Le Bison Ravi
Je ne sais pas comment je me suis rendu là avec deux jeunes du Saguenay comme moi. Notre entré dans ce lieu a un but. C’est que la brosse continue.
Parmi les taverniers deux hommes assis à une table attire mon attention. Un d’eux nous fait signe. Un de nous trois retourne le salut. A vingt trois ans je viens d’entrer dans la vie de ce personnage qui nous salua. Un autre chapitre de l’histoire se grave sur pellicule argentique.
Les présentations se passe bien. Ma mémoire entend le nom de ces personnages de parfait inconnus. L’un se nomme Jean Billard professeur au Cégep du Vieux Montréal. Il est devant une bière. L’autre se trouve son ami Patrick Straram celui qui nous à saluer a notre arrivé. J’oubliais ce sont l’accent français.
Mes compagnons pour cette rencontre se nomme, André Duchênes, qui salua et connaissait Patrick, Jean-Pierre Bouchard ces deux autres personnages des amis de Jean mon frère: ce sont des musiciens d’Arvida en visite dans la grande ville.
Pour ma part je suis seul dans cette grande ville et pas trop aventureux dans cette nouvelle aventure. Je me laisse aller au gré du vent
C’est un événement marquant dans ma vie d’un jeune arrivé dans la grande ville. Je fais mes premières expériences dans la lumière tavernière de la Wilson. Le clic est facile. Je ne parle pas beaucoup.
Je me permets de prendre André dans son rire d’un criant de joie dans sa chevauché
Tu me surprends avec ta caméra jeune homme. Je suis à ma table pour avoir la paix. Je m’en excuse c’est ma première visite ici et je pense que tu va avoir ta place dans mon histoire.
Jean-Pierre les yeux perçant regard par ses lunettes le spectacle en souriant aux éclat de rire de son ami
Sur la même note : le plaisir!
Les discutions de tavernes passent par toutes les émotions de la vie. On en parle, des solutions inondent les intéressés.
Tu as raison sur ce point ces musiciens me fascinent je les découvre grâce à ma passion de musicien.
Je suis sérieux quand je parle de jazz et de cette musique qui me transporte dans un monde de grande extase puis de joie. Les vagues de notes remplis d’émotion quel sublime délire.
Je te connais assez pour te croire Patrick. A vous entendre votre passion la musique. Je vous sens passionné mais la bière se réchauffe.
pour ma part je suis un fan de jazz, bleu,tout ce qui colore mes moments d’écoute.
Je sais qu’il fait ce qui lui plaie. Je ne suis pas surpris de cela. Tu as raison de pensé comme ça.
Le Bison Ravi Patrick Straram Laisse moi sourire. Je te donne ce que tu as besoin – André Duchêne
Tu me surprends tu es un gros fumeur Jean-Pierre Bouchard Je surveille mon tabac.
Les voici communiquant face à face dans un réel : des rencontres des esprits.
Des amitiés de taverniers s’unissent au délire des verres à verre.
Une série de moments, d’expressions , de ce personnage haut en verbe et couleur
Me propulse à le voir entré dans ma caméra pour le souvenir.
Combien de foi que cet homme s’est assis là et le seul souvenir est celui ci
Ça me fait rire ces contacts avec les gens de partout dans un endroit si fermé de la vie
Ce n’est pas un coup de dé cette rencontre et surtout ce montage un comme une chandelle représentant la première rencontre avec cette taverne et le Bison, Billard Duchêne et Bouchard
Chapeau mon photographe du quotidien je le savais mais la te voir les transformer en histoire bravo
La chandelle du tavernier ses compagnons le sel, le verre et le journal et le cendrier.
Je le sais. Rien n’est fait pour rien.
Je peux parler de délire avec cet évènement car je peux en glisser un mot aujourd’hui. Le temps ma permis malgré le silence de photographe que je vivais dans ce temps de ramasser ces moments. Je les montre. Ce sont des histoires de la vie par les gens.
qui se sont prêter au jeu du kodak que je traîne dans ma vie de photographe actif.
Écoute il vient de prendre d’autres photos ça fait comme une symphonie
Je te remercie l’écrivain qui a pris le temps de vivre .à fond la poésie, la parlure, la réflexion… que dire de plus rien mais je peux écrire sur .
Pour l’instant laissons les balivernes de il faut ou je vais pour on est et on vie. Tient ma nouvelle façon de penser.
Mon dieu que va-t-il se passer?
un coin de table bien garnit. Je le surveille ce verre. Une belle transparence
Oh mon ami charrie pas j’en ai vu et bu d’autres encore plus plus. Tu voies bien que je peut en mettre des effets sur les sur qui passent et qui on passé. Je les rénove leur donnant plus de souplesses et d’imagination.
voici la chanson du au Canada c’est une farce .dit Patrick
Le temps de voir et c’est déjà du passé. J’aime cette journée dans le calme de la communion avec les gars du Saguenay des amis de Moustafa. Ce gars Hervé Lapointe est la source qui à amener la rivière a ce fleuve d’amitié.
Je sais que tu allais finir par traduire ces images en mots. Je te salut de mon Âme cliqueur de présent.
La photo de l’urinoir de la taverne Wilson. Un passage obligatoire pour vider le trop plein.
Il est indispensable d’aller faire un changement avant de pisser dans nos culottes.
La suite se fera au jour le jour, pour vous le rappeler le 17ième contact est en route.