Contact #9 – Le parc Lafontaine et ses acteurs

by Juil 19, 2021famille, Moment présent

deux femme discute vu de l'intérieur d'une voiture

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Découvrez les images exclusives jamais publiées de la collection personnelle d’Errol Gagné qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1970 et 1975. Une époque très peu documentée.

C’est reparti dans ma journée il est 9:10 et je suis devant l’ordinateur. Le son du numériseur rythme mon élan à écrire. Sur la scène du théâtre en plein air du parc Lafontaine cette journée d’automne qui se déroule en début de l’après midi avec mon frère Steve qui commence lui aussi son adaptation dans cette nouvelle ville.

Une de ses amies nous accompagne Suzanne. Je clic avec mon troisième oeil sur les sujets qui s’exprime corps et âmes. Leurs jeux sur la scène attirent mon attention dans la découverte de leurs expressions théâtrale.

Je regard mes photos ils représentent ces moments de recherches. Je trouve que très peu son foyer même la  luminosité reste à équilibrer je les voient agréable le temps se refait une vie. Je voie que je suis dans le début de mes courts intensifs. Le fait de ce projet d’écriture me montre le résultat de mes expériences déjà cinquante ans après leurs développements. 

Que représente cette comédie?

Je me sens bien avec vous deux ,les frères . Steve joue bien son rôle de différent.

Il pousse à font la machine du jeu de rôle qu’il à qui depuis sa naissance.

Un homme de grande qualité, spontané et inventif. Souvent dans sa pièce du vampire avec ses deux dents qui prédomine ses crocs comme il avait plaisir de les montrer

Sa vision vers le demain se trouve rempli de châteaux. Déjà à vingt ans il se démarquait.

La pose de Steve me rappel son côté excentrique qui me faisait du bien quand on était ensemble merci mon frère.

Je suis fière de ces résultats. Imagine : je sors  de sous la jupe de maman. Ma décision c’est la photo. L’univers me procure le stock pour m’exercer. Simplement je prends des risques.  Je suis la route de ma journée et la rue demeure le studio le plus créatif de la city

Dans le coin du parc en haut de la colline un événement attire mon attention et le clic se fait.

Un autre surgit là bas. Je cours l’instant se fige. Elle semble ressemblé à Hélène l’amoureuse de Bonaparte. Drôle de coïncidence : le monument 1660

Faisant le tour de mon milieu les objets qui si trouvent reprennent vie quand quelque chose de nouveau vient leur donner une vie. Ce couple heureux dans leur amour partage leur instant de bonheur avec moi. Leur présence anime ce monument de Dollars.

Tient le photographe regard par ici je prend la pose de l’empereur Français dans sa pose de vainqueur.

Dollard ce héro de chez nous dans sa pose de marbre.

 Un peu plus loin de ce cliché de souvenir cet homme à la pipe vient décorer la routine du marcheur par sa présence surveillant ? Même le char, les portes de l’église donnent un ambiance de tout est bien nous sommes dans le coffre à surprise. Le simple fait de marcher les mains dans les poches, la pipe à la bouche et la casquette bien plantée sur sa rête le rend la vedette de mon attention Son indifférence face à la vie lui redonne une dynamique.  Celle du plaisir de la marche dans cette ville rempli de direction. J’ai la chance de vous l’offrir comme un cadeau cette instant de la vie. Ce marcheur dans la ville  pris sur le vif.

Comme le marcheur Péloquin vient s’incorporer dans cette page.( Contact 1235 1237 Il lit, l’autre fume sa pipe, ce sont des humains se développant à leur manière. L’action de chacun apporte une différent sur la terre.

  Claude Péloquin de passage dans ma vie durant la semaine de la contre Culture ma permis de gravé ces photos d’une autre époque pour se souvenir. Ces moments reprennent forme et vie grâce à l’écriture sur ces photos archivées puis remis à jour pour le bonheur d’un passage bien réel de ses personnages connu et non je les expose. Comme l’homme inconnu a la casquette et la pipe revivent encore.

Toi qui lis tu leur redonnes vie. Le roule de la vie c’est ça.

J’aime faire revivre cette énergie réelle dans son présent.

Le tout petit inconnu prend une position de connu par le truchement de l’agrandissement.

contact de la contre culture 1975 contact 1235

Le livre impressionnant vu de près. Un livre représente une histoire à lire pour se donner une idée de ce qu’il raconte. Comme on dit dans la maxime les écrits restent et les paroles s’envolent. Je rajoute les pensées aussi.

Dans son bouquin il nous narre ses idées, ses pensées qui resteront graver comme sa phrase ‘Vous n’est pas tanné de mourir bande de cave.’ Gravé sur une sculpture de Jordi Bonnet quelque par au Québec. Cela est vrai que l’on peut la lire si on ne l’a pas enlevée cette sculpture. Chose possible qui arrive des fois pour des créations …

Son air le fait voir comme un illuminé mais il vit lui aussi dans ce monde qui donne l’illusion que le réaliste c’est la machine qui nous avale.
Ce qui me fait dire ça c’est ma perception limitée des connaissances sur tout ce qui m’entoure.
Pareil à lui, je lis pour me renseigner afin de comprendre ma vie et la vie.
La liberté me rappel que les informations que je reçois me déstabilises très souvent dans mes pensées et mes actions. Alors je limite l’entré de messages comme la télévision, la radio et les journaux. Une exemple hier, le jour de la St Valentin, mon regard se tourna sur le gros titre d’un article du journal local, l’année 2020, Son titre : Un manque de logements et un couple de jeune l’air triste. Cette nouvelle m’a affecté.

Le texte d’une chanson pour Robert Charlebois ‘ monsieur l’indien’

Tient Tabernacle ma prière se dit comme : Ouvre ton cœur esprit tu dors à plein gaz. Regard l’espoir du sourire que tu lances à droite et à gauche en haut, en bas. Rien ne charme plus que l’espoir de la réussite. Sentir l’oméga au zénith de sa pensée en disant : Debout hostie le temps passe. Un autre instant remplace celui-ci. Le soleil brille. La lune joue à la rondelle elle se dévoile chaque soir de plus en plus plein.

Les étoiles ressemblent aux points sur la page et chacun inonderait la terre bien des millions de foi.
venant de nulle part il repart dans la vague de la photo clic.
Je dis des vérités mes vibrations de mon cœur.

Partons avec ton concept de redonner vie à la vie passée Errol. Je sais et tu sais que ces mots tapés en ce moment transformeront tes désirs intérieurs par une réalité bien réelle. Les pensés s’envolent et les écrits restent. Tu te répètes. 

Je sis comme je te disais mes connaissances se limitent à ce que je sais. Partir dans des envolées  me permettrai de me prendre pour un oiseau et je respect l’espèce.  Je me nomme Homme.                                                                           

Dans mon aujourd’hui je commence par cette photo du parc Lafontaine après un début intense en 2020 16 février. Levé tôt fait une promenade en courant comme tortue le trajet d’une tortue. Ce sentier tracé dans mon imaginaire me permet de dire merci et d’être dans la gratitude de gambader encore sur le terre avec cette grande énergie.  J’aime toujours entendre une histoire qui tire par le cheveux de la part de gens heureux ça décompresse

Ma conversation se fait entre moi et l’univers. J’aime ce moment du par cet la joie que dégage la marche des marcheurs tranquille dans un lieu vert d’une ville qui a su garder quelques belles pièces de la nature . Le parc Lafontaine incarne pour moi le paradis.

Recréer une journée de grand plaisir avec les inconnues qui passent près de moi la belle vie.

Prendre le moment et l’étirer pour en montré la diversité et faire voir que notre vision laisse gravé dans notre mémoire pleuin de milliers et plus de détailles Dans notre cerveau.

Je n’arrive pas à prendre ton pas . Regard c’est facile. Tu lèves le pied gauche et un petit hop le droit suit sans problème. Tu as raison c’est facile et je ne comprend aucunement la routine de ton pas qui te fait flotter en marchant.

On cherche quoi là Claudia? Un ami qui dois venir me voir.

Un parcours étonnant la marche

Les idées me font prendre toute sorte de direction comme les branches qui nous entour.

Tient c’est tu le bonhomme avec le chapeau et la pipe là bas?

le marcheur

 Bien oui vous êtes mes vedettes. Je suis heureux que tu sois au rendez-vous Claudia. J’ai marché avec mes amis ils m’ont demandé ce que j’allais faire au parc Lafontaine? C’est simple venez avec moi voir. Salut les gars je me nomme Pascal.

l’observateur démasquer

Tu te prends pas mal au sérieux avec cette Minolta. Gagne tu ta vie avec? Une bonne question qui reste sans réponse encore aujourd’hui. Je me permet de répondre : Bien je passe ma retraite à préparer une nouvelle vie à votre vie des années 1972. J’ai pris quelques années pour numérisé et voir mes clichés. Un chiffre me vient près de plus de trente six milles photos des années 1972 au 1978. La plus part sont l’historique de mon déménagement de la région à la ville et la création d’un endroit où nous avons créé pour la culture. Au moment que vous passé devant mon Kodak rien de cela existe. Je me trouve dans un cours intensif avec la vie et moi. A développer plus tard avec les écrit. Je reviens avec la rencontre de Claudia et ses amis et Pascal. Je suis son Grand père affirme

fièrement l’homme.

Tient encore la Claudia tu l’aime ton pépé? Depuis que tu le voies il est plus souriant. Tu sais : vous autres aussi les boys une visite ou une rencontre avec le vieux temps c’est une bonne chose pour la société en général.

Je peux vous faire l’éloge de ce pourquoi. Je commence comme ça. Une histoire 

Dans le silence la rue Parc Lafontaine Henri se lança dans son histoire.

Il était une foi dans une grande ville un grand espace réservé pour donner aux gens de cette ville la chance de rire chanter, parler marcher, s’asseoir et rien faire que de respirer. Chacun des habitants de cette ville prenaient le temps pour faire un ressourcement régulièrement. Un jour on ne sais pas pourquoi plus personne ne trouvaient cette endroit. L’espace disparu durant bien des jours même des semaines.

Les gens de la ville s’apercevaient une différence dans le rapport entre eux. Les tous jeunes se posaient des questions du comment dans la ville il se trouvaient que des jeunes. La vie soustraie les vieux et vieilles du quotidien. Les bancs des trottoirs sans plus personnes pour les usés. Un groupe de jeune et plus jeune se retrouvèrent au coin d’une rue qui se trouvait celle où régnait cette endroit calme disparue que personne ne savaient le comment l’évènement se produisit. Tous les gens se dirent : je me rappel que la vie grouillait plus quand les personnes ayant de l’age rendaient sons le savoir un équilibre.

Un enfant se mit à dire fort je m’ennuie de grand papa et de grand maman. Les plus âgées se mirent à rire en pensant à ces personnes qui sans le savoir donnaient un grand bonheur à la ville et surtout aux enfants et petits enfants manquant de connaissance, d’expériences dans les choses de la vie.

je te voie

Une entente collective se leva et les gens de toutes âge de la ville décidaient de retrouver l’endroit disparu.

Elles font une marche de l’observation autour du carré où jadis se trouvait le parc Lafontaine. On sait que le désir de la majorité unit pour un même désir donne des fruits. Par magie car c’est une histoire un son commença a se faire entendre. Les arbres du parc redevinrent visible et par sur plus les voix des personnes âgés retirer dans le silence de la nature résonna dans la ville dans ce lieu privilégier afin que les gens se redonnent du bonheur redevins a ce moment la rencontre que les gens vivant se parlent l’un du passé et l’autre du présent. Plein de personnes se promènent et se reconnaissent.

Un automne favorable à la prise de vu du photographe en devenir. 

Salut Grand papa lança la petite fille et un au revoir de ses amis au bonhomme.

La vie respire la vie pour ceux qui connaissent cette histoire.

de loin la vie est là

Les arbres du parc se croisent entre les gens qui si risque. Un sage se trouve toujours présent dans ce quotidien. >On marche sans but que celui de vivre un bon moment à travers la nature que les gens se sont donnés pour une retraite et un recueillement pour notre âme qui virevolte dans la vie de tous les jours.

Voir depuis ce temps là que les choses comme ça se reproduise dans tous les coins de verdure de sur cette terre. J’apprécie toi et toi qui font de ses lieux des endroit de privilège encore aujourd’hui.

Des beaux moments donnent ces paroles ces rires

    Je vous regard et je clic sur vos pensées.    

Tordu comme les idées de l’inconnu mais claire comme la vie sur la terre.

La femme dans le parc rencontre ses amis les écureuils parmi ces arbres qui donnent de l’oxygène la notre planète. Je remarque les édifices en arrière plan avec ses fenêtres pour la lumière de cette belle terre. Un petit arbre à travers les vieux  qui donne de l’ombre et

décor de lignes le gazon du parc.

sur la rue
elle cherche
La joie de famille
Il se font petit
Je repense
les souvenirs se présent
Bien oui je me prépare

Tous ces images m conduisent là au contact qui suit la vie le 10

Errol regarde négatif d'une photo

Errol Gagné Photographe

Ce blogue raconte les nombreuses histoire d’un homme qui a capté les évènements de la contre-culture québécoise tournant autour du Conventum, centre d’essaie multidisciplinaire mythique du 1237 Sanguinet à Montréal, entre les années 1972 et 1976. Découvrez les images exclusive jamais publiées de sa collection personnelle qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1972 et 1976. Une époque très peu documentée.