hôpital Notre-Dame. C’est bizarre à écrire: je n’étais pas sur la terre.
Mon attention s’évanouit avec l’autobus qui entre dans le décor du cadrage de ma photo.
Une autre journée occupée à trouver des fonds pour mon loyer et ma nourriture.
Bon repos mon ami fait de beaux rêves. Peut être une soirée à fêter dans les bars de la ville. Les études servent à ça. Je t’aime bien Hervé. Merci pour les coups de main que j’ai reçus de toi.
Exemple de celà : comment me débrouiller dans une chambre noir improvisée dans la pièce vide du logement, la cuisine, le soir, les lumières éteintes.
Bien oui le photographe est aussi sur la sellette.
Je me tiens comme ça ou comme ça
Bravo c’est bien la pose Merci.
Plutôt comme tu veux Nicole c’est ta pose à toi. Pour ma part je photographie ce qui se présente. Je ne dicte pas ta création parce que je suis dans l’apprentissage de la mienne.
Le plaisir des deux sœurs déplaçait de l’énergie palpable. Agréable de revoir
Dans un refuge, l’Étape. une occasion de prendre un repos. Est belle La petite voiture mais c’est pas mon auto. Mon char c’est la Pontiac.
J’aime mieux ça. Il me semble que la route va être plus belle..
La pleine lune dans ce pays le Saguenay me fera toujours rêver.
Je la traverse pour une dernière fois bientôt me déclare Danielle.
Chez Danielle qui a disparu de la région. Le hasard me l’a fait rencontrer à Montréal après 35 ans. Elle avait fait sa vie et était à la même place que moi cette journée là. Et puis rien, encore disparue.
Lise Lessard, Louise Gravel, Louise Baribeau dans un café de Chicoutimi
Le mari de Ginette Gravel sœur de Lucie dans mon appartement sur Jacques-Cartier.
On peut apercevoir une peinture de Marc Morais un un ami du Cégep qui demeura chez moi un bout de temps. Le salon et chambre a coucher qui berça mon dernier voyage dans la Chicoutimi de mon avant déménagement.
Maison de l’architecte Paul-Marie Côté, un avant gardiste de Chicoutimi qui a construit une maison en béton sur la rue Jacques-Cartier non loin de l’hôpital.
Jeune homme que j’étais elle inspirait mon coté créateur en devenir.
Regarde comme c’est propre
Danielle un petit moment de repos .Tu fais bien de le prendre. Moi je relaxe.
Lyne
As-tu vu la poussière ? Oui une chance que ce coin es propre. Comme dit ma mère il y a toujours de la poussière. Elle ne prend pas de vacance.
Quels beaux souvenirs. Se sentir en vacance et faire la vie de notre début de la vingtaine.
De beaux souvenirs de cette amitié qui dura le temps que dure l’amitié.
propre Madame Desmeules et sa petite fille elle ressemble beaucoup à sa sœur Jeanne mon amoureuse de mes 18 ans.
Mr Desmeules un grand coiffeur pour homme sur la Côte de réserve où était son salon.
Dans une famille on se ressemble des fois beaucoup. J’ai oublié son nom. Je te salue par ce gros plan tiré de mes archives.
Un petit verre de bière mon minou ça se prend comme ça. Vive la chaleur
Encore un gros plan et salut.
Plusieurs amis avant mon départ pour la grande ville.
Oui allo je vous le passe dans pas grand temps il est occupé à rêver.
Mon frère et son amie de ses tendre année.
Je prépare le 20ième contact . Petit train va loin