Grand papa Philipe Boulet gagne la vie de sa famille comme menuisier. J’ai souvenir que dans ma toute jeune enfance il avait creusé la cave.
Une entreprise de géant cette aventure.
Grand papa est dans sa chambre sur la rue Derfla notre demeure que maman avait dessinée et contractée. Il avait assisté à la construction de la maison. Je ne sais pas s’il à travailler tout le temps de la construction?
Le père de maman nous accueillait presque tous les soirs pour écouter la télévision. Elle était noire et blanc.
Je me souviens de la lutte. Des parties de hockey et des films plates de ce temps-là mais quand même intéressant quand on est enfant.
Un gros merci grand papa de ton grand cœur.
Philipe Boulet
Voyage à Chicoutimi. Jje passe voir mon grand père
Cuisine de la rue Jacques Cartier que je partage avec Steve mon frère et un bout de temps avec Marc Morais un ami du cégep en concentration art. Louise dans le contact 18 suivait aussi cette classe. Le nom de professeur M Angers un artiste de la région.
Le salon et ma chambre à couché avec mon système de son. Il m’était indispensable car je dormais avec la musique. Mes états de contemplation sur les effets du pot hashi acide mescaline et vin st George et bière exigeaient un fond musical qui me propulsait au sept ciel avec amour.
Bien oui c’est bien moi encore sur la party. Ben oui Johnny aussi. Je suis dans le temps de la bande dessinée et dans le salon où s’installe les couche tard.
Ce matin là étendu sur le tapis du salon (L’ancien tapis de l’ordre indépendant des Forestier qui a mûri dans le bureau de mon père.)
La monté des nombreuses marches nous permettait d’ accèder à l’étage de ce bureau.
Le dernière marche de cette longue et longue escalier se trouvait la porte de la toilette de l’étage. Un corridor d’une vingtaine de pieds face à une belle grande fenêtre
menait les aventuriers intéressés au service que papa offrait.
Cette journée commença par ces invités surprises.
Notre chien Stone dans son environnement Saguenéen.
Chez nous rue Derfla avec sa belle neige et son calme, merci maman. Derrière le banc de neige et de Stone on distingue la maison des Laverdière, plus loin celle des Gaudreault ( Musicien) le fils fut un musicien de l’orchestre de Montréal comme joueur de Cor Anglais, peut être Français. Ce sont mes informations non formelles, et après, la petite bordure de forêt, l’orphelinat de Chicoutimi devenu l’université de Chicoutimi.
Le chien Stone de notre famille
Vive la neige merci Louis de me promener dans les sentiers de Notre Dame du Saguenay.
Louis Gagné et Stone dans notre patrimoine et la neige.
Chacun son histoire dans ce document de la taverne de Chicoutimi.
Pour ma part je suis un espèce de déserteur revenu voir ce que la vie donne de plus dans ce pays.
J’ai analysé et mis sur négatif mes observations et remarqué mon rôle dans ce partage avec cette gang qui fut la mienne. Je peux dire longtemps, mais au fond, ce fut intense et court. Mon sentiment pour ce pays quitté s’illustre par le vague des personnages présent. Je Clic et clic ma parole devient image.
Là au moment que je rédige cette histoire un grande émotion de gratitude monte. Je vois en silence mon chemin. Merci
Dans un petit coin me regardant Sylvain Tremblay avec son foulard blanc derrière Jean Grégoire et Jacques Brassard ami du primaire
Le frère de Sylvain je pense Michel Tremblay et Jacques Brassard jamais
dans la même équipe car je pense que l’on compétitionais l’un contre l’autre. Les autres un oubli pour leur nom .
Beau souvenir avec cette photo du bon temps dans les Scouts dans l’équipe des Loups ou je partageais mon adolescence avec ces jeunes intéressés au grand air et à la troupe
Pour Claude Boivin souvenir d’un gros buveur.
Pierre Turcotte `Mon ancien chef de patrouille des Loup. Son voisin
René Tremblay, ami de Serge et professeur et André Tremblay, ingénieur à l’Alcan un ami de mon frère
Roger Gauthier Alain Turcotte
Je pense que le passé fait parti du rêve. Bien assis devant mon clavier je cours après les mots que me souffle le réveil.
On pense ou plutôt je pense que je rêve et je me laisse bercer par la douceur du souvenir.
Le temps grand papa Boulet peux tu : oui Errol je voie le contact 23 que tu me présentes dans mon rêve . Je t’aime Errol . Merci Grand papa.
La vie commence sur la rue Papineau. Visite de Nicole dans la grande ville chez sa sœur. La plus jeune qui a pris la place de bébé de Francine.
Un œuf ce matin Errol et Francine c’est moi qui fait le petit déjeuner.
C’est toujours plaisant d’avoir un sourire pour remerciement
A mon tour de faire de même pour la postérité.
Je pense au résultat d’une conversation de la sorte.
Un moment, le chat, je suis récent dans ta vie mais je te demande d’attendre Francine; elle va te donner ce que tu veux
Pauvre petit minou
Tu lui as arrangé ça comme portrait. C’est pas mal l’attitude qu’il a quand il veut quelque chose.
Ces traces sur la photos c’est le résultat d’une inondation durant la sauvegarde de ses trésors.
Jeu de quoi ? D’échecs
Tu es pas mal belle avec ton air ingénu qui sort de rien. Salut la vie
Bien oui je peux dire tout j’ai aimé cette aventure
Des photos pour l’histoire d’une belle rencontre qui donne plein de collaborations et d’amour. En plus j’ai la chance de l’annoncer ce 22 ièmes contact et ses surprises.
Rémi Tremblay le drummer du groupe du Saguenay la Molo Beer Band
Vous parlez de ce groupe qui jouait du Chicago à la perfection. Les cuivres, les guitares, le drum, tous ces gens qui forme ce Band, je les fréquente malgré mon profond délire stone du temps. La fin de mon secondaire avec de la bière, du vin St Georges pour mon gosier friand de ces breuvages et de leurs effets à ne plus faire partie de la bulle terre.
Louise connaissance du Cégep
Je me souviens de ce jeune homme avec cette grosse chevelure sur la tête. Un ami de Chicoutimi venu en visite à Montréal. On va passer chez Errol. Un gars de par chez nous avec un logement dans la grande ville.
Steve devait venir rester avec moi et aller lui aussi au cégep.
Moi je n’ai pas de nom pour Errol car je suis là par hasard.
Louise, Jean Luc et François, le frère de Marthe Cambron
Louise Baribeau Monique Jocelyn Pagé
La Chatte d’Espagne sur le dos sur une courte pointe. Mais non, sur la jupe de Louise mon amie du Cégep.
Louise et Monique l’ex de Jocelyn Pagé
Bien Monique et Jocelyn et toi Louise comment ça va?
Salut la gagne on se croirais à Québec presque toute la compagnie de la ville est ici
Ce personnage a marqué mon écoute de la musique . André Duchesne et ses amis viendront pratiquer dans le Conventum, un lieu non existant à cette époque, mais qui prenait forme dans l’invisible de rencontres impromptues.
on vient de débarquer de l’autobus salut Errol . Entrez le party commence.
HE Louise vient on va faire connaissance…
Tous arrivaient comme ça sans avertir. Un open house. Je sais que mon propriétaire ne trouvait pas cela bien drôle. Mon bail n’a pas été renouvelé.
Je crois bien que dans ce temps-là rien ne me dérangeait. Je venais de découvrir la grande vie le plaisir dans le vrai monde. La vie me montrais que je devais faire quelque chose. Mais quoi faire?
Rires de la première rencontre.
On est dans le début de la vingtaine. Comme moi ceux qui sont près de moi explore autant la vie que moi.
C’est drôle moi aussi je joue de la guitare. Bien moi aussi et je fais mes études dans ce domaine.
. Moi je fais mon Cégep en art à Chicoutimi. J’ai rencontré Errol dans des sorties de fin de semaine et avec son frère Steve nous sommes devenus des amies.
Jusqu’où est allé cette relation? aucune idée. Même cette Louise je ne l’ai jamais revu. Je vous parle de ces photos qui me rappelle la rencontre de deux personnes totalement inconnus avant cette rencontre. Tout est gravé d e ce plaisir de la rencontre.
On dirait que tu joues de l’harmonica! Bien non je roule une cigarette
raconte moi cette histoire.
Tous se passe dans le parc dans une ville sans nom et le bonheur se cachait derrière le bouleau blanc qui chapeautait un banc de couleur rouge cerise . Soudain timidement un colibris se percha sur le bras de la jeune fille .
Sans attente, un cri fit sursauter la jeune fille qui se réveilla. La suite plus tard .
Tu es une bonne conteuse. Merci
Je me suis toujours bien senti chez toi mon ami . Merci de nous avoir invité.
Je questionne la vie pour savoir qui nous rend plus heureux.
C’est qui tient le gant? Ai-je parlé du groupe Conventum? À cette époque, le lieu ainsi que le groupe n’existait pas encore à mon souvenir.
Rue St-Denis à la hauteur Pins Avenue. La vie est tranquille et je monte vers chez Jean et Louise.
Les rues sont remplies d’autos avec la date d’expiration qui n’existe plus.
Le sourire du bonheur à un visage ce matin. Une pomme dans la main, la bouche plein son regard franc. Ces parole raisonne Salut Errol bonne journée…
Où es-je la tête ce matin ? Il me faut tourner ici. Mais non c’est un sens unique ha ha ha!
On fait un bout de chemin ensemble les filles. Je fini ma cigarette. Vous savez ce n’est pas nécessaire de prendre cette habitude. En plus c’est un cauchemar quand on veut mettre fin à cette attache.
Tu as de l’allure vient pour le bout de chemin. Merci de ton offre.
Des refaiseurs de toitures dans la grande ville ne ressemblent pas du tout à ceux des banlieues où je vivais.
Même mon foyer suit l’évolution du travail des hommes. Les couches enlevé produit une vibration une genre d’accélération qui embrouille ceux qui observe. J’ai payé pour le savoir.
OK j’ai assez entendu de potins sur ces gens par n’importe qui. Pour ma part :’ salut’.
Un petit moment de consommation je me trouve hot. Ce qui me plaît dans ça c’est le rituel des choses marginaux.
Bien oui le verre commence à être plein une autre aspiration sera permis. La xième puffs me satisfait je continu un autre se prépare. Je vais prendre la journée calmement.
L’avenue des Pins quel dessin
Dans la neige leur chemin conduit sur la pellicule de mes observations
Leur regard se fixe sur quelque chose attendu? La dignité des femmes parcours mes émotions en pensant à ma mère gracieuse et fonceuse.
Encore impressionner par le photographe je me cache pour ne pas être sur la photo. Laisse moi la place j’ai l’habitude.
Je parcours la rue et je clic sur le gens de la vie. Les sens uniques sont dans le décore de la signalisation.
Les filles traversent sous le phares de la nuit tombante.
J’aime la lumière de cette rue avec la clarté des personnages et les deux phares qui les observent.
L’enfant me surprend pas son attention devant mon passage.
Salut mon frère Steve et toi Suzanne la belle femme.
On se téléphone et on prend une bof Hi Hi Hi.
A ce soir.
J’aime ton originalité dans la description de tes prises de souvenir pour demain. L’ avoir des souvenirs permettent de diffuser le 16ième contact.
Elle est heureuse et entre dans mon jeu de photographe et se prête joliment à la séance de poses. Elle a de la classe et j’aime cette énergie. Encore aujourd’hui après tant de temps je me rappelle ces précieux moments de ma carrière débutante.
Oui tu continues à me prendre en photo ? Oui tu te trouves être une des premières dans mon plateau d’images.
Elle passait devant moi sur la rue Jacques Cartier en revenant du Cégep. Le moment que j’écris ces mots je pense que j’ai fréquenté cette établissement l’année où j’ai quitté la maison familiale.
Cette fille a bien participé à la prise de cet événement. Cette fille je ne l’ai plus jamais revu. La vie me l’avait placé pour l’histoire.
Je pensais devenir un comptable. Je me sentais très bien avec les étudiants en beaux arts.
Une plaque d’eau pour ne pas prendre le mot flaque.
Ce petit chien pose comme un pro.
Entre deux escaliers qui conduisent dans la rue voisine.
Une demi photo de l’ami près de la librairie. Un annonce du livre d’Astérix qui vient de sortir . Un image dans la vitrine de la tabagie 500.
La voie ferrée
la gare s’installe lentement.
La gare et son environnement
La chaîne des agriculteurs une force incontournable.
Des bâtiments pour entrepôt délaissés par la vie
Le jeu continu dans un autre élément le sourire de la fraîcheur l’eau près du Saguenay
Le fer qui roule sur la voie ferrée se trouve du solide
Le transport de bois se prépare pour l’étranger.
Beaucoup de consommation dans le monde de notre bois d’œuvre.
Je vais reculer les bip bip ne sont pas encore installer sur le recul des machineries.
J’attends le signal
Il faut doubler de prudence pour éviter les accidents.
Le chemin de fer appartient au Canadien National sur notre territoire.
Pousse plus mon ami cria le débardeur du port du chemin de fer.
Toi le jeune reste pas trop près du train un accident peut arriver.
Le calme presque plat dans la gare maintenant. Aujourd’hui en 2020 elle n’existe plus.
S’est Pierre et Claude arrivant du Cégep retournant chez eux à Chicoutimi nord
Passer une belle journée les amis.
Certainement Errol et toi?
La prise de moments que je trouvais intéressant se cachent maintenant sur mon négatif oùvos images se trouvent.
Les travailleurs de la ville devant la cathédrale rue Bégin.
Par où je vais passer pour me rendre à la taverne Saguenay. Ces travailleurs défont mon trottoir sur lequel je passe tous les jour. Pourquoi il décide cela ce matin?
Je devrai passer de l’autre côté de la rue Bégin il semble que rien indispose les marcheurs. Ce décor du coin me disait la marche se termine ici. La rue Racine se trouve parallèle. Les marchands s’exposent sur cette rue. Restaurant Gagnon Frère la Calèche le barbier où notre père nous y emmenait, deux banque, une Librairie, un garage où j’attendais l’autobus où bien des amis et où la police nous disait de circuler.
Je pense que tu nous fuis, trop de bruit. Le travailleur vient d’arrêter sa machine son marteau piqueur. Un large sourire s’inscrit sur son visage.
La machine silencieuse je peux écouter.
Des amis me crient de l’autre bord de la rue.
Je regarde les auto une Renault attire mon attention. Durant cette observation je remarque un grand nombre de parcomètres.
Salut comment tu vas ce matin ? Très bien beaucoup de construction. Tu sais il faut gagner sa vie. Moi je fais manger six enfants et leur mère. Je peux bien vouloir faire mon fin comme toi avec ton arsenal de jeune homme en vacances. Imagine mes enfants rien à manger parce que je décide de faire ma vie.
Je revois les paysages avec les sujets je les décomposent afin de faire voir la beauté d’une photo et l’étendu de ses précisions. Un sujet semble la mire et un détail en devient une photo en elle-même. Le plan général s’estompe pour redéfinir le cadrage. Et le vague devient le visé.
En face de la Cathédrale la rue de la Côte qui monte vers la rue Jacques Cartier me montre tout ces détails grâce à ces clichés pris en 1972 avant mon déménagement vers Montréal.
La maison cachée par les arbres se trouve ressortie par la blancheur de ses rampes d’escalier.
Un peu défraîchi ce char de la rue tranquille de Chicoutimi près du Cégep.
Au loin l’édifice du savoir vient de changer de vocation de Séminaire il devient un lieu de savoir pour adolescents frais sortie du secondaire. Un Cégep !
On sent déjà le jaune des arbres plus l’observation se réalise.
Quelle splendeur des milliers de feuilles sont prêtes à leur envol. La nudité des arbres donnera au paysage, comme, des coup de crayon sur le décor quelle protège
En face se trouve le docteur des animaux Mr Antonio Fraser
Belle résidence de la rue qui dans son calme et sa discrétion reçoit de nombreux animaux de compagnie
Paysage de rue d’automne demeurant en face d’une autre classe.
Une auto marque Falcon stationnée de la manière classique du bon côté
La rue calme presque en tout temps permet de profiter de la paix entre deux axes routier achalandés. L’automne semble la saison de la prise de vues. Des feuilles mortes jonchent la rue et le trottoir. Cet arbre devant la maison fait ressortir les blancs pétants des boiseries des gardes et de l’escalier de la partie de cette rue.
Soudain par un œil de chercheur du regard clic j’observe une vie qui main dans la poche gravit la côte. La joie semble au rendez-vous
Les pas s’étirent pour accélérer.
Enfin le sommet arrive et j’entends ‘pas trop tôt’ la disparition de l’acteur se trouve imminente dans les secondes ses pas se dirigent vers …
Un gros véhicule devant un tas de cochonneries de je ne sais quoi. Un chien semble avoir une autre direction l’arbre?
Un peu penché la soirée à dû être dur. Bien non Errol c’est une auto le temps à fait on œuvre. Bien non y doit être stationné dans un trou de puisard de rue.
Je m’exclame devant cette blancheur de la rampe d’escalier.
La côte s’orne de maisons d’arbres d’autos et de chien croqué par le hasard de la vie qui a permis que je passe par là.
Une observation bizarre se produit en ce moment. Cette maison qui se dessine comme une belle demeure et luxueuse galerie et escalier solide ancrée dans un bel environnement nous montre un tas de déchets de maison jeté à la rue par la réalité d’une démolition. Encore plus drôle pas d’autres pièces sur cette accumulation de ces déchets dans une rue quelconque de ma ville Chicoutimi. Un ouragan ?
Tout se passe quand on se promène avec une caméra. Les instants arrêtés sur la pellicule deviennent vivants quand on les regardent même après longtemps tenus en silence dans le fond d’une boite dans les profondeurs de la cave.
La rue en face de la cathédrale rue à côté de chez mon ami Rodo André Fradette. Une belle rue tranquille. Un chien va apparaître le voici : Bien oui je l’ai déjà fait entré dans la première page. Voici la suite
Une arrivée dans ma vie de croqueur d’images et cette journée de découvertes.
Comme tout jeune chien de rue il s’est approché de moi avec sa curiosité de chiot. Je l’attendais et clic à mes pieds. En suite comme apprivoisé il me regarde avec ses grands yeux.
Puis son départ se fait simplement il marche lentement à la poursuite de son chemin.
Et le trou dans la rue l’a comme avalé.
Puis son départ se fait simplement il marche lentement à la poursuite de son chemin.
La scène finie un autre voyage se mixe par le son que la vie me chuchote aux oreilles. Des enfants dans un terrain vague se moquent de la désolation d’un solage d’ancienne maison qui ne se trouvait probablement pas là à leur naissance. L’escalier de la fondation pousse à aller voir ce qui se passe plus haut
Un regard sur la photo me ramène dans un temps où la religion avait pouvoir sur tout. La naissance afin de peupler le pays. Entrer dans cette conversation me dérange énormément car mes idées sont mes idées et j’y tiens. Alors je clos.
L’imagination d’enfants déborde le présent. Ils se garochent dans un temps infranchissable, le passé, qui ne peut changer. Je peux voir cette énergie en m’ouvrant l’âme à recevoir plutôt qu’à montrer mon savoir.
L’émerveillement d’être voilà leur existence à ces enfants venus ici sur la terre pour vivre et concrétiser l’incritiquable, la vie.
La maison pas finie, une tache sur le solage, l’enfant rit de joie d’être sur la terre pour une nouvelle mission.
Je cours tu me rattrapes non je passe la tondeuse.
Par ici non par là . La tête me tourne .
Quel bel escalier on se croirait dans un château
Une grosse maison à multiples logements. Mon enfance sur la rue St Germain à Jonquière refait surface. La maison de mon grand père Boulet qu’il a construite et qui abrita ma famille jusqu’à notre déménagement à Chicoutimi.
Un vestige de l’abandon dans une ville.
Comme je le disais les jeux d’enfants se pratiquent où vivent ces créatures du Bon Dieu.
Quel bel effet celui de l’étirement. Sa dimension remplie la présence de l’objet. Quel désign quel fenestration
La vie dans cette rue où plein de monde laisse jouer les enfants dans la cour
Des murs de pierres ornent la devanture de la maison c’est artistique.
Un petite Pinto une compact qui a essayé de faire son chemin
Les mêmes enfants dans une vision différente.
La promenade donne lieu aux découvertes multiples. Un retour vers la maison après des achats à l’épicerie du coin de la rue Bégin et Jacques Cartier.
Rien à l’horizon je peux passer. Un autre édifice à logement de classe différente. Dans cette ville Chicoutimi se trouve plein de différences de classe. C’est une ville comme les villes.
Les arbres poussent. Les feuilles se préparent pour leur voyage : parterre. Un beau coin de vie ce quartier me montre le paysage.
Dans la réalité se trouve souvent de jolis dessins trouvés dans las rues. L’enfant se dirige vers…
Une roche roulée dans la rue par le temps attire le curieux qui se promène par là. Elle ressemble à un œuf.
Je l’aime et je la mets dans ma collection.
Comme le disait un ami l’observation redonne la beauté au petite chose de la nature
Moi je grandis dans un milieu qui me permet de dire j’ai une collection de roches de rue.
Oui j’ai entendu dire que les images du photographes continuaient avec son 13ième contact de surprises
Je surveille la maison depuis qu’Errol ma pris en photo. Si je me rappelle bien cette maison se trouve autour du Carré ST Louis. Tu peux remarquer que les marches où je suis sont comme neuves même si la maison a accumulé la pousssière du temps.
Me promenant sur la rue; avenue, des Pins où en Montréalais, Pines Avenue comme on la nomme en Anglais à Montréal. Voici un beau bâtiment presque situé sur St Denis. Un manège militaire en face une station d’essence Esso. L’autre jour une personne qui me parlait m’a rappelé qu’elle avait été laveur d’auto dans cette station pendant cinq années. En quel année je ne suis pas tellement curieux pour ces détails. Mais je peux te dire que je suis en 2020 en ce moment racontant cette anecdote.
Les autos roulent pas mal dans ces années-là aussi. L’homme se délivre du cheval à foin et adopte les chevaux moteurs.
Quel joie la lumière sur le passé.
On aperçoit les canons décoratifs sa luminosité fait voir un angle inconnu le jour.
Planté sur le coin de la rue le vroum et vroum m’étourdit. Je vois trouble. Une bonne nuit de repos youpi.
Le jour laisse la place à toutes les choses à voir frette comme c’est.
Dans le parc au centre du Carré un monument trône comme les arbres autour de lui.
une clôture encercle le bloc. Nous les gens décidons de mettre des barrières pour délimiter nos créations.
Autour les maisons en silence se rappelle de ce temps d’il n’y a pas si longtemps.
Un souffrant crée un souffrant dans le ciment.
Le chat noir dans l’abat jour dur à voir ce coquin mais en regardant on aperçoit la lumière derrière les oreilles de la tête du chaton enfermé dans le cercle.
chat travaersé par la lumière
La lampe réveil le goût de boire une gorgée de ce qui est dans la cruche. Histoire d’une histoire rien de vrai.
Rose de métal soudé dans une bouteille de vitre à cierge dont la cire est partie en fumée.
Des amis félins en captivité pour le bonheur de nous autres.
Sur leurs pattes ils se préparent au spectacle.
Chat couché sur et sous le chat
Brumeux mais toujours concret le quartier existe. Les poteaux déguisent les trottoirs en jardin de poteaux. Les briques de édifices s’empilent l’un sur l’autre et l’autre contre l’une. Tout cela forme une partie de la ville.
La rue s’enivre de l’exasse des voitures. Les lampadaires se ferment pour la journée.
Le clocher de l’église trône sur l’architecture de son toit cuivré par les couvreurs. Les paratonnerres dessinés comme des porteurs d’hostie remplissent un rôle d’annonceur de la bonne nouvelle le jour de gloire se pointe à l’horizon.
Les sculptures des parcs sont encore présentes pour marquer l’histoire. Les Jaguar se stationnent encore sur la rue Carré St-Louis
Devant le passé se dresse les briques du futur pour combien de temps?
De profil avec les édifices qui remplacent les simples maisons abritant quelques personnes versus les nouveaux monstres du modernismes.
J’aime ce temps passé.
Dans ce trajet de la découverte se trace d’autres prises de moments dont le 11 à venir