Contact #15 – La rue et ses mouvements vivants

Contact #15 – La rue et ses mouvements vivants

Rue St-Denis à la hauteur Pins Avenue. La vie est tranquille et je monte vers chez Jean et Louise.

Les rues sont remplies d’autos avec la date d’expiration qui n’existe plus.

c’est bon,salut

Le sourire du bonheur à un visage ce matin. Une pomme dans la main, la bouche plein son regard franc. Ces parole raisonne  Salut Errol bonne journée…

je vais devant

Où es-je la tête ce matin ? Il me faut tourner ici. Mais non c’est un sens unique ha ha ha!

On fait un bout de chemin ensemble les filles. Je fini ma cigarette. Vous savez ce n’est pas nécessaire de prendre cette habitude. En plus c’est un cauchemar quand on veut mettre fin à cette attache.

Tu as de l’allure vient pour le bout de chemin. Merci de ton offre.

que se passe – il-

Des refaiseurs de toitures dans la grande ville ne ressemblent pas du tout à ceux des banlieues où je vivais.

ce floue se précise

Même mon foyer suit l’évolution du travail des hommes. Les couches enlevé produit une vibration une genre d’accélération qui embrouille ceux qui observe. J’ai payé pour le savoir.

qui es là?

 OK j’ai assez entendu de potins sur ces gens par n’importe qui. Pour ma part :’ salut’.

sur le coin de la table

Un petit moment de consommation je me trouve hot. Ce qui me plaît dans ça c’est le rituel des choses marginaux.

la pose
le morceau
ce sera le voyage
respire

Bien oui le verre commence à être plein une autre aspiration sera permis. La xième puffs me satisfait je continu un autre se prépare. Je vais prendre la journée calmement.

je suis présent

la rue où la vie se trouve
les montagnes urbaines
enfants fusionnent l’amour

parc de la montagne au tournant

L’avenue des Pins quel dessin

elles passent

Dans la neige leur chemin conduit sur la pellicule de mes observations

elles sont là

Leur regard se fixe sur quelque chose attendu? La dignité des femmes parcours mes émotions en pensant à ma mère gracieuse et fonceuse.

la fleur
la chaise
je chatte

Encore impressionner par le photographe je me cache pour ne pas être sur la photo.  Laisse moi la place j’ai l’habitude.  

Je parcours la rue et je clic sur le gens de la vie. Les sens uniques sont dans le décore de la signalisation.

Les filles traversent sous le phares de la nuit tombante.

J’aime la lumière de cette rue avec la clarté des personnages et les deux phares qui les observent.

il est là les regardant en silence
il fonce et fait craquer la neige
la route
escaliers
Châteaux
le respect merci
je reviens plus tard
un taxi pour monsieur .

L’enfant me surprend pas son attention devant mon passage.

Salut mon frère Steve et toi Suzanne la belle femme.

On se téléphone et on prend une bof  Hi Hi Hi.

A ce soir.

J’aime ton originalité dans la description de tes prises de souvenir pour demain. L’ avoir des souvenirs permettent de diffuser le 16ième contact.

Contact #14 – Amies de Chicoutimi en visite

Contact #14 – Amies de Chicoutimi en visite

Mon Amie Danielle Imbeault qui était près de moi quand Jean restait sur le chemin Sydeham avec Louise avant son départ pour Montréal. Je me souviens de l’avoir croisé dans ma période de grandes réflexions intérieures. J’étais pas mal déboîté dans mon Âme et dans mon corps. Mon équilibre vacillait pas mal dans la souffrance. Elle était là avec son sourire et ses ambitions. Merci

J’ai eu du fun, du plaisir avec toi et la gang sur la rue Racine assis devant le photographe Elefson sur le terrain du notaire sous les gros arbres de son terrain dans la côte à droite en montant chez Gagnon Frères 

Tu peux  prendre des photos je n’aime pas trop.

Tu fais bien à ta tête.
Je te dis que je ne suis pas intéressée par ses souvenirs. Je gaspille ma salive.  

Je suis dur d’oreille. Je dois t’avoir pour raconté cette histoire. C’est fait je passe à autre chose. Encore merci pour ton direct dans ton expression. Salut Michelle

Michelle Simard amie de cœur vers la fin de ma vie à Chicoutimi. .On s’est revu au début de ma vie à Montréal et plus rien par la suite. Je me souviens que cette belle jeune femme me permis de l’aimer comme nous pouvions le faire avec notre jeunesse et notre manque de respect et de chaleur entre amoureux. Le plaisir que j’ai découvert avec elle me fait encore te dire merci Michelle pour notre relation d’amour de jeune.

Marché dans la neige gelé sur l’acide et la boisson  et riant au éclat les fins de semaine.

Une question se pose toujours quand on ne sait pas de quoi il s’agit. L’amour ou du plaisir ? Je me trouve chanceux de t’avoir rencontré et que l’on est cliqué ensemble quelque temps.

 Je me trouve pas mal froufrou d’avoir tripier avec toi.

Cela vaux la photo et les quelques unes dans mon livre de souvenir. J’étais pas mal en point, à la recherche de moi. Je me croyais pas mal un bon prince charmant mais j’ai bien vu que tu n’es plus jamais revenu.

Je comprends ce que tu dis!   

au petit déjeiner
je suis heureuse

Un jeune la libido accoté et pas de barbe au menton voilà le moi de ce temps là.

Je fais mon possible afin de continuer à progresser dans ma vie. Je viens de déménager sans un sous, sans emploi sans métier avec une caméra que je ne sais pas quoi faire avec Je rêve que la vie me donne tout. Il me manque rien que de savoir ce qui se passe?

plein de joie

 Carole une amie de Michelle elle me partage son désir d’être sur des photos. Elle est belle et photogénique. Elle ne met pas de limite. Un bon mannequin photographiable pour mes classes de gros plans.  

  Hé là un coté Hollywood. Un autre sur la réalité celle de Henri Julien

Bien oui comme ça Carole et un beau sourire

Tu rayonnes cela fait du bien de te revoir comme tu voulais que tu paraisses.

Une drôle de pose ? La prise de moments produit ces moments là. Je ne jette rien car je ne peu plus reproduire de moment

Des amis vivants des recherches de : comment vivre sa vie avec le peu d’expériences. Amis merci de m’avoir partagé vos désirs et vos rêves silencieux. Je courais dans les chemins du bonheur. Je vous ai aimé tendrement et sincèrement. Merci à la VIE.

arrêt
un autre spectacle
dans la brume mais heureux

                                                                     Nicole Cantin Régis Painchaud et Jean Gagné le maringoin surprenant dans le même party

La vision recul de plus en plus et je sourie de plus en plus.

Comme je le savais l’optimisme c’est dans ce coin là de la pensée.

D’accord avec toi Nicole entonne Régis et Johnny.

Laissons nous partir pour de vraie.

La jeunesse doit se faire et c’est fait.  Je comprends. Moi aussi je courrais à droite et à gauche

Tu sais Errol, je pense souvent que dans la vie on trou petit cure dent pour le voyage.

Comme toujours un peu parti dans mes rêves et ma réalité en même temps. Je dois courir et en ce moment je ne bouge pas

Comment faire pour réagir à la vie. Je pense qu’il faut la vivre

Des jeunes personnes traçant leurs limites dans une espaces bien défini.  Une visite à Montréal sur un ami parti de sa région pour se développer. 

être libre merci
une vu du rêve

Le point final n’arrive jamais. Je grandi dans mes idées et mon cinéma.

Pense tu vraiment à ça Johnny?

je me remets
de passage
une créatrice relaxe

Que dire de plus que la photo. Cette femme avait du plaisir avec sa gang.

ma cours de jeu

Le rêve c’est ce moment présenté par le visuel. Étirer et difforme que je dois recadrer pour avoir ma réalité

Par la fenêtre les esprits vagabondent

un plaisir hé

Pense tu que la crème glacé rempli son job? Une farce de Errol (pense tu que la crème glacé rempli son rôle.)

Un cornet de crème glacé. Contact 381 025

un négatif de l’irréel

je regard par la fenêtre du temps et je détecte le #15 de la série les contact . Merci de pouvoir avoir la chance de voir ces œuvres non vues.

Contact #12 – Chicoutimi: Errol en visite

Contact #12 – Chicoutimi: Errol en visite

Elle est heureuse et entre dans mon jeu de photographe et se prête joliment à la séance de poses. Elle a de la classe et j’aime cette énergie. Encore aujourd’hui après tant de temps je me rappelle ces précieux moments de ma carrière débutante.

Oui tu continues à me prendre en photo ? Oui  tu te trouves être une des premières dans mon plateau d’images.

Elle passait devant moi sur la rue Jacques Cartier en revenant du Cégep. Le moment que j’écris ces mots je pense que j’ai fréquenté cette établissement l’année où j’ai quitté la maison familiale.

Cette fille a bien participé à la prise de cet événement. Cette fille je ne l’ai plus jamais revu. La vie me l’avait placé pour l’histoire.

Je pensais devenir un comptable. Je me sentais très bien avec les étudiants en beaux arts.

Une plaque d’eau pour ne pas prendre le mot flaque.

Ce petit chien pose comme un pro.   

Entre deux escaliers qui conduisent dans la rue voisine.

  Une demi photo de l’ami près de la librairie. Un annonce du livre d’Astérix qui vient de sortir . Un image dans la vitrine de la tabagie 500.

La voie ferrée

la gare s’installe lentement.

La gare et son environnement

La chaîne des agriculteurs une force incontournable. 

Des bâtiments pour entrepôt délaissés par la vie

Le jeu continu dans un autre élément le sourire de la fraîcheur l’eau près du Saguenay

 Le fer qui roule sur la voie ferrée se trouve du solide

Le transport de bois se prépare pour l’étranger.

Beaucoup de consommation dans le monde de notre bois d’œuvre.

   Je  vais reculer les bip bip ne sont pas encore installer sur le recul des machineries. 

J’attends le signal

 Il faut doubler de prudence pour éviter les accidents.

Le chemin de fer appartient au Canadien National sur notre territoire.

Pousse plus mon ami cria le débardeur du port du chemin de fer.

 Toi le jeune reste pas trop près du train un accident peut arriver.

     Le calme presque plat dans la gare maintenant. Aujourd’hui en 2020 elle n’existe plus.

S’est Pierre et Claude arrivant du Cégep retournant chez eux à Chicoutimi nord

Passer une belle journée les amis.

  Certainement Errol et toi?

La prise de moments que je trouvais intéressant se cachent maintenant sur mon négatif oùvos images se trouvent.

le retour

Les travailleurs de la ville devant la cathédrale rue Bégin.

au pic et à pelle

Par où je vais passer pour me rendre à la taverne Saguenay. Ces travailleurs défont mon trottoir sur lequel je passe tous les jour. Pourquoi il décide cela ce matin?

  Je devrai passer de l’autre côté de la rue Bégin il semble que rien indispose les marcheurs. Ce décor du coin me disait la marche se termine ici. La rue Racine se trouve parallèle. Les marchands s’exposent sur cette rue. Restaurant Gagnon Frère la Calèche  le barbier où notre père nous y emmenait, deux banque, une Librairie, un garage où j’attendais l’autobus où bien des amis et où la police nous disait de circuler.  

Je pense que tu nous fuis, trop de bruit. Le travailleur vient d’arrêter sa machine son marteau piqueur. Un large sourire s’inscrit sur son visage.

La machine silencieuse je peux écouter.

Des amis me crient de l’autre bord de la rue.

Je regarde les auto une Renault attire mon attention. Durant cette observation je remarque un grand nombre de parcomètres.

Salut comment tu vas ce matin ? Très bien beaucoup de construction. Tu sais il faut gagner sa vie. Moi je fais manger six enfants et leur mère. Je peux bien vouloir faire mon fin comme toi avec ton arsenal de jeune homme en vacances. Imagine mes enfants rien à manger parce que je décide de faire ma vie.

 Je revois les paysages avec les sujets je les décomposent afin de faire voir la beauté d’une photo et l’étendu de ses précisions. Un sujet semble la mire et un détail en devient une photo en elle-même. Le plan général s’estompe pour redéfinir le cadrage. Et le vague devient le visé.

    En face de la Cathédrale la rue de la Côte qui monte vers la rue Jacques Cartier me montre tout ces détails grâce à ces clichés pris en 1972 avant mon déménagement vers Montréal.

La maison cachée par les arbres se trouve ressortie par la blancheur de ses rampes d’escalier.

Un peu défraîchi ce char de la rue tranquille de Chicoutimi près du Cégep.

Au loin l’édifice du savoir vient de changer de vocation de Séminaire il devient un lieu de savoir pour adolescents frais sortie du secondaire. Un Cégep !

On sent déjà le jaune des arbres plus l’observation se réalise.

Quelle splendeur des milliers de feuilles sont prêtes à leur envol. La nudité des arbres donnera au paysage, comme, des coup de crayon sur le décor quelle protège 

En face se trouve le docteur des animaux Mr Antonio Fraser

Belle résidence de la rue qui dans son calme et sa discrétion reçoit de nombreux animaux de compagnie

Paysage de rue d’automne demeurant en face d’une autre classe.

Une auto marque Falcon stationnée de la manière classique du bon côté

La rue calme presque en tout temps permet de profiter de la paix entre deux axes routier achalandés. L’automne  semble la saison de la prise de vues. Des feuilles mortes jonchent la rue et le trottoir. Cet arbre devant la maison fait ressortir les blancs pétants des boiseries des gardes et de l’escalier de la partie de cette rue.

Soudain par un œil de chercheur du regard clic j’observe une vie qui main dans la poche gravit la côte. La joie semble au rendez-vous  

Les pas s’étirent pour accélérer.

Enfin le sommet arrive et j’entends ‘pas trop tôt’ la disparition de l’acteur se trouve imminente dans les secondes ses pas se dirigent vers …

 Un gros véhicule devant un tas de cochonneries de je ne sais quoi. Un chien semble avoir une autre direction l’arbre?

Un peu penché la soirée à dû être dur. Bien non Errol c’est une auto le temps à fait on œuvre. Bien non y doit être stationné dans un trou de puisard de rue.

Je m’exclame devant cette blancheur de la rampe d’escalier.

La côte s’orne de maisons d’arbres d’autos et de chien croqué par le hasard de la vie qui a permis que je passe par là.

Une observation bizarre se produit en ce moment. Cette maison qui se dessine comme une belle demeure et luxueuse galerie et escalier  solide ancrée dans un bel environnement  nous montre un tas de déchets de maison jeté à la rue par la réalité d’une démolition. Encore plus drôle pas d’autres pièces sur cette accumulation de ces déchets dans une rue quelconque de ma ville Chicoutimi. Un ouragan ?

Tout se passe quand on se promène avec une caméra. Les instants arrêtés sur la pellicule deviennent vivants quand on les regardent  même après longtemps tenus en silence dans le fond d’une boite dans les profondeurs de la cave.

La rue en face de la cathédrale rue à côté de chez mon ami Rodo André Fradette. Une belle rue tranquille. Un chien va apparaître le voici :  Bien oui je l’ai déjà fait entré dans la première page. Voici la suite    

Une arrivée dans ma vie de croqueur d’images et cette journée de découvertes.

                                                    Comme tout jeune chien de rue il s’est approché de moi avec sa curiosité de chiot. Je l’attendais et clic à mes pieds. En suite comme apprivoisé il me regarde avec ses grands yeux.

Puis son départ se fait simplement il marche lentement à la poursuite de son chemin.

    Et le trou dans la rue l’a comme avalé.

la feuille et le chien

Puis son départ se fait simplement il marche lentement à la poursuite de son chemin.

seul vers son bonheur

 La scène finie un autre voyage se mixe par le son que la vie me chuchote aux oreilles. Des enfants dans un terrain vague se moquent de la désolation d’un solage d’ancienne maison qui ne se trouvait probablement pas là à leur naissance.  L’escalier de la fondation pousse à aller voir ce qui se passe plus haut

Un regard sur la photo me ramène dans un temps où la religion avait pouvoir sur tout. La naissance afin de peupler le pays. Entrer dans cette conversation me dérange énormément car mes idées sont mes idées et j’y tiens. Alors je clos.

L’imagination d’enfants déborde le présent. Ils se garochent dans un temps infranchissable, le passé, qui ne peut changer. Je peux voir cette énergie en m’ouvrant l’âme à recevoir plutôt qu’à montrer mon savoir.

 L’émerveillement d’être voilà leur existence à ces enfants venus ici sur la terre pour vivre et concrétiser l’incritiquable, la vie.

La maison pas finie, une tache sur le solage, l’enfant rit de joie d’être sur la terre pour une nouvelle mission.

  Je cours tu me rattrapes non je passe la tondeuse.

Par ici non par là . La tête me tourne .

Quel bel escalier on se croirait dans un château

Une grosse maison à multiples logements. Mon enfance sur la rue St Germain à Jonquière refait surface. La maison de mon grand père Boulet qu’il a construite et qui abrita ma famille jusqu’à notre déménagement à Chicoutimi.

Un vestige de l’abandon dans une ville.

Comme je le disais les jeux d’enfants se pratiquent où vivent ces créatures du Bon Dieu.   

Quel bel effet celui de l’étirement. Sa dimension remplie la présence de l’objet. Quel désign quel fenestration

La vie dans cette rue où plein de monde laisse jouer les enfants dans la cour

Des murs de pierres ornent la devanture de la maison c’est artistique.

Un petite Pinto une compact qui a essayé de faire son chemin

Les mêmes enfants dans une vision différente.

La promenade donne lieu aux découvertes multiples. Un retour vers la maison après des achats à l’épicerie du coin de la rue Bégin et Jacques Cartier.

Rien à l’horizon je peux passer. Un autre édifice à logement de classe différente. Dans cette ville  Chicoutimi se trouve plein de différences de classe. C’est une ville comme les villes.

 Les arbres poussent. Les feuilles se préparent pour leur voyage : parterre. Un beau coin de vie ce quartier me montre le paysage.

Dans la réalité se trouve souvent de jolis dessins trouvés dans las rues. L’enfant se dirige vers…

Une roche roulée dans la rue par le temps attire le curieux qui se promène par là. Elle ressemble à un œuf.

Je l’aime et je la mets dans ma collection.

Comme le disait un ami l’observation redonne la beauté au petite chose de la nature

Moi je grandis dans un milieu qui me permet de dire j’ai une collection de roches de rue.

Oui j’ai entendu dire que les images du photographes continuaient avec son 13ième contact de surprises