contact #13 – Activités de découvertes et séance de nu

contact #13 – Activités de découvertes et séance de nu

Un image parlant des habitations entre les arbres et le ciel.

Branche branchée dans le temps grâce à l’observation du clic heure.

Des formes lumineuses sous le lampe de la rue

 Le reflet dans la vitre

Des horizons meilleurs se présentent dans la vie de chaque être. Je fais parti de ce genre. Humain en venant me faire une place dans ce pays du nord. La chaleur s’incarne près d’un bon feu.

Tu parais pas mal bien sous les projecteurs. Toi aussi dans l’ombre de la lumière

Ça tourne dans le champs de vues. Quel cinéaste se recherche au point de refaire la même vue une autre fois.


l’ombre de la lumière

Je pose pour la photo. Que va tu faire avec? Elle sera dans mes mémoires comme étant une personne qui est passée dans le même présent qu’en ce moment.

la rue la nuit sur Ste-Catherine

un moment de délice un corps à corps …

Corps délicat, tendresse, sans limite ils vivent. Un,une partenaire sensible à la douceur des caresses.

Main douce peau merveilleuse amie de tendresse

Comment faire ressortir cette union devant mon œil scrutant les clics avenir pour saisir ce qu’il faut.

Regarde je touche ton corps du bout de mon mamelon mon beau Steve merci de cette grande douceur.

 Les mains fouilleuses atteignent la sensibilité par le touché

  Enlacer pour vivre

Je sens ton sein entrer dans mon corps. Quel douceur ce contact qui me fait vibrer dans tous mes nouvelles découvertes de chaque instant .J’immortalise ce délicieux moment et cette grandiose action d’un corps autre que le mien.

La vie de garage la nuit éclate dans le noir sous les projecteurs alimentés par notre compagnie l’Hydro Québec de consonances US. Même les autos du Japon y sont mis dans   

Les cheminées fument sous la lumière de la nuit

Les chars camouflés se dissimulent

Les pétrolières se dissimulent au coin d’une rue à l’ombre de la lumière des vitrines illuminées. Le noir ressort les détails que la lumière atteints.

Des lunes orne la noirceur quand le soleil s’est sauvé sous d’autres cieux

Essayer de voir les gens qui s’affairent à vivre dans ce coin de la ville sous la surveillance des lunes d’artifices. Ça devient un jeu que je peux laisser pour d’autres

L’attraction de la nouveauté fait son chemin. Les autos les camions dans les coin noir regarden les tous jeunes brillant dans les vitrines du marchand.

le pont

Une nouveauté ce genre de pensée arrive du Japon pour prendre leur place dans la vie nord Américaine. Après un recul ils ont performé très fort et réussi.

L’asiatique du forum de la vente performe avec ses machines nouvelles vagues

Sourire égale performance. Utiliser cette technologie donne des réussites.

Vivre cette vision me donne ce sourire. Vivre aisément l’accès à l’aisance. Être décontracté

La station service lui et l’auto se montrent.

le hasard
combien

Conte de sous je ne sais pas quand je vais partir

Yvan de Pelteau toujours plein de joie a fait sa marque dans mes contacts

 J’ai dû prendre le temps de voir et c’est venu claire.

Le contact 14 bien oui je vais le regarder! C’est sérieux cette photo je me glisse entre les gens du moment.

Le rire de Ben porte au plaisir.

Contact #12 – Chicoutimi: Errol en visite

Contact #12 – Chicoutimi: Errol en visite

Elle est heureuse et entre dans mon jeu de photographe et se prête joliment à la séance de poses. Elle a de la classe et j’aime cette énergie. Encore aujourd’hui après tant de temps je me rappelle ces précieux moments de ma carrière débutante.

Oui tu continues à me prendre en photo ? Oui  tu te trouves être une des premières dans mon plateau d’images.

Elle passait devant moi sur la rue Jacques Cartier en revenant du Cégep. Le moment que j’écris ces mots je pense que j’ai fréquenté cette établissement l’année où j’ai quitté la maison familiale.

Cette fille a bien participé à la prise de cet événement. Cette fille je ne l’ai plus jamais revu. La vie me l’avait placé pour l’histoire.

Je pensais devenir un comptable. Je me sentais très bien avec les étudiants en beaux arts.

Une plaque d’eau pour ne pas prendre le mot flaque.

Ce petit chien pose comme un pro.   

Entre deux escaliers qui conduisent dans la rue voisine.

  Une demi photo de l’ami près de la librairie. Un annonce du livre d’Astérix qui vient de sortir . Un image dans la vitrine de la tabagie 500.

La voie ferrée

la gare s’installe lentement.

La gare et son environnement

La chaîne des agriculteurs une force incontournable. 

Des bâtiments pour entrepôt délaissés par la vie

Le jeu continu dans un autre élément le sourire de la fraîcheur l’eau près du Saguenay

 Le fer qui roule sur la voie ferrée se trouve du solide

Le transport de bois se prépare pour l’étranger.

Beaucoup de consommation dans le monde de notre bois d’œuvre.

   Je  vais reculer les bip bip ne sont pas encore installer sur le recul des machineries. 

J’attends le signal

 Il faut doubler de prudence pour éviter les accidents.

Le chemin de fer appartient au Canadien National sur notre territoire.

Pousse plus mon ami cria le débardeur du port du chemin de fer.

 Toi le jeune reste pas trop près du train un accident peut arriver.

     Le calme presque plat dans la gare maintenant. Aujourd’hui en 2020 elle n’existe plus.

S’est Pierre et Claude arrivant du Cégep retournant chez eux à Chicoutimi nord

Passer une belle journée les amis.

  Certainement Errol et toi?

La prise de moments que je trouvais intéressant se cachent maintenant sur mon négatif oùvos images se trouvent.

le retour

Les travailleurs de la ville devant la cathédrale rue Bégin.

au pic et à pelle

Par où je vais passer pour me rendre à la taverne Saguenay. Ces travailleurs défont mon trottoir sur lequel je passe tous les jour. Pourquoi il décide cela ce matin?

  Je devrai passer de l’autre côté de la rue Bégin il semble que rien indispose les marcheurs. Ce décor du coin me disait la marche se termine ici. La rue Racine se trouve parallèle. Les marchands s’exposent sur cette rue. Restaurant Gagnon Frère la Calèche  le barbier où notre père nous y emmenait, deux banque, une Librairie, un garage où j’attendais l’autobus où bien des amis et où la police nous disait de circuler.  

Je pense que tu nous fuis, trop de bruit. Le travailleur vient d’arrêter sa machine son marteau piqueur. Un large sourire s’inscrit sur son visage.

La machine silencieuse je peux écouter.

Des amis me crient de l’autre bord de la rue.

Je regarde les auto une Renault attire mon attention. Durant cette observation je remarque un grand nombre de parcomètres.

Salut comment tu vas ce matin ? Très bien beaucoup de construction. Tu sais il faut gagner sa vie. Moi je fais manger six enfants et leur mère. Je peux bien vouloir faire mon fin comme toi avec ton arsenal de jeune homme en vacances. Imagine mes enfants rien à manger parce que je décide de faire ma vie.

 Je revois les paysages avec les sujets je les décomposent afin de faire voir la beauté d’une photo et l’étendu de ses précisions. Un sujet semble la mire et un détail en devient une photo en elle-même. Le plan général s’estompe pour redéfinir le cadrage. Et le vague devient le visé.

    En face de la Cathédrale la rue de la Côte qui monte vers la rue Jacques Cartier me montre tout ces détails grâce à ces clichés pris en 1972 avant mon déménagement vers Montréal.

La maison cachée par les arbres se trouve ressortie par la blancheur de ses rampes d’escalier.

Un peu défraîchi ce char de la rue tranquille de Chicoutimi près du Cégep.

Au loin l’édifice du savoir vient de changer de vocation de Séminaire il devient un lieu de savoir pour adolescents frais sortie du secondaire. Un Cégep !

On sent déjà le jaune des arbres plus l’observation se réalise.

Quelle splendeur des milliers de feuilles sont prêtes à leur envol. La nudité des arbres donnera au paysage, comme, des coup de crayon sur le décor quelle protège 

En face se trouve le docteur des animaux Mr Antonio Fraser

Belle résidence de la rue qui dans son calme et sa discrétion reçoit de nombreux animaux de compagnie

Paysage de rue d’automne demeurant en face d’une autre classe.

Une auto marque Falcon stationnée de la manière classique du bon côté

La rue calme presque en tout temps permet de profiter de la paix entre deux axes routier achalandés. L’automne  semble la saison de la prise de vues. Des feuilles mortes jonchent la rue et le trottoir. Cet arbre devant la maison fait ressortir les blancs pétants des boiseries des gardes et de l’escalier de la partie de cette rue.

Soudain par un œil de chercheur du regard clic j’observe une vie qui main dans la poche gravit la côte. La joie semble au rendez-vous  

Les pas s’étirent pour accélérer.

Enfin le sommet arrive et j’entends ‘pas trop tôt’ la disparition de l’acteur se trouve imminente dans les secondes ses pas se dirigent vers …

 Un gros véhicule devant un tas de cochonneries de je ne sais quoi. Un chien semble avoir une autre direction l’arbre?

Un peu penché la soirée à dû être dur. Bien non Errol c’est une auto le temps à fait on œuvre. Bien non y doit être stationné dans un trou de puisard de rue.

Je m’exclame devant cette blancheur de la rampe d’escalier.

La côte s’orne de maisons d’arbres d’autos et de chien croqué par le hasard de la vie qui a permis que je passe par là.

Une observation bizarre se produit en ce moment. Cette maison qui se dessine comme une belle demeure et luxueuse galerie et escalier  solide ancrée dans un bel environnement  nous montre un tas de déchets de maison jeté à la rue par la réalité d’une démolition. Encore plus drôle pas d’autres pièces sur cette accumulation de ces déchets dans une rue quelconque de ma ville Chicoutimi. Un ouragan ?

Tout se passe quand on se promène avec une caméra. Les instants arrêtés sur la pellicule deviennent vivants quand on les regardent  même après longtemps tenus en silence dans le fond d’une boite dans les profondeurs de la cave.

La rue en face de la cathédrale rue à côté de chez mon ami Rodo André Fradette. Une belle rue tranquille. Un chien va apparaître le voici :  Bien oui je l’ai déjà fait entré dans la première page. Voici la suite    

Une arrivée dans ma vie de croqueur d’images et cette journée de découvertes.

                                                    Comme tout jeune chien de rue il s’est approché de moi avec sa curiosité de chiot. Je l’attendais et clic à mes pieds. En suite comme apprivoisé il me regarde avec ses grands yeux.

Puis son départ se fait simplement il marche lentement à la poursuite de son chemin.

    Et le trou dans la rue l’a comme avalé.

la feuille et le chien

Puis son départ se fait simplement il marche lentement à la poursuite de son chemin.

seul vers son bonheur

 La scène finie un autre voyage se mixe par le son que la vie me chuchote aux oreilles. Des enfants dans un terrain vague se moquent de la désolation d’un solage d’ancienne maison qui ne se trouvait probablement pas là à leur naissance.  L’escalier de la fondation pousse à aller voir ce qui se passe plus haut

Un regard sur la photo me ramène dans un temps où la religion avait pouvoir sur tout. La naissance afin de peupler le pays. Entrer dans cette conversation me dérange énormément car mes idées sont mes idées et j’y tiens. Alors je clos.

L’imagination d’enfants déborde le présent. Ils se garochent dans un temps infranchissable, le passé, qui ne peut changer. Je peux voir cette énergie en m’ouvrant l’âme à recevoir plutôt qu’à montrer mon savoir.

 L’émerveillement d’être voilà leur existence à ces enfants venus ici sur la terre pour vivre et concrétiser l’incritiquable, la vie.

La maison pas finie, une tache sur le solage, l’enfant rit de joie d’être sur la terre pour une nouvelle mission.

  Je cours tu me rattrapes non je passe la tondeuse.

Par ici non par là . La tête me tourne .

Quel bel escalier on se croirait dans un château

Une grosse maison à multiples logements. Mon enfance sur la rue St Germain à Jonquière refait surface. La maison de mon grand père Boulet qu’il a construite et qui abrita ma famille jusqu’à notre déménagement à Chicoutimi.

Un vestige de l’abandon dans une ville.

Comme je le disais les jeux d’enfants se pratiquent où vivent ces créatures du Bon Dieu.   

Quel bel effet celui de l’étirement. Sa dimension remplie la présence de l’objet. Quel désign quel fenestration

La vie dans cette rue où plein de monde laisse jouer les enfants dans la cour

Des murs de pierres ornent la devanture de la maison c’est artistique.

Un petite Pinto une compact qui a essayé de faire son chemin

Les mêmes enfants dans une vision différente.

La promenade donne lieu aux découvertes multiples. Un retour vers la maison après des achats à l’épicerie du coin de la rue Bégin et Jacques Cartier.

Rien à l’horizon je peux passer. Un autre édifice à logement de classe différente. Dans cette ville  Chicoutimi se trouve plein de différences de classe. C’est une ville comme les villes.

 Les arbres poussent. Les feuilles se préparent pour leur voyage : parterre. Un beau coin de vie ce quartier me montre le paysage.

Dans la réalité se trouve souvent de jolis dessins trouvés dans las rues. L’enfant se dirige vers…

Une roche roulée dans la rue par le temps attire le curieux qui se promène par là. Elle ressemble à un œuf.

Je l’aime et je la mets dans ma collection.

Comme le disait un ami l’observation redonne la beauté au petite chose de la nature

Moi je grandis dans un milieu qui me permet de dire j’ai une collection de roches de rue.

Oui j’ai entendu dire que les images du photographes continuaient avec son 13ième contact de surprises

Contact #11- Séance de pose Suzanne et Steve nu-e et voyage dans l’est de Montréal

Contact #11- Séance de pose Suzanne et Steve nu-e et voyage dans l’est de Montréal

Suzanne dans un chalet avec nous moi et Hervé et sa jumelle Louise Durant.

J’ai revu Suzanne durant un atelier sur la naissance pour notre Fils Loupin en 1985 dans les Canton de l’est. Elle était une infirmière elle assistait sa sœur et son beau frère les formateurs pour une naissance toute naturelle. .Je ne me souviens pas de son nom mais de sa présence après presque trente années sans l’avoir vue. Une bonne amie de mon ami Moustafa.

Femme et chatte chantent leur couplet devant ma présence.

Le ronron des seins et du chaton donne le sens au visuel

Le pigment de l’agrandissement donne l’effet de l’observation de la poitrine de cette femme.

Quel beau toutou le nez bien sortant, les yeux maquillés les cheveux dans la face  Le chaton regarde ce spectacle comme ça avec curiosité.

La chatte d’Espagne attend le buffet.

petit sein ronron la tête entre les bras.

Que de douceur dans la chaleur du poil

Femme et chat

Aujourd’hui le 11 février 2020 quelques années déjà de passer. Je vais parler de mon début de journée. Très tôt je sors dehors un froid d’hiver doux m’attends sans bruit dans une brume à couper au couteau.

Une autre vision, un mur décoré de flèches que reçoivent les corps de mes sujets.

La chevelure inonde le corps de la femme.

Un murmure dans le dos réveille le sens du touché le corps s’étire.

Éclair dans un coin de mur

Réveil de la sensualité devant des corps se touchant.

Je pense au président des États-unis. Je constate un milliardaire c’est Ok pour ses idées. En 2020

La demande du changement arrive quand on doit le faire. Ce matin j’entre dans mes réalités. J’écris.

Les images vont jouer du recuit mais le lecteur, vous entre autre, devez voir la nouvelle vision du quotidien que la vie me demande d’exprimer.

J’apprends à me lever très tôt. Mon réveil se forme depuis près de cinquante jours à faire autre chose que de dormir. Je me permets de fabriquer pour mon bien être personnel des moments de silence en réveil , des affirmations positives, des visualisations que je ne comprends pas encore comment y arriver même si je sais comment le faire . Mes résistances terriblement marquées me propulsent que des moments de noir constant. Je continue.

Le temps passe vite déjà presque vingt minutes de passé.

L’écriture vient me redonner un contexte plus tangible. Encre bleu sur papier blanc ligné bleu avec marge soulignée rouge. Un autre bon moment de passer. Une belle lecture d’une vingtaine de minutes s’envole comme une flèche tirée de la tablette de Guillaume Tell. Le point centre de la cible stabilise le projectile.

Une cloche intérieure me prépare au dernier plaisir de ce début de journée. Une course dans mon quartier tranquille à cette heure du matin.

Je me prépare par me mettre des vêtements chauds et confortables et je me glisse doucement par la nouvelle porte bleu acier de la maison.

Comme pour ma passion de la photo je dévore la froidure qui entre dans mes poumons que ça me fait du bien. Mes yeux scrutent le décor comme ce matin le 11 février une brume couvre l’atmosphère.

Doucement je me dirige vers la rue en marchant dans le corridor de neige et rendu dans la rue; c’est parti.

 Je me souviens de mes premiers départ la distance s’est mis à se rallonger au jour le jour.

La douceur de mes pieds sur la neige pressée par le passage de la charrue ou des autos devenait ma piste d’hébertiste. 

Très doucement mes pieds se soulevaient du sol et me dirigeaient dans une confiance me caressant de gratitudes d’être rendu là parce qu’un livre me rappelle : Ose, tu ne perds rien de le faire.

 L’écrivain me rappelle que des idées profondément enfouies dans mon caractère vont venir me donner des informations; que ce que je fais ne donnera rien.

Je me souviens de ces phrases quand le désir de revenir dans mes vieux schèmes de pensée se pointe. L’importance de continuer me crie les mots du livre. Je ralentis et je repars en douceur. J’oublie mes craintes. Je m’aperçois que mes exercices se terminent en douceur.

Quel calme mon ami j’aime ça te connaître.

Je vais continuer par le réveil que cela me donne. Je revoie les livres qui me disent fait ceci, fait cela je deviens mélanger par des actions pas prêt à faire car je ne me retrouve pas dans cette évolution. Il me manque des informations. Je me base sur ma façon de comprendre les choses.

J’aime bien aller vite et comme une poule sans tête je me précipite dans toutes les directions sans me soucier si c’est bien la bonne.

Le temps à passer et l’évolution me montre plein de discernements nécessaires afin de réaliser une action.

Rien ne se fait tout seul. J’ai dû passer par cet apprentissage qui semble banal pour certain, alors que pour d’autres cela  leur semble naturel. Moi, « je« , la magie j’y crois. La vie m’a fait descendre sur la terre.

Un murmure dans le dos réveille le sens du toucher et le corps s’étire.

Tu me fais sourire avec ton objectif à clic. Tu as raison. La vie me donne à voir les gens dans leur originalité. Mon clic leur donne afin la chance de vivre la destinée qui leur revient par l’immortalité de chaque cliché d’eux.

Toi Suzanne ton charme je le grave sur mes images. Elles vont me servir dans pas mal de lunes. Elles vont me permettre de parler plutôt d’écrire ces inventions des mots qui se bousculent afin de raconter le pourquoi nous avons fait cette séance de photos.

 Je te souris car tu as le sourire en pensant au chemin parcouru. Toi ton chemin t’a emmenée où ?

Je te regarde, je m’inspire du charisme de tes vingt ans afin de dire aux gens je possède la vie.

 Chaque matin je me mets belle et j’affronte la vie. Je remplie mon âme d’AMOUR.

Enlacée pour la douceur et le contact avec mon ami Steve. Il me fait me sentir belle et bonne.

Ces corps dévoilent la vie pour la vie.

Encore de belles histoires qu’un photographe peut dire dans des mots à travers ces images de sa vie. Souvent cette réalité se répète par d’autres gens.

J’écris pour me dire puis laisser ma trace dans cet univers immense puis semblant changeant mais d’une stabilité super réaliste.



Ami de la photo de passage dans ma transformation en cliqueur de présent. Dans un chalet dans l’est de Montréal avec les sœurs Durant et moi voilant voir la vie.
la vie change

Une vision de la propreté au moment de notre visite dans se chalet.

Il fait froid ce matin dans le chalet. Une bonne tasse de café et une bonne cigarette réchauffent.

Je me demande ce que le temps apporte dans la vie de tous les jours. Moustafa depuis longtemps fait un autre voyage. Pour ma part l’arrêt de fumer des cigarettes et autres produits dérangeant me ramena dans la présent. Je me disais ben GELER ce qui me rendait fier de cela.

Une foi gelée, pour être, il faut la dégeler. Je me pose la question comment je vais là en ce moment? Je me réponds très bien. Je désire prendre de plus en plus conscience de la vie.

Une grosse rouleuse se consommant entre deux doigts de…

Enlacer par le charme de la nudité je vous remercie les amis.    

Le temps fait des ravages sur le matériel. Bravo au temps de ce travail sur moi afin que je numérise mon matériel qui me permet d’écrire cette histoire du quotidien d’hier et d’aujourd’hui

 Le corps se trouve l’enveloppe du « MOI«  merci à toi Suzanne …

Que se passe t-il en ce moment on passe au 12ième contact bravo le chemin va bon train