Je les regarde depuis quelques temps y dorme vraiment ces deux là.
Tu as raison Caron de vrai bébé après leur biberon.
Je ne m’en fais pas la bière est pas mal bonne.
qu’en dis tu Johnny?
Je me suis souvent rendu à ce niveau avec la vie. Mais c’est plein de plaisirs et de découvertes cet état.
Je me cherche un job Patron ! J’ai entendu que tu cherchais un bon water?
Je suis en méditation avec la vie.
Petit ! c’est une pensé bien à eux ces taverniers Bien oui Forcier. Tu parles comme une personne à part de nous. Ça fait pas longtemps que je te connais et tu as passé toi aussi sous la table eh eh eh.
Bien tu a Raison et je me prépare une autre fois.
Tu te prélasses comme le roi de la taverne Jos. Bien oui on est une belle gang
Cette table est comme ma propriété depuis que je viens ici et la chaise aussi.
Le cigare est meilleur que la cigarette. Alors je fume de ce qui me fait le plus de plaisir.
Je vais vider mon réservoir il est plein.
Je me roule une cigarette. Un petit verre Johnny dit André? Bien sur Forcier répondit ce dernier en immobilisant son activité.
Encore dans ses scénarios Forcier. J’en ai plein la tête tu en sais quelques choses Johnny avec tes histoires. .,
Qui s’assemble se ressemble quand penses-tu Caron ? Un instant je vais y penser c’est vraiment exact.
Vous avez raison avec vos bla bla crie joyeusement le tavernier au coin avec sa Molson.
L’autre avec sa draft se pose des question et de fortes interrogations c’est quoi qui se passe à cette table?
Celui en uniforme glisse un mot a son voisin.
Ostie que c’est plat ces répliques-là. Je suis ici pour avoir la tête occupée à autres choses que de contester.
Mets-en pas trop tu charries pas mal. Rajoute Jean.
Je ne m’en mêle pas je ne bouscule rien je prend une bière qui m’a mènera là où je doit être. Point final. Bonne idée Caron.
J’ai le toupet un peu tout croche. Je commence à sentir l’état de Froster. Je pense que je prend le fixe sur je ne sais plus quoi.
les vapeurs embrouillent ma vision.
Je me trouve encore en parfait équilibre.
J’en rie car je l’ai l’affaire.
Je me sens la tête pesante.
Pour ma part je vacille dans mes pensées.
Je me lève et me dirige vers la toilette tout éméchée.
Drôle d’allure avec tes barniques Errol. ça vaut une photo. Pour mon équilibre je préfère assis.
J’ai rien à dire je m’occupe de moi. Le cigare est pas mal bon et je le déguste.
J’ai rien à dire je m’occupe de moi. Le cigare est pas mal bon et je le déguste.
Tout va bien dans le meilleur des tavernes et en ce moment la vie roule à merveille.
À la vôtre les semblables.
Avec des tournures comme ça dans les événements de la vie Je peux plier sur les plies de celle–ci. L’effet de le faire procure du bien, L’autre coté de ces plies une autre surprise la vie encore.
Vite le trentièmes contact de cette nouvelle vie de ce rêveur photographe.
Vous êtes sur le point de découvrir la personnalité flamboyante de Serge Lemoyne lors de son passage au Conventum. Voici une bride de son histoire en photos. Pour en savoir plus sur son curiculum, visitez son profil wikipedia en cliquant ici.
L’arrivée d’Atem au Conventum nous amène du sang nouveau: Pierre Monat, Guillaume Bengle, Richard Larose , Marcel Bernier , Serge Lemoyne, Régis Painchaud, Gilbert Langevin , et deux ou trois autres pas sur la photo.
Pour ce moment, deux vidangeurs de Montréal sont présents sur la photo.
Bernier observe. Lemoyne lui tient compagnie. Jean Gagné actionne le chargement. Guillaume Bengel pousse. Pierre Monat collabore.
On est en face du vendeur de moto Daytona sur la rue Sanguinet. L’école vide sert de devanture au spectacle.
Quelle joie …
Dans la salle du Conventum, Lemoyne brille par sa présence.
Pierre, Pierre Dion et un autre personne semblent être en attente, tout comme moi.
Que regardes-tu le photographe?
Je te dis Serge, mon attention est sur la découverte de la rencontre avec les gens.
Arrière fond: Guillaume Bengel.
En réunion de projet; les gens se sont installés. L’équipe écoute.
Gilbert Lanvevin et Lemoyne prennent racine.
Moi dit Gilbert une tasse. Les autres rient.
Je clic pour les souvenirs .
Serge Gagné discute et Serge »CH » Lemoyne bleu blanc rouge et sur son sentier entend les propos.
j’aime l’effet que la réalité. Le 1237 vient d’être acheté. On est che-nous pour un boutte!
Une conversation avec sa fille Myriam dans la cuisine donnait de l’énergie à cette maman fière et même très fièrer de sa « gagne ». Cette fête de Noël-là on était tous présents dans la maison familiale que cette Dame avait bâtie avec son désir de nous donner plus et je pense nous faire dire Merci la vie.
Chez nous cette dernière année où nous aurions le sens de la famille.
La Noël des jeunes de la famille donc je fais parti. Joint et vin c’est la vraie vie ( on pense)
Deux photos prise sur Henri Julien
retour dans le party .
Sourire de jeune adulte à la découverte de leur vie dans un milieu de recherche.
Le chat sur Mireille se trouvait mon amiral de compagnie dans cette aventure de déménagement dans la ville.
Visite agréable. Grand signe d’amitié leur présence. Je dis merci car je pense que j’ai oublié ce mot quelque part et que la présence de ce travail de texte me le fait redire par écrit. Les écrits restent
Louis, mon jeune frère resté chez nous avec maman et Myriam, me rappelait le plaisir de cette vie dans un quartier non loin de la forêt. Un gros merci à Maman pour cette initiative qu’elle nous a permis de vivre.
compagnon ce chien Stone un petit boule de poil noir qui nous suivait partout.
La neige ne lui faisait pas peur. N’est-ce pas ! Son nom vient de ma passion des Rolling Stones. Ce groupe Britannique de mes 15 ans que j’ai entendu pour la première fois en Ontario quand je travaillais dans un camp de vacances avec mon oncle Joseph Élie.
La promenade dans les rues après la tempête me fit voir ces images gravées pour la vie.
Taverne Chicoutimi
ami Roger Alain T Serge G Pierre T
J’ai oublier de te dire que c’est le temps d’annoncer le 26ième contact .Mon ami Alain
Grand papa Philipe Boulet gagne la vie de sa famille comme menuisier. J’ai souvenir que dans ma toute jeune enfance il avait creusé la cave.
Une entreprise de géant cette aventure.
Grand papa est dans sa chambre sur la rue Derfla notre demeure que maman avait dessinée et contractée. Il avait assisté à la construction de la maison. Je ne sais pas s’il à travailler tout le temps de la construction?
Le père de maman nous accueillait presque tous les soirs pour écouter la télévision. Elle était noire et blanc.
Je me souviens de la lutte. Des parties de hockey et des films plates de ce temps-là mais quand même intéressant quand on est enfant.
Un gros merci grand papa de ton grand cœur.
Philipe Boulet
Voyage à Chicoutimi. Jje passe voir mon grand père
Cuisine de la rue Jacques Cartier que je partage avec Steve mon frère et un bout de temps avec Marc Morais un ami du cégep en concentration art. Louise dans le contact 18 suivait aussi cette classe. Le nom de professeur M Angers un artiste de la région.
Le salon et ma chambre à couché avec mon système de son. Il m’était indispensable car je dormais avec la musique. Mes états de contemplation sur les effets du pot hashi acide mescaline et vin st George et bière exigeaient un fond musical qui me propulsait au sept ciel avec amour.
Bien oui c’est bien moi encore sur la party. Ben oui Johnny aussi. Je suis dans le temps de la bande dessinée et dans le salon où s’installe les couche tard.
Ce matin là étendu sur le tapis du salon (L’ancien tapis de l’ordre indépendant des Forestier qui a mûri dans le bureau de mon père.)
La monté des nombreuses marches nous permettait d’ accèder à l’étage de ce bureau.
Le dernière marche de cette longue et longue escalier se trouvait la porte de la toilette de l’étage. Un corridor d’une vingtaine de pieds face à une belle grande fenêtre
menait les aventuriers intéressés au service que papa offrait.
Cette journée commença par ces invités surprises.
Notre chien Stone dans son environnement Saguenéen.
Chez nous rue Derfla avec sa belle neige et son calme, merci maman. Derrière le banc de neige et de Stone on distingue la maison des Laverdière, plus loin celle des Gaudreault ( Musicien) le fils fut un musicien de l’orchestre de Montréal comme joueur de Cor Anglais, peut être Français. Ce sont mes informations non formelles, et après, la petite bordure de forêt, l’orphelinat de Chicoutimi devenu l’université de Chicoutimi.
Le chien Stone de notre famille
Vive la neige merci Louis de me promener dans les sentiers de Notre Dame du Saguenay.
Louis Gagné et Stone dans notre patrimoine et la neige.
Chacun son histoire dans ce document de la taverne de Chicoutimi.
Pour ma part je suis un espèce de déserteur revenu voir ce que la vie donne de plus dans ce pays.
J’ai analysé et mis sur négatif mes observations et remarqué mon rôle dans ce partage avec cette gang qui fut la mienne. Je peux dire longtemps, mais au fond, ce fut intense et court. Mon sentiment pour ce pays quitté s’illustre par le vague des personnages présent. Je Clic et clic ma parole devient image.
Là au moment que je rédige cette histoire un grande émotion de gratitude monte. Je vois en silence mon chemin. Merci
Dans un petit coin me regardant Sylvain Tremblay avec son foulard blanc derrière Jean Grégoire et Jacques Brassard ami du primaire
Le frère de Sylvain je pense Michel Tremblay et Jacques Brassard jamais
dans la même équipe car je pense que l’on compétitionais l’un contre l’autre. Les autres un oubli pour leur nom .
Beau souvenir avec cette photo du bon temps dans les Scouts dans l’équipe des Loups ou je partageais mon adolescence avec ces jeunes intéressés au grand air et à la troupe
Pour Claude Boivin souvenir d’un gros buveur.
Pierre Turcotte `Mon ancien chef de patrouille des Loup. Son voisin
René Tremblay, ami de Serge et professeur et André Tremblay, ingénieur à l’Alcan un ami de mon frère
Roger Gauthier Alain Turcotte
Je pense que le passé fait parti du rêve. Bien assis devant mon clavier je cours après les mots que me souffle le réveil.
On pense ou plutôt je pense que je rêve et je me laisse bercer par la douceur du souvenir.
Le temps grand papa Boulet peux tu : oui Errol je voie le contact 23 que tu me présentes dans mon rêve . Je t’aime Errol . Merci Grand papa.
Je ne sais pas comment je me suis rendu là avec deux jeunes du Saguenay comme moi. Notre entré dans ce lieu a un but. C’est que la brosse continue.
Parmi les taverniers deux hommes assis à une table attire mon attention. Un d’eux nous fait signe. Un de nous trois retourne le salut. A vingt trois ans je viens d’entrer dans la vie de ce personnage qui nous salua. Un autre chapitre de l’histoire se grave sur pellicule argentique.
Les présentations se passe bien. Ma mémoire entend le nom de ces personnages de parfait inconnus. L’un se nomme Jean Billard professeur au Cégep du Vieux Montréal. Il est devant une bière. L’autre se trouve son ami Patrick Straram celui qui nous à saluer a notre arrivé. J’oubliais ce sont l’accent français.
Mes compagnons pour cette rencontre se nomme, André Duchênes, qui salua et connaissait Patrick, Jean-Pierre Bouchard ces deux autres personnages des amis de Jean mon frère: ce sont des musiciens d’Arvida en visite dans la grande ville.
Pour ma part je suis seul dans cette grande ville et pas trop aventureux dans cette nouvelle aventure. Je me laisse aller au gré du vent
C’est un événement marquant dans ma vie d’un jeune arrivé dans la grande ville. Je fais mes premières expériences dans la lumière tavernière de la Wilson. Le clic est facile. Je ne parle pas beaucoup.
Je me permets de prendre André dans son rire d’un criant de joie dans sa chevauché
Tu me surprends avec ta caméra jeune homme. Je suis à ma table pour avoir la paix. Je m’en excuse c’est ma première visite ici et je pense que tu va avoir ta place dans mon histoire.
Jean-Pierre les yeux perçant regard par ses lunettes le spectacle en souriant aux éclat de rire de son ami
Sur la même note : le plaisir!
Les discutions de tavernes passent par toutes les émotions de la vie. On en parle, des solutions inondent les intéressés.
Tu as raison sur ce point ces musiciens me fascinent je les découvre grâce à ma passion de musicien.
Je suis sérieux quand je parle de jazz et de cette musique qui me transporte dans un monde de grande extase puis de joie. Les vagues de notes remplis d’émotion quel sublime délire.
Je te connais assez pour te croire Patrick. A vous entendre votre passion la musique. Je vous sens passionné mais la bière se réchauffe.
pour ma part je suis un fan de jazz, bleu,tout ce qui colore mes moments d’écoute.
Je sais qu’il fait ce qui lui plaie. Je ne suis pas surpris de cela. Tu as raison de pensé comme ça.
Le Bison Ravi Patrick Straram Laisse moi sourire. Je te donne ce que tu as besoin – André Duchêne
Tu me surprends tu es un gros fumeur Jean-Pierre Bouchard Je surveille mon tabac.
Les voici communiquant face à face dans un réel : des rencontres des esprits.
Des amitiés de taverniers s’unissent au délire des verres à verre.
Une série de moments, d’expressions , de ce personnage haut en verbe et couleur
Me propulse à le voir entré dans ma caméra pour le souvenir.
Combien de foi que cet homme s’est assis là et le seul souvenir est celui ci
Ça me fait rire ces contacts avec les gens de partout dans un endroit si fermé de la vie
Ce n’est pas un coup de dé cette rencontre et surtout ce montage un comme une chandelle représentant la première rencontre avec cette taverne et le Bison, Billard Duchêne et Bouchard
Chapeau mon photographe du quotidien je le savais mais la te voir les transformer en histoire bravo
La chandelle du tavernier ses compagnons le sel, le verre et le journal et le cendrier.
Je le sais. Rien n’est fait pour rien.
Je peux parler de délire avec cet évènement car je peux en glisser un mot aujourd’hui. Le temps ma permis malgré le silence de photographe que je vivais dans ce temps de ramasser ces moments. Je les montre. Ce sont des histoires de la vie par les gens.
qui se sont prêter au jeu du kodak que je traîne dans ma vie de photographe actif.
Écoute il vient de prendre d’autres photos ça fait comme une symphonie
Je te remercie l’écrivain qui a pris le temps de vivre .à fond la poésie, la parlure, la réflexion… que dire de plus rien mais je peux écrire sur .
Pour l’instant laissons les balivernes de il faut ou je vais pour on est et on vie. Tient ma nouvelle façon de penser.
Mon dieu que va-t-il se passer?
un coin de table bien garnit. Je le surveille ce verre. Une belle transparence
Oh mon ami charrie pas j’en ai vu et bu d’autres encore plus plus. Tu voies bien que je peut en mettre des effets sur les sur qui passent et qui on passé. Je les rénove leur donnant plus de souplesses et d’imagination.
voici la chanson du au Canada c’est une farce .dit Patrick
Le temps de voir et c’est déjà du passé. J’aime cette journée dans le calme de la communion avec les gars du Saguenay des amis de Moustafa. Ce gars Hervé Lapointe est la source qui à amener la rivière a ce fleuve d’amitié.
Je sais que tu allais finir par traduire ces images en mots. Je te salut de mon Âme cliqueur de présent.
La photo de l’urinoir de la taverne Wilson. Un passage obligatoire pour vider le trop plein.
Il est indispensable d’aller faire un changement avant de pisser dans nos culottes.
La suite se fera au jour le jour, pour vous le rappeler le 17ième contact est en route.
Un image parlant des habitations entre les arbres et le ciel.
Branche branchée dans le temps grâce à l’observation du clic heure.
Des formes lumineuses sous le lampe de la rue
Le reflet dans la vitre
Des horizons meilleurs se présentent dans la vie de chaque être. Je fais parti de ce genre. Humain en venant me faire une place dans ce pays du nord. La chaleur s’incarne près d’un bon feu.
Tu parais pas mal bien sous les projecteurs. Toi aussi dans l’ombre de la lumière
Ça tourne dans le champs de vues. Quel cinéaste se recherche au point de refaire la même vue une autre fois.
Je pose pour la photo. Que va tu faire avec? Elle sera dans mes mémoires comme étant une personne qui est passée dans le même présent qu’en ce moment.
un moment de délice un corps à corps …
Corps délicat, tendresse, sans limite ils vivent. Un,une partenaire sensible à la douceur des caresses.
Main douce peau merveilleuse amie de tendresse
Comment faire ressortir cette union devant mon œil scrutant les clics avenir pour saisir ce qu’il faut.
Regarde je touche ton corps du bout de mon mamelon mon beau Steve merci de cette grande douceur.
Les mains fouilleuses atteignent la sensibilité par le touché
Enlacer pour vivre
Je sens ton sein entrer dans mon corps. Quel douceur ce contact qui me fait vibrer dans tous mes nouvelles découvertes de chaque instant .J’immortalise ce délicieux moment et cette grandiose action d’un corps autre que le mien.
La vie de garage la nuit éclate dans le noir sous les projecteurs alimentés par notre compagnie l’Hydro Québec de consonances US. Même les autos du Japon y sont mis dans
Les cheminées fument sous la lumière de la nuit
Les chars camouflés se dissimulent
Les pétrolières se dissimulent au coin d’une rue à l’ombre de la lumière des vitrines illuminées. Le noir ressort les détails que la lumière atteints.
Des lunes orne la noirceur quand le soleil s’est sauvé sous d’autres cieux
Essayer de voir les gens qui s’affairent à vivre dans ce coin de la ville sous la surveillance des lunes d’artifices. Ça devient un jeu que je peux laisser pour d’autres
L’attraction de la nouveauté fait son chemin. Les autos les camions dans les coin noir regarden les tous jeunes brillant dans les vitrines du marchand.
Une nouveauté ce genre de pensée arrive du Japon pour prendre leur place dans la vie nord Américaine. Après un recul ils ont performé très fort et réussi.
L’asiatique du forum de la vente performe avec ses machines nouvelles vagues
Sourire égale performance. Utiliser cette technologie donne des réussites.
Vivre cette vision me donne ce sourire. Vivre aisément l’accès à l’aisance. Être décontracté
La station service lui et l’auto se montrent.
Conte de sous je ne sais pas quand je vais partir
Yvan de Pelteau toujours plein de joie a fait sa marque dans mes contacts
J’ai dû prendre le temps de voir et c’est venu claire.
Le contact 14 bien oui je vais le regarder! C’est sérieux cette photo je me glisse entre les gens du moment.