Je viens de connaître Francine et La visite de sa sœur Nicole que je rencontre pour la première foi.
Mon ami Moustafa qui reste chez moi arrive fatigué et se repose sur le sofa.
Francine qui prend son autobus pour aller au travail à hôpital Notre-Dame.
Nicole aime parader pour se faire photographie elle parait bien.
Il faut attendre
Ma première visite au bien être social.
Est-ce que je peut recevoir un soutient pour subsistance?
Je ne suis pas le seul dans cette réalité.
Arrive tous toute des régions?
Je t’aime mon beau Errol c’est pas mal intéressant d’être avec toi. Bonne journée et merci de ta présence.
Bien oui je t’ai vu vouloir remplir la page avec la photo. Tu m’as entendu avec mon objection?
L’autobus arrive je me concentre sur le présent qui s’en vient.
En écrivant ces mots je ne savais pas que j’aurais pu moi aussi avoir une emploi dans cette boite, l’hôpital Notre-Dame. C’est bizarre à écrire: je n’étais pas sur la terre.
Mon attention s’évanouit avec l’autobus qui entre dans le décor du cadrage de ma photo.
Une autre journée occupée à trouver des fonds pour mon loyer et ma nourriture.
Bon repos mon ami fait de beaux rêves. Peut être une soirée à fêter dans les bars de la ville. Les études servent à ça. Je t’aime bien Hervé. Merci pour les coups de main que j’ai reçus de toi.
Exemple de celà : comment me débrouiller dans une chambre noir improvisée dans la pièce vide du logement, la cuisine, le soir, les lumières éteintes.
Bien oui le photographe est aussi sur la sellette.
Je me tiens comme ça ou comme ça
Bravo c’est bien la pose Merci.
Plutôt comme tu veux Nicole c’est ta pose à toi. Pour ma part je photographie ce qui se présente. Je ne dicte pas ta création parce que je suis dans l’apprentissage de la mienne.
Le plaisir des deux sœurs déplaçait de l’énergie palpable. Agréable de revoir
Dans un refuge, l’Étape. une occasion de prendre un repos. Est belle La petite voiture mais c’est pas mon auto. Mon char c’est la Pontiac.
J’aime mieux ça. Il me semble que la route va être plus belle..
La pleine lune dans ce pays le Saguenay me fera toujours rêver.
Je la traverse pour une dernière fois bientôt me déclare Danielle.
Chez Danielle qui a disparu de la région. Le hasard me l’a fait rencontrer à Montréal après 35 ans. Elle avait fait sa vie et était à la même place que moi cette journée là. Et puis rien, encore disparue.
Lise Lessard, Louise Gravel, Louise Baribeau dans un café de Chicoutimi
Le mari de Ginette Gravel sœur de Lucie dans mon appartement sur Jacques-Cartier.
On peut apercevoir une peinture de Marc Morais un un ami du Cégep qui demeura chez moi un bout de temps. Le salon et chambre a coucher qui berça mon dernier voyage dans la Chicoutimi de mon avant déménagement.
Maison de l’architecte Paul-Marie Côté, un avant gardiste de Chicoutimi qui a construit une maison en béton sur la rue Jacques-Cartier non loin de l’hôpital.
Jeune homme que j’étais elle inspirait mon coté créateur en devenir.
Regarde comme c’est propre
Danielle un petit moment de repos .Tu fais bien de le prendre. Moi je relaxe.
Lyne
As-tu vu la poussière ? Oui une chance que ce coin es propre. Comme dit ma mère il y a toujours de la poussière. Elle ne prend pas de vacance.
Quels beaux souvenirs. Se sentir en vacance et faire la vie de notre début de la vingtaine.
De beaux souvenirs de cette amitié qui dura le temps que dure l’amitié.
propre Madame Desmeules et sa petite fille elle ressemble beaucoup à sa sœur Jeanne mon amoureuse de mes 18 ans.
Mr Desmeules un grand coiffeur pour homme sur la Côte de réserve où était son salon.
Dans une famille on se ressemble des fois beaucoup. J’ai oublié son nom. Je te salue par ce gros plan tiré de mes archives.
Un petit verre de bière mon minou ça se prend comme ça. Vive la chaleur
Encore un gros plan et salut.
Plusieurs amis avant mon départ pour la grande ville.
Oui allo je vous le passe dans pas grand temps il est occupé à rêver.
Mon frère et son amie de ses tendre année.
Je prépare le 20ième contact . Petit train va loin
Hommes de la trempe des guerriers de la création. Hervé dit Moustafa cameraman du film Saison cinquième de Jean Gagné. Ce dernier étudie en cinéma au cégep Loyola École anglaise de prestige .Je le rencontre. Il reste chez moi dans mes premières semaines et mois sur Henri julien.
Un projet de film qui germe dans la tête de Jean qui en glisse un mot. Dans le coin droit de la photo: les oreilles de lapin pour la réception des images de télévision.
Marielle Tremblay et Hervé
Oui sa femme qui vit à Longueuil.
Ce Moustafa qui connais très bien Patrick Straram dit le Bison Ravi .
Errol Gagné
Mon copain Moustafa ma transmis ses connaissances de la photos durant son séjour chez moi.
Un petit déjeuner après une prolongation dans le fun et de la parole qui amène le dialogue d’ami à ami. C’est ce qui se passait souvent dans nos réunions.
Je la voyais dans sa beauté que développent l’amour et ma passion pour cette femme qui me permit d’entrer dans sa vie. Sur la rue Papineau mon premier rendez-vous.
On dirait la même photo mais non ce sont des instants que la caméra une fois recharger et que le doigt appuyait sur le déclencheur:
. Je n’avais pas de moteur pour accélérer les prises.
Une vie d’amoureux prenait son envole dans la joie et la découverte
Jean Luc
Dans cette histoire d’amour avec Francine et Moi c’est a cause de l’invitation à sortir au Chat Noir sur la rue Sherbrooke dans l’ouest. Mon ami qui venait chez moi me trouvait pas mal casernier. Un bon soir il est arrivé avec un tab d’acide et me l’a proposé. J’ai dit oui car ça faisait pas mal de temps que j’étais stress.
Je ne me souviens pas du jour mais je sais que le temps des fêtes était à la porte.
Quoi dire de plus que si des photos existent c’est que tous ces gens brillaient par leur présence.
La fatigue a fait son chemin. Jean-Pierre à succomber au repos après une résistance
André les points fermer rêve aux chansons à composer.
Chez Jean ce repos avais de la classe même au planché.
Le chat d’Espagne dans les bras de Steve
Quoi dire de plus que si des photos existent c’est que tous ces gens brillaient par leur présence.
Rue St-Denis à la hauteur Pins Avenue. La vie est tranquille et je monte vers chez Jean et Louise.
Les rues sont remplies d’autos avec la date d’expiration qui n’existe plus.
Le sourire du bonheur à un visage ce matin. Une pomme dans la main, la bouche plein son regard franc. Ces parole raisonne Salut Errol bonne journée…
Où es-je la tête ce matin ? Il me faut tourner ici. Mais non c’est un sens unique ha ha ha!
On fait un bout de chemin ensemble les filles. Je fini ma cigarette. Vous savez ce n’est pas nécessaire de prendre cette habitude. En plus c’est un cauchemar quand on veut mettre fin à cette attache.
Tu as de l’allure vient pour le bout de chemin. Merci de ton offre.
Des refaiseurs de toitures dans la grande ville ne ressemblent pas du tout à ceux des banlieues où je vivais.
Même mon foyer suit l’évolution du travail des hommes. Les couches enlevé produit une vibration une genre d’accélération qui embrouille ceux qui observe. J’ai payé pour le savoir.
OK j’ai assez entendu de potins sur ces gens par n’importe qui. Pour ma part :’ salut’.
Un petit moment de consommation je me trouve hot. Ce qui me plaît dans ça c’est le rituel des choses marginaux.
Bien oui le verre commence à être plein une autre aspiration sera permis. La xième puffs me satisfait je continu un autre se prépare. Je vais prendre la journée calmement.
L’avenue des Pins quel dessin
Dans la neige leur chemin conduit sur la pellicule de mes observations
Leur regard se fixe sur quelque chose attendu? La dignité des femmes parcours mes émotions en pensant à ma mère gracieuse et fonceuse.
Encore impressionner par le photographe je me cache pour ne pas être sur la photo. Laisse moi la place j’ai l’habitude.
Je parcours la rue et je clic sur le gens de la vie. Les sens uniques sont dans le décore de la signalisation.
Les filles traversent sous le phares de la nuit tombante.
J’aime la lumière de cette rue avec la clarté des personnages et les deux phares qui les observent.
L’enfant me surprend pas son attention devant mon passage.
Salut mon frère Steve et toi Suzanne la belle femme.
On se téléphone et on prend une bof Hi Hi Hi.
A ce soir.
J’aime ton originalité dans la description de tes prises de souvenir pour demain. L’ avoir des souvenirs permettent de diffuser le 16ième contact.
Mon Amie Danielle Imbeault qui était près de moi quand Jean restait sur le chemin Sydeham avec Louise avant son départ pour Montréal. Je me souviens de l’avoir croisé dans ma période de grandes réflexions intérieures. J’étais pas mal déboîté dans mon Âme et dans mon corps. Mon équilibre vacillait pas mal dans la souffrance. Elle était là avec son sourire et ses ambitions. Merci
J’ai eu du fun, du plaisir avec toi et la gang sur la rue Racine assis devant le photographe Elefson sur le terrain du notaire sous les gros arbres de son terrain dans la côte à droite en montant chez Gagnon Frères
Tu peux prendre des photos je n’aime pas trop.
Tu fais bien à ta tête. Je te dis que je ne suis pas intéressée par ses souvenirs. Je gaspille ma salive.
Je suis dur d’oreille. Je dois t’avoir pour raconté cette histoire. C’est fait je passe à autre chose. Encore merci pour ton direct dans ton expression. Salut Michelle
Michelle Simard amie de cœur vers la fin de ma vie à Chicoutimi. .On s’est revu au début de ma vie à Montréal et plus rien par la suite. Je me souviens que cette belle jeune femme me permis de l’aimer comme nous pouvions le faire avec notre jeunesse et notre manque de respect et de chaleur entre amoureux. Le plaisir que j’ai découvert avec elle me fait encore te dire merci Michelle pour notre relation d’amour de jeune.
Marché dans la neige gelé sur l’acide et la boisson et riant au éclat les fins de semaine.
Une question se pose toujours quand on ne sait pas de quoi il s’agit. L’amour ou du plaisir ? Je me trouve chanceux de t’avoir rencontré et que l’on est cliqué ensemble quelque temps.
Je me trouve pas mal froufrou d’avoir tripier avec toi.
Cela vaux la photo et les quelques unes dans mon livre de souvenir. J’étais pas mal en point, à la recherche de moi. Je me croyais pas mal un bon prince charmant mais j’ai bien vu que tu n’es plus jamais revenu.
Je comprends ce que tu dis!
Un jeune la libido accoté et pas de barbe au menton voilà le moi de ce temps là.
Je fais mon possible afin de continuer à progresser dans ma vie. Je viens de déménager sans un sous, sans emploi sans métier avec une caméra que je ne sais pas quoi faire avec Je rêve que la vie me donne tout. Il me manque rien que de savoir ce qui se passe?
Carole une amie de Michelle elle me partage son désir d’être sur des photos. Elle est belle et photogénique. Elle ne met pas de limite. Un bon mannequin photographiable pour mes classes de gros plans.
Hé là un coté Hollywood. Un autre sur la réalité celle de Henri Julien
Bien oui comme ça Carole et un beau sourire
Tu rayonnes cela fait du bien de te revoir comme tu voulais que tu paraisses.
Une drôle de pose ? La prise de moments produit ces moments là. Je ne jette rien car je ne peu plus reproduire de moment
Des amis vivants des recherches de : comment vivre sa vie avec le peu d’expériences. Amis merci de m’avoir partagé vos désirs et vos rêves silencieux. Je courais dans les chemins du bonheur. Je vous ai aimé tendrement et sincèrement. Merci à la VIE.
Nicole Cantin Régis Painchaud et Jean Gagné le maringoin surprenant dans le même party
La vision recul de plus en plus et je sourie de plus en plus.
Comme je le savais l’optimisme c’est dans ce coin là de la pensée.
D’accord avec toi Nicole entonne Régis et Johnny.
Laissons nous partir pour de vraie.
La jeunesse doit se faire et c’est fait. Je comprends. Moi aussi je courrais à droite et à gauche
Tu sais Errol, je pense souvent que dans la vie on trou petit cure dent pour le voyage.
Comme toujours un peu parti dans mes rêves et ma réalité en même temps. Je dois courir et en ce moment je ne bouge pas
Comment faire pour réagir à la vie. Je pense qu’il faut la vivre
Des jeunes personnes traçant leurs limites dans une espaces bien défini. Une visite à Montréal sur un ami parti de sa région pour se développer.
Le point final n’arrive jamais. Je grandi dans mes idées et mon cinéma.
Pense tu vraiment à ça Johnny?
Que dire de plus que la photo. Cette femme avait du plaisir avec sa gang.
Le rêve c’est ce moment présenté par le visuel. Étirer et difforme que je dois recadrer pour avoir ma réalité
Par la fenêtre les esprits vagabondent
Pense tu que la crème glacé rempli son job? Une farce de Errol (pense tu que la crème glacé rempli son rôle.)
Un cornet de crème glacé. Contact 381 025
je regard par la fenêtre du temps et je détecte le #15 de la série les contact . Merci de pouvoir avoir la chance de voir ces œuvres non vues.
Suzanne dans un chalet avec nous moi et Hervé et sa jumelle Louise Durant.
J’ai revu Suzanne durant un atelier sur la naissance pour notre Fils Loupin en 1985 dans les Canton de l’est. Elle était une infirmière elle assistait sa sœur et son beau frère les formateurs pour une naissance toute naturelle. .Je ne me souviens pas de son nom mais de sa présence après presque trente années sans l’avoir vue. Une bonne amie de mon ami Moustafa.
Femme et chatte chantent leur couplet devant ma présence.
Le ronron des seins et du chaton donne le sens au visuel
Le pigment de l’agrandissement donne l’effet de l’observation de la poitrine de cette femme.
Quel beau toutou le nez bien sortant, les yeux maquillés les cheveux dans la face Le chaton regarde ce spectacle comme ça avec curiosité.
La chatte d’Espagne attend le buffet.
petit sein ronron la tête entre les bras.
Que de douceur dans la chaleur du poil
Femme et chat
Aujourd’hui le 11 février 2020 quelques années déjà de passer. Je vais parler de mon début de journée. Très tôt je sors dehors un froid d’hiver doux m’attends sans bruit dans une brume à couper au couteau.
Une autre vision, un mur décoré de flèches que reçoivent les corps de mes sujets.
La chevelure inonde le corps de la femme.
Un murmure dans le dos réveille le sens du touché le corps s’étire.
Éclair dans un coin de mur
Réveil de la sensualité devant des corps se touchant.
Je pense au président des États-unis. Je constate un milliardaire c’est Ok pour ses idées. En 2020
La demande du changement arrive quand on doit le faire. Ce matin j’entre dans mes réalités. J’écris.
Les images vont jouer du recuit mais le lecteur, vous entre autre, devez voir la nouvelle vision du quotidien que la vie me demande d’exprimer.
J’apprends à me lever très tôt. Mon réveil se forme depuis près de cinquante jours à faire autre chose que de dormir. Je me permets de fabriquer pour mon bien être personnel des moments de silence en réveil , des affirmations positives, des visualisations que je ne comprends pas encore comment y arriver même si je sais comment le faire . Mes résistances terriblement marquées me propulsent que des moments de noir constant. Je continue.
Le temps passe vite déjà presque vingt minutes de passé.
L’écriture vient me redonner un contexte plus tangible. Encre bleu sur papier blanc ligné bleu avec marge soulignée rouge. Un autre bon moment de passer. Une belle lecture d’une vingtaine de minutes s’envole comme une flèche tirée de la tablette de Guillaume Tell. Le point centre de la cible stabilise le projectile.
Une cloche intérieure me prépare au dernier plaisir de ce début de journée. Une course dans mon quartier tranquille à cette heure du matin.
Je me prépare par me mettre des vêtements chauds et confortables et je me glisse doucement par la nouvelle porte bleu acier de la maison.
Comme pour ma passion de la photo je dévore la froidure qui entre dans mes poumons que ça me fait du bien. Mes yeux scrutent le décor comme ce matin le 11 février une brume couvre l’atmosphère.
Doucement je me dirige vers la rue en marchant dans le corridor de neige et rendu dans la rue; c’est parti.
Je me souviens de mes premiers départ la distance s’est mis à se rallonger au jour le jour.
La douceur de mes pieds sur la neige pressée par le passage de la charrue ou des autos devenait ma piste d’hébertiste.
Très doucement mes pieds se soulevaient du sol et me dirigeaient dans une confiance me caressant de gratitudes d’être rendu là parce qu’un livre me rappelle : Ose, tu ne perds rien de le faire.
L’écrivain me rappelle que des idées profondément enfouies dans mon caractère vont venir me donner des informations; que ce que je fais ne donnera rien.
Je me souviens de ces phrases quand le désir de revenir dans mes vieux schèmes de pensée se pointe. L’importance de continuer me crie les mots du livre. Je ralentis et je repars en douceur. J’oublie mes craintes. Je m’aperçois que mes exercices se terminent en douceur.
Quel calme mon ami j’aime ça te connaître.
Je vais continuer par le réveil que cela me donne. Je revoie les livres qui me disent fait ceci, fait cela je deviens mélanger par des actions pas prêt à faire car je ne me retrouve pas dans cette évolution. Il me manque des informations. Je me base sur ma façon de comprendre les choses.
J’aime bien aller vite et comme une poule sans tête je me précipite dans toutes les directions sans me soucier si c’est bien la bonne.
Le temps à passer et l’évolution me montre plein de discernements nécessaires afin de réaliser une action.
Rien ne se fait tout seul. J’ai dû passer par cet apprentissage qui semble banal pour certain, alors que pour d’autres cela leur semble naturel. Moi, « je« , la magie j’y crois. La vie m’a fait descendre sur la terre.
Un murmure dans le dos réveille le sens du toucher et le corps s’étire.
Tu me fais sourire avec ton objectif à clic. Tu as raison. La vie me donne à voir les gens dans leur originalité. Mon clic leur donne afin la chance de vivre la destinée qui leur revient par l’immortalité de chaque cliché d’eux.
Toi Suzanne ton charme je le grave sur mes images. Elles vont me servir dans pas mal de lunes. Elles vont me permettre de parler plutôt d’écrire ces inventions des mots qui se bousculent afin de raconter le pourquoi nous avons fait cette séance de photos.
Je te souris car tu as le sourire en pensant au chemin parcouru. Toi ton chemin t’a emmenée où ?
Je te regarde, je m’inspire du charisme de tes vingt ans afin de dire aux gens je possède la vie.
Chaque matin je me mets belle et j’affronte la vie. Je remplie mon âme d’AMOUR.
Enlacée pour la douceur et le contact avec mon ami Steve. Il me fait me sentir belle et bonne.
Ces corps dévoilent la vie pour la vie.
Encore de belles histoires qu’un photographe peut dire dans des mots à travers ces images de sa vie. Souvent cette réalité se répète par d’autres gens.
J’écris pour me dire puis laisser ma trace dans cet univers immense puis semblant changeant mais d’une stabilité super réaliste.
Une vision de la propreté au moment de notre visite dans se chalet.
Il fait froid ce matin dans le chalet. Une bonne tasse de café et une bonne cigarette réchauffent.
Je me demande ce que le temps apporte dans la vie de tous les jours. Moustafa depuis longtemps fait un autre voyage. Pour ma part l’arrêt de fumer des cigarettes et autres produits dérangeant me ramena dans la présent. Je me disais ben GELER ce qui me rendait fier de cela.
Une foi gelée, pour être, il faut la dégeler. Je me pose la question comment je vais là en ce moment? Je me réponds très bien. Je désire prendre de plus en plus conscience de la vie.
Une grosse rouleuse se consommant entre deux doigts de…
Enlacer par le charme de la nudité je vous remercie les amis.
Le temps fait des ravages sur le matériel. Bravo au temps de ce travail sur moi afin que je numérise mon matériel qui me permet d’écrire cette histoire du quotidien d’hier et d’aujourd’hui
Le corps se trouve l’enveloppe du « MOI« merci à toi Suzanne …
Que se passe t-il en ce moment on passe au 12ième contact bravo le chemin va bon train