Rémi Tremblay le drummer du groupe du Saguenay la Molo Beer Band
Vous parlez de ce groupe qui jouait du Chicago à la perfection. Les cuivres, les guitares, le drum, tous ces gens qui forme ce Band, je les fréquente malgré mon profond délire stone du temps. La fin de mon secondaire avec de la bière, du vin St Georges pour mon gosier friand de ces breuvages et de leurs effets à ne plus faire partie de la bulle terre.
Louise connaissance du Cégep
Je me souviens de ce jeune homme avec cette grosse chevelure sur la tête. Un ami de Chicoutimi venu en visite à Montréal. On va passer chez Errol. Un gars de par chez nous avec un logement dans la grande ville.
Steve devait venir rester avec moi et aller lui aussi au cégep.
Moi je n’ai pas de nom pour Errol car je suis là par hasard.
Louise, Jean Luc et François, le frère de Marthe Cambron
Louise Baribeau Monique Jocelyn Pagé
La Chatte d’Espagne sur le dos sur une courte pointe. Mais non, sur la jupe de Louise mon amie du Cégep.
Louise et Monique l’ex de Jocelyn Pagé
Bien Monique et Jocelyn et toi Louise comment ça va?
Salut la gagne on se croirais à Québec presque toute la compagnie de la ville est ici
Ce personnage a marqué mon écoute de la musique . André Duchesne et ses amis viendront pratiquer dans le Conventum, un lieu non existant à cette époque, mais qui prenait forme dans l’invisible de rencontres impromptues.
on vient de débarquer de l’autobus salut Errol . Entrez le party commence.
HE Louise vient on va faire connaissance…
Tous arrivaient comme ça sans avertir. Un open house. Je sais que mon propriétaire ne trouvait pas cela bien drôle. Mon bail n’a pas été renouvelé.
Je crois bien que dans ce temps-là rien ne me dérangeait. Je venais de découvrir la grande vie le plaisir dans le vrai monde. La vie me montrais que je devais faire quelque chose. Mais quoi faire?
Rires de la première rencontre.
On est dans le début de la vingtaine. Comme moi ceux qui sont près de moi explore autant la vie que moi.
C’est drôle moi aussi je joue de la guitare. Bien moi aussi et je fais mes études dans ce domaine.
. Moi je fais mon Cégep en art à Chicoutimi. J’ai rencontré Errol dans des sorties de fin de semaine et avec son frère Steve nous sommes devenus des amies.
Jusqu’où est allé cette relation? aucune idée. Même cette Louise je ne l’ai jamais revu. Je vous parle de ces photos qui me rappelle la rencontre de deux personnes totalement inconnus avant cette rencontre. Tout est gravé d e ce plaisir de la rencontre.
On dirait que tu joues de l’harmonica! Bien non je roule une cigarette
raconte moi cette histoire.
Tous se passe dans le parc dans une ville sans nom et le bonheur se cachait derrière le bouleau blanc qui chapeautait un banc de couleur rouge cerise . Soudain timidement un colibris se percha sur le bras de la jeune fille .
Sans attente, un cri fit sursauter la jeune fille qui se réveilla. La suite plus tard .
Tu es une bonne conteuse. Merci
Je me suis toujours bien senti chez toi mon ami . Merci de nous avoir invité.
Je questionne la vie pour savoir qui nous rend plus heureux.
C’est qui tient le gant? Ai-je parlé du groupe Conventum? À cette époque, le lieu ainsi que le groupe n’existait pas encore à mon souvenir.
Hommes de la trempe des guerriers de la création. Hervé dit Moustafa cameraman du film Saison cinquième de Jean Gagné. Ce dernier étudie en cinéma au cégep Loyola École anglaise de prestige .Je le rencontre. Il reste chez moi dans mes premières semaines et mois sur Henri julien.
Un projet de film qui germe dans la tête de Jean qui en glisse un mot. Dans le coin droit de la photo: les oreilles de lapin pour la réception des images de télévision.
Marielle Tremblay et Hervé
Oui sa femme qui vit à Longueuil.
Ce Moustafa qui connais très bien Patrick Straram dit le Bison Ravi .
Errol Gagné
Mon copain Moustafa ma transmis ses connaissances de la photos durant son séjour chez moi.
Un petit déjeuner après une prolongation dans le fun et de la parole qui amène le dialogue d’ami à ami. C’est ce qui se passait souvent dans nos réunions.
Je la voyais dans sa beauté que développent l’amour et ma passion pour cette femme qui me permit d’entrer dans sa vie. Sur la rue Papineau mon premier rendez-vous.
On dirait la même photo mais non ce sont des instants que la caméra une fois recharger et que le doigt appuyait sur le déclencheur:
. Je n’avais pas de moteur pour accélérer les prises.
Une vie d’amoureux prenait son envole dans la joie et la découverte
Jean Luc
Dans cette histoire d’amour avec Francine et Moi c’est a cause de l’invitation à sortir au Chat Noir sur la rue Sherbrooke dans l’ouest. Mon ami qui venait chez moi me trouvait pas mal casernier. Un bon soir il est arrivé avec un tab d’acide et me l’a proposé. J’ai dit oui car ça faisait pas mal de temps que j’étais stress.
Je ne me souviens pas du jour mais je sais que le temps des fêtes était à la porte.
Quoi dire de plus que si des photos existent c’est que tous ces gens brillaient par leur présence.
La fatigue a fait son chemin. Jean-Pierre à succomber au repos après une résistance
André les points fermer rêve aux chansons à composer.
Chez Jean ce repos avais de la classe même au planché.
Le chat d’Espagne dans les bras de Steve
Quoi dire de plus que si des photos existent c’est que tous ces gens brillaient par leur présence.
Je ne sais pas comment je me suis rendu là avec deux jeunes du Saguenay comme moi. Notre entré dans ce lieu a un but. C’est que la brosse continue.
Parmi les taverniers deux hommes assis à une table attire mon attention. Un d’eux nous fait signe. Un de nous trois retourne le salut. A vingt trois ans je viens d’entrer dans la vie de ce personnage qui nous salua. Un autre chapitre de l’histoire se grave sur pellicule argentique.
Les présentations se passe bien. Ma mémoire entend le nom de ces personnages de parfait inconnus. L’un se nomme Jean Billard professeur au Cégep du Vieux Montréal. Il est devant une bière. L’autre se trouve son ami Patrick Straram celui qui nous à saluer a notre arrivé. J’oubliais ce sont l’accent français.
Mes compagnons pour cette rencontre se nomme, André Duchênes, qui salua et connaissait Patrick, Jean-Pierre Bouchard ces deux autres personnages des amis de Jean mon frère: ce sont des musiciens d’Arvida en visite dans la grande ville.
Pour ma part je suis seul dans cette grande ville et pas trop aventureux dans cette nouvelle aventure. Je me laisse aller au gré du vent
C’est un événement marquant dans ma vie d’un jeune arrivé dans la grande ville. Je fais mes premières expériences dans la lumière tavernière de la Wilson. Le clic est facile. Je ne parle pas beaucoup.
Je me permets de prendre André dans son rire d’un criant de joie dans sa chevauché
Tu me surprends avec ta caméra jeune homme. Je suis à ma table pour avoir la paix. Je m’en excuse c’est ma première visite ici et je pense que tu va avoir ta place dans mon histoire.
Jean-Pierre les yeux perçant regard par ses lunettes le spectacle en souriant aux éclat de rire de son ami
Sur la même note : le plaisir!
Les discutions de tavernes passent par toutes les émotions de la vie. On en parle, des solutions inondent les intéressés.
Tu as raison sur ce point ces musiciens me fascinent je les découvre grâce à ma passion de musicien.
Je suis sérieux quand je parle de jazz et de cette musique qui me transporte dans un monde de grande extase puis de joie. Les vagues de notes remplis d’émotion quel sublime délire.
Je te connais assez pour te croire Patrick. A vous entendre votre passion la musique. Je vous sens passionné mais la bière se réchauffe.
pour ma part je suis un fan de jazz, bleu,tout ce qui colore mes moments d’écoute.
Je sais qu’il fait ce qui lui plaie. Je ne suis pas surpris de cela. Tu as raison de pensé comme ça.
Le Bison Ravi Patrick Straram Laisse moi sourire. Je te donne ce que tu as besoin – André Duchêne
Tu me surprends tu es un gros fumeur Jean-Pierre Bouchard Je surveille mon tabac.
Les voici communiquant face à face dans un réel : des rencontres des esprits.
Des amitiés de taverniers s’unissent au délire des verres à verre.
Une série de moments, d’expressions , de ce personnage haut en verbe et couleur
Me propulse à le voir entré dans ma caméra pour le souvenir.
Combien de foi que cet homme s’est assis là et le seul souvenir est celui ci
Ça me fait rire ces contacts avec les gens de partout dans un endroit si fermé de la vie
Ce n’est pas un coup de dé cette rencontre et surtout ce montage un comme une chandelle représentant la première rencontre avec cette taverne et le Bison, Billard Duchêne et Bouchard
Chapeau mon photographe du quotidien je le savais mais la te voir les transformer en histoire bravo
La chandelle du tavernier ses compagnons le sel, le verre et le journal et le cendrier.
Je le sais. Rien n’est fait pour rien.
Je peux parler de délire avec cet évènement car je peux en glisser un mot aujourd’hui. Le temps ma permis malgré le silence de photographe que je vivais dans ce temps de ramasser ces moments. Je les montre. Ce sont des histoires de la vie par les gens.
qui se sont prêter au jeu du kodak que je traîne dans ma vie de photographe actif.
Écoute il vient de prendre d’autres photos ça fait comme une symphonie
Je te remercie l’écrivain qui a pris le temps de vivre .à fond la poésie, la parlure, la réflexion… que dire de plus rien mais je peux écrire sur .
Pour l’instant laissons les balivernes de il faut ou je vais pour on est et on vie. Tient ma nouvelle façon de penser.
Mon dieu que va-t-il se passer?
un coin de table bien garnit. Je le surveille ce verre. Une belle transparence
Oh mon ami charrie pas j’en ai vu et bu d’autres encore plus plus. Tu voies bien que je peut en mettre des effets sur les sur qui passent et qui on passé. Je les rénove leur donnant plus de souplesses et d’imagination.
voici la chanson du au Canada c’est une farce .dit Patrick
Le temps de voir et c’est déjà du passé. J’aime cette journée dans le calme de la communion avec les gars du Saguenay des amis de Moustafa. Ce gars Hervé Lapointe est la source qui à amener la rivière a ce fleuve d’amitié.
Je sais que tu allais finir par traduire ces images en mots. Je te salut de mon Âme cliqueur de présent.
La photo de l’urinoir de la taverne Wilson. Un passage obligatoire pour vider le trop plein.
Il est indispensable d’aller faire un changement avant de pisser dans nos culottes.
La suite se fera au jour le jour, pour vous le rappeler le 17ième contact est en route.
Rue St-Denis à la hauteur Pins Avenue. La vie est tranquille et je monte vers chez Jean et Louise.
Les rues sont remplies d’autos avec la date d’expiration qui n’existe plus.
Le sourire du bonheur à un visage ce matin. Une pomme dans la main, la bouche plein son regard franc. Ces parole raisonne Salut Errol bonne journée…
Où es-je la tête ce matin ? Il me faut tourner ici. Mais non c’est un sens unique ha ha ha!
On fait un bout de chemin ensemble les filles. Je fini ma cigarette. Vous savez ce n’est pas nécessaire de prendre cette habitude. En plus c’est un cauchemar quand on veut mettre fin à cette attache.
Tu as de l’allure vient pour le bout de chemin. Merci de ton offre.
Des refaiseurs de toitures dans la grande ville ne ressemblent pas du tout à ceux des banlieues où je vivais.
Même mon foyer suit l’évolution du travail des hommes. Les couches enlevé produit une vibration une genre d’accélération qui embrouille ceux qui observe. J’ai payé pour le savoir.
OK j’ai assez entendu de potins sur ces gens par n’importe qui. Pour ma part :’ salut’.
Un petit moment de consommation je me trouve hot. Ce qui me plaît dans ça c’est le rituel des choses marginaux.
Bien oui le verre commence à être plein une autre aspiration sera permis. La xième puffs me satisfait je continu un autre se prépare. Je vais prendre la journée calmement.
L’avenue des Pins quel dessin
Dans la neige leur chemin conduit sur la pellicule de mes observations
Leur regard se fixe sur quelque chose attendu? La dignité des femmes parcours mes émotions en pensant à ma mère gracieuse et fonceuse.
Encore impressionner par le photographe je me cache pour ne pas être sur la photo. Laisse moi la place j’ai l’habitude.
Je parcours la rue et je clic sur le gens de la vie. Les sens uniques sont dans le décore de la signalisation.
Les filles traversent sous le phares de la nuit tombante.
J’aime la lumière de cette rue avec la clarté des personnages et les deux phares qui les observent.
L’enfant me surprend pas son attention devant mon passage.
Salut mon frère Steve et toi Suzanne la belle femme.
On se téléphone et on prend une bof Hi Hi Hi.
A ce soir.
J’aime ton originalité dans la description de tes prises de souvenir pour demain. L’ avoir des souvenirs permettent de diffuser le 16ième contact.
Mon Amie Danielle Imbeault qui était près de moi quand Jean restait sur le chemin Sydeham avec Louise avant son départ pour Montréal. Je me souviens de l’avoir croisé dans ma période de grandes réflexions intérieures. J’étais pas mal déboîté dans mon Âme et dans mon corps. Mon équilibre vacillait pas mal dans la souffrance. Elle était là avec son sourire et ses ambitions. Merci
J’ai eu du fun, du plaisir avec toi et la gang sur la rue Racine assis devant le photographe Elefson sur le terrain du notaire sous les gros arbres de son terrain dans la côte à droite en montant chez Gagnon Frères
Tu peux prendre des photos je n’aime pas trop.
Tu fais bien à ta tête. Je te dis que je ne suis pas intéressée par ses souvenirs. Je gaspille ma salive.
Je suis dur d’oreille. Je dois t’avoir pour raconté cette histoire. C’est fait je passe à autre chose. Encore merci pour ton direct dans ton expression. Salut Michelle
Michelle Simard amie de cœur vers la fin de ma vie à Chicoutimi. .On s’est revu au début de ma vie à Montréal et plus rien par la suite. Je me souviens que cette belle jeune femme me permis de l’aimer comme nous pouvions le faire avec notre jeunesse et notre manque de respect et de chaleur entre amoureux. Le plaisir que j’ai découvert avec elle me fait encore te dire merci Michelle pour notre relation d’amour de jeune.
Marché dans la neige gelé sur l’acide et la boisson et riant au éclat les fins de semaine.
Une question se pose toujours quand on ne sait pas de quoi il s’agit. L’amour ou du plaisir ? Je me trouve chanceux de t’avoir rencontré et que l’on est cliqué ensemble quelque temps.
Je me trouve pas mal froufrou d’avoir tripier avec toi.
Cela vaux la photo et les quelques unes dans mon livre de souvenir. J’étais pas mal en point, à la recherche de moi. Je me croyais pas mal un bon prince charmant mais j’ai bien vu que tu n’es plus jamais revenu.
Je comprends ce que tu dis!
Un jeune la libido accoté et pas de barbe au menton voilà le moi de ce temps là.
Je fais mon possible afin de continuer à progresser dans ma vie. Je viens de déménager sans un sous, sans emploi sans métier avec une caméra que je ne sais pas quoi faire avec Je rêve que la vie me donne tout. Il me manque rien que de savoir ce qui se passe?
Carole une amie de Michelle elle me partage son désir d’être sur des photos. Elle est belle et photogénique. Elle ne met pas de limite. Un bon mannequin photographiable pour mes classes de gros plans.
Hé là un coté Hollywood. Un autre sur la réalité celle de Henri Julien
Bien oui comme ça Carole et un beau sourire
Tu rayonnes cela fait du bien de te revoir comme tu voulais que tu paraisses.
Une drôle de pose ? La prise de moments produit ces moments là. Je ne jette rien car je ne peu plus reproduire de moment
Des amis vivants des recherches de : comment vivre sa vie avec le peu d’expériences. Amis merci de m’avoir partagé vos désirs et vos rêves silencieux. Je courais dans les chemins du bonheur. Je vous ai aimé tendrement et sincèrement. Merci à la VIE.
Nicole Cantin Régis Painchaud et Jean Gagné le maringoin surprenant dans le même party
La vision recul de plus en plus et je sourie de plus en plus.
Comme je le savais l’optimisme c’est dans ce coin là de la pensée.
D’accord avec toi Nicole entonne Régis et Johnny.
Laissons nous partir pour de vraie.
La jeunesse doit se faire et c’est fait. Je comprends. Moi aussi je courrais à droite et à gauche
Tu sais Errol, je pense souvent que dans la vie on trou petit cure dent pour le voyage.
Comme toujours un peu parti dans mes rêves et ma réalité en même temps. Je dois courir et en ce moment je ne bouge pas
Comment faire pour réagir à la vie. Je pense qu’il faut la vivre
Des jeunes personnes traçant leurs limites dans une espaces bien défini. Une visite à Montréal sur un ami parti de sa région pour se développer.
Le point final n’arrive jamais. Je grandi dans mes idées et mon cinéma.
Pense tu vraiment à ça Johnny?
Que dire de plus que la photo. Cette femme avait du plaisir avec sa gang.
Le rêve c’est ce moment présenté par le visuel. Étirer et difforme que je dois recadrer pour avoir ma réalité
Par la fenêtre les esprits vagabondent
Pense tu que la crème glacé rempli son job? Une farce de Errol (pense tu que la crème glacé rempli son rôle.)
Un cornet de crème glacé. Contact 381 025
je regard par la fenêtre du temps et je détecte le #15 de la série les contact . Merci de pouvoir avoir la chance de voir ces œuvres non vues.