contact #2 et 3 – le chat

contact #2 et 3 – le chat

Les chats :

Comment écrire sur ce félin qui sans aucune raison se présente sur mes contacts Bien oui il y en a une raison. Je me la suis expliqué comme ça:

Je suis dans l’action et en écrivant je pense que je doits faire avancer la numérisation afin de vous faire connaître encore et encore d’autres photos qui font partie de cette histoire.

Une petite description de ma journée.  

Je suis dans mon atelier où j’ai regroupé ce que j’aime faire. : guitare et photos.

Je suis un peu un personnage qui aime faire des choses qui vont me servir. J’aime la music et en ce moment je viens de changer dans mon numériseur les négatifs pour remette en marche l’ordinateur qui fait ce travail pour moi. Il me faut juste lui demander avec précision et tout est exécuté. Je peu retourner jouer sur ma guitare des pièces connues ou mes improvisations sur ce qui se passe. C’est simple comme ça.

J’ai incorporé à ma routine ce texte.

Bien oui je dois retourner à l’ordinateur qui a fini son action.

Tout le reste se fait comme par magie. Fini! Je dois choisir revenir au texte ou bien la guitare. Je choisie la musique et sur le lutrin la partition des Copains  de Georges Brassens.

Déjà trente huit photos dans un nouveau médium, une partition de lut et jouer, quinze minutes derrière ces actions qui se multiplie encore et encore.

Avant tous ses mots je voulais décrire le pourquoi ces images de chat se retrouvent dans mon trajet.

En me promenant dans ma journée je me pose la question comment je vais présenter ces contacts #2 ainsi que #3 de cette belle série de moments prises et regardable.

Ma pensée allait comme par là et comme par ci.

Je viens d’un milieu où les chats ne se trouvaient que dans les bandes dessiner ou les dessins animés. C’est drôle à écrire mais je ne connaissais aucune famille avec un ou des chats. Un chien ok chez-nous je me souviens d’en avoir eu un.

Je reviens au chat.

Je suis chez Jean et Louise et ils ont un chat toute noir. Étant invité je suis chez eux et c’est comme de très bons amis es c’est mon frère et sa femme, en plus je les ai aidé à déménager. Je m’installe à la Grande ville un peu a cause d’eux. Je me souviens on écoute le poste de radio Ckoi fm un poste anglais qui fais tourner des disques en français. C’est dans cette période que Jim Corcoran et Bertrand Gosselin tourne avec Welcome soleil et la musique québécoise prend sa place. Jean est un créateur et il as meublé son appartement et fait des tables avec des photos de téléphones trouvés dans les ruelles. Et me voici relaxant après la journée passé à découvrir la ville. Maintenant après un petit relaxant et amplificateur

Gouttes dans le lavabo devant le chat.

 Le contact deux tiré de cette pile de trouvailles raconte la façon de comment se dérouler la journée afin de graver une autre page de la vie retrouvé d’un passé le mien. Par la suite lui donner la vie pour le futur.

Comment et quoi écrire sur ce félin? Il est là sur ses contacts. Bien oui je me rappelle de la raison.

Je me prépare à écrire ce texte.  Un moment de réflexion m’arrête.

Je pense à toutes ces photos prisent, un gros projet. Je me dis :’ Je dois faire avancer le transfert d’un support argentique a celui du  numérique. Ce saut me permet afin de vous faire connaître encore et encore d’autres photos qui font partie de cette histoire. Prenons en une bouché un peu à la fois.

La vu d’une fourchette dans une assiette puis les quelques gouttes d’eau du robinet se glissant devant l’écran noir du chat me révèle des richesses de détails. J’écrire et découpe dans les images pour mieux voir la grandeur de la réalité que l’on prend pour a qui en regardant vitement le moment croqué par la sensibilité d’une pellicule

Ce compagnon de cette hiver, là, ma donner la joie de le prendre en silence en photos  pour mes souvenirs.

Ce matin je respire de bonheur et de joie.

Je sens le chat content de mon écrit sur lui. Maintenant je parle du temps de mes vingt ans. Je peu dire que la consommation de hashi de marijana de bières et autres substances chimiques se trouvait être mon mode de vie. Je pouvais avec l’aide de ma consommation trouvé de merveilleux petits moments relaxant et amplifiant mes sensations d’admirer la beauté de ce qui m’entour. : Un bon Joint plus pour moi maintenant depuis longtemps.  La réalité simple me fait apprécier vraiment plus ma vie

Je vais réaliser cet exercice de plaisir à observer et écrire toute au long des pages qui vont suivre. Comme Noireau je voie tout ce qui attire mon attention.

Voir le chat passionné à ce qui se passe autour de lui me donne le goût de limiter.

Une petite description de ma journée me décrivant dans l’action.  

Je suis dans mon atelier où j’ai regroupé ce que j’aime faire. : Guitare et photos.

Je suis une personne qui aime faire des choses qui vont me servir. J’aime la musique. Au  moment de ce texte, je viens de charger dans mon numériseur des négatifs d’un contact pour remette en marche l’ordinateur qui fait ce travail pour moi. Il me faut juste organiser l’appareil avec précision pour que son travail soit mon désir. Mon associé exécute le reste une foi programmée. Un dix minutes d’attente me laisse libre de faire autre chose.

Je retourne jouer sur ma guitare des pièces connues ou mes improvisations sur ce qui se passe en grattant ma guitare. C’est simple comme ça.

Le son du numériseur se taie. Son silence me chuchote: ‘Bien oui tu dois retourner à l’ordinateur j’ai fini mon action. Je suis près à une autre commande’.

Sans le faire attendre, je lâche l’action en marche. Je reprends la routine installée depuis plusieurs contacts de rajeunissement.

Je dois préciser que la nouvelle démarche de raconter une histoire avec ces photos ma demander d’insérer le jeu de l’écriture sera pour moi une agréable nouvelle tâche.

Une foi le chargement du numériseur fait, je dois choisir maintenant entre revenir au texte ou bien la guitare? Le choix semble facile. Je choisie la musique. Sur le lutrin la partition des Copains  de Georges Brassens attend en silence.

Le temps passe dans la journée. Il y a déjà trente huit photos de rajouter dans le classeur de l’ordinateur ce nouveau médium de conservation. Ce n’est pas tout en plus une partition de lut et jouer. Un autre quinze minutes d’actions s’est gravé dans le grand livre  du passé. Je vais les multipliés encore et encore durant une bonne partie de la journée.

Cette description énumérant mon emploi du temps pour réaliser cette grande aventure de l’écriture me conduit à dire;’Voilà cette courte histoire décrite parce que j’ai choisi  d’écrire au lieu de faire de la musique entre deux chargement de négatifs.

 Un soir tranquille chez Jean et Louise le spectacle de la vie se déroule sur la musique du poste de radio anglais Chom FM. Le chat de la maison virevolte, par n’importe où!  Sur la bibliothèque de la maison signé originalité. Johnny à récupérer dans la ruelle pas loin de chez lui de vieux morceaux de bois qui y traînaient. : 4/4 de grosseur et de huit pieds et de  4pieds de long. Avec son imagination le tour de magie créatif fut joué. Cette installation leur servit de décor dans leur vie à deux et en plus pour la séance de photos avec le chat.

Le chat Noiraud

Noiraud que je découvre dans son environnement est gracieux, souple et d’une belle félinité. Suivi par la caméra ont l’observe faire ses numéros unique à lui. La surprise de ce que c’est un chat me fascine ainsi que mon frère Serge.

Errol joue avec le chat. Cette bête se promène sur le bout des pattes, sa silhouette à la lumière hou ha. Un respect

s’établi entre moi et ses gracieuses pirouettes.

 J’aime bien écrire sur ce sujet, il m’inspire. Dans cette planche contact je regard avec attention. Il y a toujours des découvertes. Le temps de recopier les photos du contact 1 et de me glisser dans mes pensées pour trouver les mots pour dire ce que je veux exprimer pour ces moments passés que je rajeunis en les montrant dans cette histoire.

Redire :

La valse de mes pensées a décrit le début de l’aventure du chat. La reprise de la musique du clavier sur les touches des lettres répond à mon questionnement de comment je vais présenté cette belle série de moments prises par moi et Serge.

Je viens d’un milieu où les chats ne se trouvaient que dans les bandes dessiner ou les dessins animés. C’est drôle à écrire mais je ne connaissais aucune famille avec un ou des chats. Un chien ok chez-nous je me souviens d’en avoir eu un.

Je reviens à l’histoire du chat.

Je suis chez Jean et Louise et ils ont un chat toute noir. Étant invité je suis chez eux et c’est comme de très bons amis es c’est mon frère et sa femme, en plus je les ai aidé à déménager. Je m’installe à la Grande ville un peu a cause d’eux.

Je me souviens on écoute le poste de radio Ckoi fm un poste radio de langue anglais qui fais tourner des disques en français et nous communique en Français. Je suis ravis de cette radio. C’est dans cette période que je découvre la musique Jim Corcoran et Bertrand Gosselin qui tourne avec la toune Welcome soleil et la music québécoise prend sa place dans ma vie et celle de bien des jeunes du Québec.

Jean est un créateur aventurier.  Il a meublé son appartement entre autre des tables avec des poteaux de téléphones trouvés dans les ruelles. Louise l’a décoré à la sa manière.

Je regard par la fenêtre. Un autre genre de chat, lui, il médite. Il ronronne figer sur son bras de rampe entouré de neige.

Je voie le calme, afin garder son énergie pour vivre.

Je découvre la ville avec ses messages.

Prend ton temps pour vivre. Ouvre toi aux moments de calme. La chaleur se trouve en toi.

Le regardant de loin, au chaud de la fenêtre de l’appartement, son calme, sa position de méditation me rappel la solitude du chercheur.

Une toile du chat ressemble à ça.

Son regard est vivant plein de douceur,  d’attention. Un sage devenu chat pour la pose. J’ai passé une grande partie de ma vie à rester dans mes positions et à oublier qu’autour de moi régnait un monde dont je faisais partie.

Au soleil de la fenêtre donnant sur la rue St Denis le noir relaxe.

Il saute dans l’autre  fenêtre pour se rapprocher de son ami le lion en peluche se dorant lui aussi au soleil de la rue st Denis.

Errol est là avec son appareil je le sens emballé par le calme des animaux qu’il clic.

On l’a bien eu cette fois ci. Bien il nous à eu aussi la preuve on occupe son temps en ce 3 03 2020 à le voir remplir de mots sur nous dans son histoire de la vie passé et présent.

La chaleur dans le foyer quand le soleil ne fait plus son réchauffement.

Un bon vieux morceau de fonte modeler en calorifère.

Je n’ai jamais entendu ce que ces deux amis se racontaient.

Jean travail à la tête au neutre. Loulou à la table parle avec ?

Comment je vais faire pour trouver du financement pour continuer ma carrière?

Le soleil aveugle. La toile est descendu mais le chat curieux observe ce qui se passe au dehors. Un ami qui l’attend sur le rebord de la rampe derrière la maison.

Personne ne me regard se dit Noireau. Je plonge dans le bol de lait.

Café, cuillers, bol de lait le quitte quoi décorent la  table de déjeuner.

Excuse moi mon chat je veux du lait. ‘Un instant’ Je suis occupé semble me dire le chat.

Toujours sans avertissement le revoilà sur ses pattes il forme un pont vers sa nouvelle destination la table. Sans l’ombre d’un doute le reste du déjeuner fera son affaire.  

Je dois digérer.  Me refaire une santé par un repos au soleil comme ça sans être dérangé. Me dit Noireau.

Un chat c’est un chat. Tout leur est permis si on les laisse faire. Ils ont créé la curiosité. Ce souvenir me retourne dans un voyage que j’avais fait avec Serge pour venir voir les grands Ballets Canadien dans un ballet sur la musique deTommy du groupe Anglais The Who à la place des Arts,

On avaient dormi chez Louisette Dussault ( la sourie vert) l’amie de coeur d’un copain de Serge . En allant au dépanneur rue Rachel près du Parc Lafontaine j’aperçu un énorme chat qui trônait dans cette établissement. Quand je dis gros c’était gros pas a peu près. Quelle belle bête gracieuse dans ses déplacements ou au repos on les voit sur la pointe des pattes comme dans une maison de cristal faisant attention pour ne rien casser. J’aime leur indépendance. Y sont à respectés.

La vie de la journée se termine et au loin se pointe le 4ième contact

contact #1 – j’arrive à Montréal

contact #1 – j’arrive à Montréal

L’air surprise elle lance à son amie:

Je le vois très bien avec sa caméra. C’est le seul sourire que je peux lui offrir!

Un regard interrogateur qui en dit long sur sa pensée. Tout comme le petit sourire sur son visage. Son amie se pare d’un sourire, tout en dévoilant son profil. Elle semble heureuse que je m’intéresse à elle et son amie.

Les vitrines de cette partie de rue parlent beaucoup. Les reflets multiplient l’action.

contact1098 2-11-1974 chez Gilles Thérien

Je rajoute un remerciement à ma conjointe de l’époque : 

Cette personne Francine Dorval se présente à ma pensé en écrivant ce papier.

Cette compagne qui me suivra  avec son support d’Amour dans une vie quotidienne de plusieurs années Sa proximité d’amoureuse m’a permis de développer ma  création artistique de photographe. Merci

voici une des première image de cette impressionnante ville que la grande ville Montréal.

Quel bonheur de voir si grand en ne faisant que fouiner sur la rue.

Un clic et tout est dit et imprimer.

Cette réalité s’est produite dans mon apprentissage.

Une compagne qui me suivra plusieurs années Sa proximité m’a donné de développer ma  création artistique de photographe.

J’ai couché cette histoire sur pellicule argentique.

Le comment cela s’est produit cette direction de ma destinée.

Une simple réponse me monte en écrivant ce papier.

Le départ d’une vie avec mes forces et mes aventures de la vie qui amène de la sagesse.

Avoir le choix de la première représentation photographique du début de mon perfectionnement dans ce monde nouveau.

Une tour.

Le coté phallique d’un jeune bison s’assagissant dans cette carrière artistique.

Tout ce que je vois c’est du non connu. Tout pour moi m’émerveille Une feuille d’érable gravée sur le trottoir de la St Denis à la hauteur de la rue  Rachel me fait cliquer : ce woh intérieur.

je me répète une nouvelle vie que celle de la grande ville. Je suis encore un jeuneau dans le domaine de la vie. Cette autre vue d’un restaurant face à chez Eaton la magasin  roi du centre ville nommé l’ouest de Montréal. Les gens passent et il y a toujours un remplaçant ou une remplaçante.

Ma vie de dopeur prenait un sens.  Une carrière s’ouvrait à moi. Je venais d’échouer ma première session.  J’ai lâché l’école pour entrer sur le marché du travail.

Je prends mon clavier de l’ordinateur durant la numérisation d’une partie de mon histoire plus précisément le contact 303.

Depuis quelques années ce travail se fait petit peu par ti peu . Déjà deux expositions que je réalise avec l’aide de mes frères. Nous sommes dans le même bateau. Les rames sont disponibles et je parle pour moi je les prend. 

Pour ce qui est de moi et de ce déménagement de la Région à la ville ce fut l’amour de la nouveauté. Tout se présentait comme par magie. Je crois en la magie de la vie. Mes trips me permettaient de me laisser vivre. Je n’avais que le contrôle de mon existence de jeune prétendant être une super personne pleine de talents. J’observe maintenant la vie avec un oeil que je peux dévoiler aux autres.

 Comment je peux le faire avec ce nouveau gadget qui ma été présenté il y a belle lurette par ma mère.

Hier je me rappelle une chanson que j’aimais bien qui nous suggère d’avoir notre caméra. Je pourrais dire que c’était le temps du scoutisme à Chicoutimi dans la patrouille des Loup.

Je peux même être là et paraître sur le contact par le talent des autres qui m’accompagnent en leur permettant de glisser leur vision dans mon histoire. Ceci me permet de me voir dans l’action pas seulement un contemplateur de l’action des gens qui font l’action qui me permet de les immortaliser.

Cette expression  signifie pour moi, donner, une note pour l’histoire qui se passe et qui sera toujours à recommencer comme le dit bien  la chanson : tout est toujours à  recommencer  (Raoul Duguay).

Un moment de repos dans un lieu au milieu de la cité. Que de bonheur ressenti par la calme de cet homme me regardant.

Une autre étrangère dans le grand maillon de la transformation du déménagement de la région à la ville. Amie Louise Baribeau qui a épousé mon frère Jean. Un jeune ménage comme tous les jeunes qui s’unissent pour une vie longue  et  heureuse ensemble. Comment cela va se faire?

Pour ma part je ne veux pas être le fatiguant qui se retrouve  chez son frère. Donc par hasard une amie d’un ami du couple connaît une femme qui quitte son logement près du carré st-Louis. Une dénommé Renée  qui nous vend à moi et à  Serge son logement. Elle disparue. Je ne la revoie plus jamais.

Je suis supposé aménager avec mon frère Serge qui lui redescend dans la région. Je lui laisse mon appartement sur Jacques–Cartier près du CEGEP. L’accès au centre-ville par la rue Bégin . Tous les jours la chance de passer devant la cathédrale de mon patelin afin d’atteindre la taverne Saguenay où mes fleurons sont morts maintenant. Le propriétaire ne me veut plus comme client. 

Comme je vois la vie me relocalise avec le même confort. Un beau grand loyer avec salon cuisine, trois chambres. Une fournaise à la porte d’entrée et un poêle au gaz dans la cuisine. Ça chauffe l’autre extrémité de la demeure.   

Je serai un grand bout de temps avant de retourner dans la région.

Chez les amoureux je fais la découverte du chat. Sa vitalité dans la découverte d’objets si minime que ce soit sa félinité me fascine. Mon œil développe déjà cette curiosité. 

Les planches 2 ,3 me montrent dans l’action avec ce quatre pattes noir vivant son présent.

Je butine dans ma mémoire ce matin pour lancer le cri de victoire :

J’apprends à me débrouiller comme un grand dans ce pays peuplé de gens qui en font autant.

dans ce pays peuplé de gens qui en font autant. Leur jeu dans la vie me fascine. Ma caméra SRT 1001 Minolta Acheter à Hugues Tremblay avec sa chambre noir  que j’ai installée dans la pièce en avant de l’appartement qui donne sur le balcon sur Henri Julien.

Un petit cour m’est donné par le vendeur. Il  y a une petite chambre noir où s’insère un cent pieds de pellicule 400 asa parce que plus sensible au noir et  que je rembobine en rouleaux de 36 poses.

Je me souviens que j’étais en voyage d’affaires pour autre chose que je connais bien.  Des voyages assis. Mais l’action pour un jeune homme du Saguenay. Plein de fougue pour le merveilleux être. La ville n’avait que de belles et bonnes choses à m’apprendre.  Une qui me vient à l’idée : m’asseoir sur la rue pour regarder les gens tant qui en a. (Des paroles d’une chanson de Renaud le Mistral gagnant) que je ne savais même pas que d’autres gens ailleurs comme moi appréciaient cette méditation du moment. J’ai appris en chantant avec mon ami Serge Ruel à l’Annonciation dans les années 2000.

Dans le centre-ville de ma nouvelle demeure dans l’ouest devant une église anglicane je pense. Je ne suis pas seul dans cette passion qui se développe à mesure que les clics s’accumulent. Dans ce contact il en reste encore plein comme celle–ci

Depuis le premier clic que je pense à cette écriture sur mes images. Les montrers et leur redonner vie

 Un sens à la transformation. La nature reste toujours intense et croît sans attente de rien. Une espace libre hop une tige se montre au grand jour. Déjà elle s’est moulée à la vie.

Je suis cette tige qui veut prendre sa place.

Prendre sa place pour se raconter c’est toute une belle aventure. C’est sûr que ces photos te disent quelque chose car combien de photos as-tu prises parce que tu voulais exprimer le bonheur de voir? Je te montre le reste dans l’index

Des marcheurs s’agitent devant des vitrines où des modèles se pavanent, immobiles et racoleuses. Peut-être une  marcheuse, surprise par son reflet dans la vitre, pense à s’envoler. 

Tous ces qui est qui passent,  chacun son chemin. Sans aucune interrelation, ils avancent dans l’impersonnalité de la ville.

Je suis, moi aussi,  plongé dans les méandres de cette histoire du quotidien banal que vivent ces gens anonymes. Je prends du bon temps à marcher sans oublier mon côté kid-kodak  transportant sa machine à images.

Je viens de sortir de sortir mon esprit de la lecture de ce qui se passe sur ma page de face b. Ouf quelle avalanche de tout pour du rien.

Je me fais la même réflexion de ce matin combien de mots j’aurais pu écrire pour me raconter. Je ne saurais pas mais pour l’instant je suis en action.

Le temps de recopier les photos du contact #1 et de glisser dans mes pensées et de les mettre en mots pour dire ce que je peux.

contact#2 – le Chat