contact # 40 – New York, johnny, Jacques Cartier
Quarante le total de 20+20 l’année qui prend son envol pour une deuxième journée.La boutique où Jean et Jacques déambulent est pleine de livres. Les deux sont attentifs et moi aussi. Je suis le jeu de ces deux aventuriers.
« Que fais-tu là Jacques » semble dire Jean tout énergisé par le voyage.
Je viens de m’acheter un rouleau de pellicule 35 pour la caméra. Je l’installe prudemment. Mon expérience me rappelle de bien engrener le film dans le dispositif permettant au film d’avancer quand je remonte la caméra pour la prochaine image que je désir prendre comme souvenir de ce voyage sur le fly . Prendre 40 et même 50 photos avec une bobine qui peut en contenir 36 il y a un problème que je ne veux pas vivre. Quand penses-tu Errol.
Tu es bien sage je vais me rappeler de ça aussi. Une expérience partagée peut aider celui ouvert à entendre. Encore merci.
Malgré le savoir j’ai dû en faire l’expérience.
C’est ce que je nomme la vie. L’expérience ne s’achète pas!
Tu es bien sérieux Jacques. Le rire de la page couverture du magasine fait réfléchir. Avez-vous vu les fioritures sur la ville ? Dans mon activité de reconstruire l’histoire j’agrandi le sujet et j’y découvre que cette journée il faisait comme température un gros 24 degré. Cette certitude s’affichait sur l’enseigne sur le toit d’une banque de New York.
La ville nous attend dans son bruit de méga city. Le vieux disparaît devant le nouveau. Les grues sont plantées dans le ciel à travers les rues qui quadrillent la city Une affiche, une horloge, une pointe dans le ciel, des blocs de béton et des vitres nous dévoilent le présent de ces jours là.
Je prépare mon entrée dans la grande activité. Tu perds rien à attendre. Tu dis des paroles et des paroles depuis plusieurs années et je n’ai jamais rien vu de ton aventure. C’est le fun. Tu m’as réveillé un peu d’espoir. Je me posais la question : quoi faire avec le passé ? Quel récit utiliser pour raconter pour l’histoire ?
Drapeaux, enseignes sur les toits et aventures soulignent la vie.
Plein de détails pour créer une structure comme ça. L’Amérique nous donne le chemin à suivre. Innovation et respect des gens? Je laisse aux gens leur citation.
Une scène décortiquée par la caméra sur la ville nous donne l’esprit d’un coin de ce pays.
Les ordinateurs immobiliers sont picotés et repicotés. Toujours une AFFICHE qui AFFICHE ce sont qui : c’est quoi là
On attend les invités pour le show à Forcier. Je le connais bien ce cinéaste. Il invente et invente des choses impossibles qu’il met en scène. Pour plus de punch il y rajoute de la vie de gens ordinaire. C’est comme ça que l’on a découvert la musique de sa sphère de créateur
Une rue de vie. C’est loin de la rue Racine, Chicoutimi et de la rue St Jean, Québec et de la Sherbrooke, Montréal
Un tab acide qui transforme le décor que je vois
Ce jour là, rien ne nous préparait à ces émotions, sauf le trip.
Le miroir de la cité dans la vitre de la porte d’entrée, du, qui a-t-il a l’intérieur? Des espaces et des pieds cubes d’air renfermés dans un bloc pour personnes connus seulement ; Les Clients
La grandeur des buildings
Que se passe t-il ? On dirait qu’ils ne savent plus où aller.
Ok la route s’éclaircit. Es-tu rassurer Johnny ?
Hé Jean comment se porte Johnny ? Je reste avec Chenail on va avoir du fun. Mais Errol à juste hâte de revenir à la maison, rue Henri Julien.
Salut vous deux bon retour de nuit par autobus avec Jacques Cartier qui parle anglais pas moi . Je viens de Jonquière.
J’ai pas de problème avec l’aventure. Je ne suis pas vieux, mais allons, pour être cinéaste, j’ai dû franchir des barrières.
Je circule encore dans le domaine de l’image. J’invite les curieux qui suivent le plan d’affaire de ces jeunes à remarquer comment s’accumule le bagage de la connaissance par le pratique de tout ce qui nous arrive et des fois s’en remettre à des aventures qui donnent beaucoup.
Errol vient de passer le stage du 40 et nous concotte du suspence pour le suivant 41!