Contact #11- Séance de pose Suzanne et Steve nu-e et voyage dans l’est de Montréal

by Août 2, 2021blog, famille, Moment présent, Nu artistique

deux femme discute vu de l'intérieur d'une voiture

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Découvrez les images exclusives jamais publiées de la collection personnelle d’Errol Gagné qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1970 et 1975. Une époque très peu documentée.

Suzanne dans un chalet avec nous moi et Hervé et sa jumelle Louise Durant.

J’ai revu Suzanne durant un atelier sur la naissance pour notre Fils Loupin en 1985 dans les Canton de l’est. Elle était une infirmière elle assistait sa sœur et son beau frère les formateurs pour une naissance toute naturelle. .Je ne me souviens pas de son nom mais de sa présence après presque trente années sans l’avoir vue. Une bonne amie de mon ami Moustafa.

Femme et chatte chantent leur couplet devant ma présence.

Le ronron des seins et du chaton donne le sens au visuel

Le pigment de l’agrandissement donne l’effet de l’observation de la poitrine de cette femme.

Quel beau toutou le nez bien sortant, les yeux maquillés les cheveux dans la face  Le chaton regarde ce spectacle comme ça avec curiosité.

La chatte d’Espagne attend le buffet.

petit sein ronron la tête entre les bras.

Que de douceur dans la chaleur du poil

Femme et chat

Aujourd’hui le 11 février 2020 quelques années déjà de passer. Je vais parler de mon début de journée. Très tôt je sors dehors un froid d’hiver doux m’attends sans bruit dans une brume à couper au couteau.

Une autre vision, un mur décoré de flèches que reçoivent les corps de mes sujets.

La chevelure inonde le corps de la femme.

Un murmure dans le dos réveille le sens du touché le corps s’étire.

Éclair dans un coin de mur

Réveil de la sensualité devant des corps se touchant.

Je pense au président des États-unis. Je constate un milliardaire c’est Ok pour ses idées. En 2020

La demande du changement arrive quand on doit le faire. Ce matin j’entre dans mes réalités. J’écris.

Les images vont jouer du recuit mais le lecteur, vous entre autre, devez voir la nouvelle vision du quotidien que la vie me demande d’exprimer.

J’apprends à me lever très tôt. Mon réveil se forme depuis près de cinquante jours à faire autre chose que de dormir. Je me permets de fabriquer pour mon bien être personnel des moments de silence en réveil , des affirmations positives, des visualisations que je ne comprends pas encore comment y arriver même si je sais comment le faire . Mes résistances terriblement marquées me propulsent que des moments de noir constant. Je continue.

Le temps passe vite déjà presque vingt minutes de passé.

L’écriture vient me redonner un contexte plus tangible. Encre bleu sur papier blanc ligné bleu avec marge soulignée rouge. Un autre bon moment de passer. Une belle lecture d’une vingtaine de minutes s’envole comme une flèche tirée de la tablette de Guillaume Tell. Le point centre de la cible stabilise le projectile.

Une cloche intérieure me prépare au dernier plaisir de ce début de journée. Une course dans mon quartier tranquille à cette heure du matin.

Je me prépare par me mettre des vêtements chauds et confortables et je me glisse doucement par la nouvelle porte bleu acier de la maison.

Comme pour ma passion de la photo je dévore la froidure qui entre dans mes poumons que ça me fait du bien. Mes yeux scrutent le décor comme ce matin le 11 février une brume couvre l’atmosphère.

Doucement je me dirige vers la rue en marchant dans le corridor de neige et rendu dans la rue; c’est parti.

 Je me souviens de mes premiers départ la distance s’est mis à se rallonger au jour le jour.

La douceur de mes pieds sur la neige pressée par le passage de la charrue ou des autos devenait ma piste d’hébertiste. 

Très doucement mes pieds se soulevaient du sol et me dirigeaient dans une confiance me caressant de gratitudes d’être rendu là parce qu’un livre me rappelle : Ose, tu ne perds rien de le faire.

 L’écrivain me rappelle que des idées profondément enfouies dans mon caractère vont venir me donner des informations; que ce que je fais ne donnera rien.

Je me souviens de ces phrases quand le désir de revenir dans mes vieux schèmes de pensée se pointe. L’importance de continuer me crie les mots du livre. Je ralentis et je repars en douceur. J’oublie mes craintes. Je m’aperçois que mes exercices se terminent en douceur.

Quel calme mon ami j’aime ça te connaître.

Je vais continuer par le réveil que cela me donne. Je revoie les livres qui me disent fait ceci, fait cela je deviens mélanger par des actions pas prêt à faire car je ne me retrouve pas dans cette évolution. Il me manque des informations. Je me base sur ma façon de comprendre les choses.

J’aime bien aller vite et comme une poule sans tête je me précipite dans toutes les directions sans me soucier si c’est bien la bonne.

Le temps à passer et l’évolution me montre plein de discernements nécessaires afin de réaliser une action.

Rien ne se fait tout seul. J’ai dû passer par cet apprentissage qui semble banal pour certain, alors que pour d’autres cela  leur semble naturel. Moi, «je«, la magie j’y crois. La vie m’a fait descendre sur la terre.

Un murmure dans le dos réveille le sens du toucher et le corps s’étire.

Tu me fais sourire avec ton objectif à clic. Tu as raison. La vie me donne à voir les gens dans leur originalité. Mon clic leur donne afin la chance de vivre la destinée qui leur revient par l’immortalité de chaque cliché d’eux.

Toi Suzanne ton charme je le grave sur mes images. Elles vont me servir dans pas mal de lunes. Elles vont me permettre de parler plutôt d’écrire ces inventions des mots qui se bousculent afin de raconter le pourquoi nous avons fait cette séance de photos.

 Je te souris car tu as le sourire en pensant au chemin parcouru. Toi ton chemin t’a emmenée où ?

Je te regarde, je m’inspire du charisme de tes vingt ans afin de dire aux gens je possède la vie.

 Chaque matin je me mets belle et j’affronte la vie. Je remplie mon âme d’AMOUR.

Enlacée pour la douceur et le contact avec mon ami Steve. Il me fait me sentir belle et bonne.

Ces corps dévoilent la vie pour la vie.

Encore de belles histoires qu’un photographe peut dire dans des mots à travers ces images de sa vie. Souvent cette réalité se répète par d’autres gens.

J’écris pour me dire puis laisser ma trace dans cet univers immense puis semblant changeant mais d’une stabilité super réaliste.



Ami de la photo de passage dans ma transformation en cliqueur de présent. Dans un chalet dans l’est de Montréal avec les sœurs Durant et moi voilant voir la vie.
la vie change

Une vision de la propreté au moment de notre visite dans se chalet.

Il fait froid ce matin dans le chalet. Une bonne tasse de café et une bonne cigarette réchauffent.

Je me demande ce que le temps apporte dans la vie de tous les jours. Moustafa depuis longtemps fait un autre voyage. Pour ma part l’arrêt de fumer des cigarettes et autres produits dérangeant me ramena dans la présent. Je me disais ben GELER ce qui me rendait fier de cela.

Une foi gelée, pour être, il faut la dégeler. Je me pose la question comment je vais là en ce moment? Je me réponds très bien. Je désire prendre de plus en plus conscience de la vie.

Une grosse rouleuse se consommant entre deux doigts de…

Enlacer par le charme de la nudité je vous remercie les amis.    

Le temps fait des ravages sur le matériel. Bravo au temps de ce travail sur moi afin que je numérise mon matériel qui me permet d’écrire cette histoire du quotidien d’hier et d’aujourd’hui

 Le corps se trouve l’enveloppe du «MOI« merci à toi Suzanne …

Que se passe t-il en ce moment on passe au 12ième contact bravo le chemin va bon train

Errol regarde négatif d'une photo

Errol Gagné Photographe

Ce blogue raconte les nombreuses histoire d’un homme qui a capté les évènements de la contre-culture québécoise tournant autour du Conventum, centre d’essaie multidisciplinaire mythique du 1237 Sanguinet à Montréal, entre les années 1972 et 1976. Découvrez les images exclusive jamais publiées de sa collection personnelle qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1972 et 1976. Une époque très peu documentée.