Contact #26 – à la maison rue Derfla

Contact #26 – à la maison rue Derfla

Stone toujours près à sortir ou à se promener dans la maison

un coin bien à lui en sécurité près des bottes de Louis et de Myriam.

la marche

Laissant lentement son coin près de la porte il  semble me dire à moi qui le regarde: Je vais aller voir mes amours j’ai assez médité.

un top

Deux boules de poil et cigarette et main un souvenir remarquable.

La promenade me fait voir les gens de la maison sous un angle très agréable.

Steve et Myriam discutent dans la cuisine et Louis dans la salle de séjour connecté à la télé

C’est drôle de voir cette jeune fille devenir une femme .

Je me souviens de ce chien tout petit et qui a grandi et est devenu vieux et maintenant et maintenant est ailleurs dans une autre vie.

Pris par l’intrigue Louis a toutes sortes de positions.

Ne grogne pas trop Stone. Il est si affectueux cet animal de la famille.

Il y a du fun dans l’air. Tous les deux, Steve et Louis, semblent se préparer un jeu ?

Tu as raison dit Myriam je connais bien mes deux frères et ce ne sera pas bien long. Durant ce temps lance maman qui fouille de l’armoire montée sur une chaise pour la grandir un peu Je ne veux pas de chamailleries les deux . Je sais comment ça fini

 Je vous le dis.

Maman a trouvé et prépare une des ses recette qu’elle seule a le secret. Bien des fois je me dis j’aurais dû lui en demander quelques unes. Ok maman je vais t’aider lui lance Myriam pas loin d’elle.

Un petite douceur le chien demande lui qui vient de sauter sur Steve. Louis le connais bien tient mon beau Stone.

Quel suspense ce film à la française. Captivant jusqu’au bout.

Je regarde la vie avec un gros grain de sel afin de la façonner de la manière la plus harmonieuse pour la création.

Bien oui Louis je ne sais pas si on pouvait faire du mieux ? On va réfléchir à ça.

Pour ma part je suis touché par les jeux des acteurs Ils me tiennent en haleine jusqu’à la fin

Bien oui les enfants c’est un beau cadeau de vous voir tous ici. JE sais que Jean va être là  aussi.

D’ici son arrivée on va vivre ensemble pour un bout

Le jeu est parti, la télé est éteinte, seul le bruit des déplacements des joueurs crépite pour le moment.

Relaxe Steve je vais t’expliquer ce que je veux faire pour qu’on ne se fâche pas parce que le jeu n’est pas clair. Que veux-tu insinuer?

Je suis le plus fort des forts et tu devines ce que je mime. Ok pour toi ?

Tu es pas mal drôle Louis avec tes mimiques.

Ma petite sœur bien aimée, je me fais plaisir de parler de toi comme une amie,  une personne avec un grand cœur. Je t’aime beaucoup je ne te l’ai pas assez dit mais en ce moment dans ce futur présent je te le dit.

Te voilà dans ta bulle et tu baboune. Non j’émis : qui penses-tu que c’est?

Ah non pas Errol en colère!

On te connaît pas mal hen Errol . Tu as raison ça lui ressemble pas mal quand y est pas content.


La laisses-tu?

Pour le plaisir de simplement raconter ce qui peut s’être vraiment arrivé.

La suite c’est le suivant contact. Allons le découvrir ensemble et découvrir de nouveaux mots pour décrire cette tranche de vie.

Contact #25 – Dernier Noël en famille à Chicoutimi

Contact #25 – Dernier Noël en famille à Chicoutimi

maman

Une conversation avec sa fille Myriam dans la cuisine donnait de l’énergie à cette maman fière et même très fièrer de sa “gagne”. Cette fête de Noël-là on était tous présents dans la maison familiale que cette Dame avait bâtie avec son  désir de nous donner plus et je pense nous faire dire Merci la vie.

Myriam
lumière

Chez nous cette dernière année où nous aurions le sens de la famille.

La Noël des jeunes de la famille donc je fais parti. Joint et vin c’est la vraie vie ( on pense)

paradis artificiel

Deux photos prise sur Henri Julien

retour dans le party .


Deux Amies

Sourire de jeune adulte à la découverte de leur vie dans un milieu de recherche.


Mireille et Louise

Le chat sur Mireille se trouvait mon amiral de compagnie dans cette aventure de déménagement dans la ville. 

Visite agréable. Grand signe d’amitié leur présence. Je dis merci car je pense que j’ai oublié ce mot quelque part et que la présence de ce travail de texte me le fait redire par écrit. Les écrits restent

Louis, mon jeune frère resté chez nous avec maman et Myriam, me rappelait le plaisir de cette vie dans un quartier non loin de la forêt. Un gros merci à Maman pour cette initiative qu’elle nous a permis de vivre.

compagnon ce chien Stone un petit boule de poil noir qui nous suivait partout.

La neige ne lui faisait pas peur. N’est-ce pas ! Son nom vient de ma passion des Rolling Stones. Ce groupe Britannique de mes 15 ans que j’ai entendu pour la première fois en Ontario quand je travaillais dans un camp de vacances avec mon oncle Joseph Élie.

La promenade dans les rues après la tempête me fit voir ces images gravées pour la vie.

Taverne Chicoutimi


Salut les gars une autre tournée?

Boivin Gilles-Alix Gagnon

ami Roger Alain T Serge G Pierre T

Ben F MoMo ami Roger G

un gang de jeunes hommes
le temps

Jacques Brassard Guy Gauthier
ami
 Roger 
Gauthier une confrère d’étude de la maternelle au Cégep.  et Alain Turcotte un voisin du quartier Notre-Dame Frère de belles filles Lise et Hélène . J’étais trop poigné pour leur dire
voisin Alain

J’ai oublier de te dire que c’est le temps d’annoncer le 26ième contact .Mon ami Alain

Contact #24 – Visite de Chicoutimi amies et amis

Contact #24 – Visite de Chicoutimi amies et amis

au salon

Nous sommes en repos. L’écoute semble plus facile. Notre attention va sur les explications que Jean ou André ou Steve nous font entendre de leur vie respective

déjeuner

Une rôtie pour déjeuner  j’entends le réfrigérateur qui ronronne dans la calme de la maison.

Les plantes se laissent bercer par le démarrage du moteur du réfrigérateur.

Louise pense et sourie à tout ce qu’elle reçoit des amis du matin.

Je cherche dans la vie le bonheur. J’ai des amies et amis avec qui j’aime être et de partager la joie de ma vie avec eux. J’aime mon voyage à Montréal chez toi Errol et Steve

Le petit Forcier est dans la place aussi il butine autour de la gang et il est bien chouette dans son genre. Gens qui se demandent si ça vaut la joie de rire et de prier? Lui seul peu répondre à cette interrogation du texte.

Dans ma vie un remerciement devient important pour pouvoir voir harmonieusement la vie.

Le plaisir de vivre en gang c’est qu’il y a toujours du monde

François lance :

annonce de beurre

Je viens de m’apercevoir que cette marque de beurre d’arachide est produite en Chine.

Même notre consommation est directement reliée avec cette partie de la terre qui contient plus du tiers de la population mondiale.

Le développement à bon marché devient rentable pour toute la population. Avant cette percée, plein de gens subsistaient. Aujourd’hui ils vivent

 Je passe du beurre d’arachide au réservoir à eau au épingles à linge pour étendre les négatifs des films de 35 mm que je développe dans la cuisine le soir. Ce réservoir sert de chauffage durant l’hiver pas d’isolement dessus.  Le logement est chauffé par une fournaise à l’huile en avant de l’appartement et à l’autre bout, dans la cuisine, le poêle au gaz sert de chauffage.

Dans le coin de la cuisine il chauffe toujours et une chance pour nous l’hydro était dispendieuse mais pas comme aujourd’hui. Je pouvais payer les factures.

La réalité de ce temps-là c’est que nous sommes de jeunes adultes à la recherche de notre indépendance. Avec la prise d’un appartement se trouve la clé de notre indépendance. Que penses- tu de cela Clément?

Il y a du vrai dans ce qui me concerne. Car avec mon frère on reste encore chez maman.

sourire

Bien oui Mireille on va se revoir

Je fais confiance à la vie elle nous mène où nous devons être. Même si on ne le crois pas.

Puis toi Steve on ne te verra plus dans les rues de Chicoutimi ? Bien pour moi c’est fini aussi. Je mise sur la grande ville pour me faire voir le monde.

Les yeux parlent par eux même. J’ai regardé et je constate que mon frère est un homme déterminé

surpris

Bien oui c’est vrai. Ça coûte rien et on fait des économies.

On est sur la coulée douce et en plus nous sommes des grands amis Pis Steve de son crue sort :André je ne bois pas le matin. Errol et moi on laisse la maison de ma mère. On assume notre choix tous les deux dans ce changement de vie.

Un gros souvenir leur visite.

Nous partons cette après midi pour retourner chez nous à Chicoutimi

Ça peu être comme tu dis.

 Une bonne farce; laisse moi la rire . Tu ne sera pas offusqué? Bien non

Les filles je suis heureux de vous voir et de passer du bon temps entre nous.

amies

Une pizza Steve? Non un simple pain 

je découpe

Je vais couper comme ça Louise c’est pas trop gros? Non tu as bien séparé les portions.

Hé un petit verre ce matin Steve ? allez laisse-toi aller!

André je ne bois pas le matin.

C’est plaisant les frères Lapointe de vous voir et de rigoler un peu avec vos aventures.

Bon café et plein d’idées pour créer la vie. Et surtout la vivre dans la joie.

Je t’offre cette partie là Steve. Une bonne idée et pour toi voici une autre partie. .

Je me pose des questions sur la chance? Je vais répondre là très vite comme ça : La chance c’est se réveiller en vie.

La plante donne espoir au printemps. Il y a plein d’objets sur la table en plus. Caméra, bobines de pellicules, un fuseau de fil, des ciseau et le gros cendrier de table en ciment.

On est bien au chaud et le temps donne raison à l’histoire. Sur ces cinq personnes un est mort, Steve. Il y a du temps de passé depuis son départ Jean reste à St-Ferdinand et Forcier vient de faire son dernier film, présenté au cinéma. par curiosité je l’ai vu avec ma belle Marie qui aime bien le cinéma. Je peux le dire c’est elle qui me sort pour le cinéma. J’aime ça être avec et écouter.

Les portes se ferme trop tard je prendrais le prochain.

En silence les hommes attendent leur sortie de métro le travail le demande. Il faut se rendre sur la job.

Le train va très vite même à la gare

J’attends. Un métro est à l’arrêt devant moi. Je remarque ce groupe de jeunes comme moi

Leur attention se fixe sur celui qui sourit. Assise seule de l’autre côté du wagon passager cette personne écoute- t-elle ou simplement se repose-t-elle avant la sortie.

Le temps passe et revoilà le métro qui repart sous le son des roues sur la voie 

joie

J’aime ça voir et toucher ce petit chaton je me sens vibré de joie. Pour moi je me sens bien dans ce floue qui m’envahit. Les yeux fermés je me berce dans l’infini. Qui me porte encore ici quand tu lis ou regarde? Seulement ce moment gravé dans le temps?

 Il ronronne.

Sans attendre la stimulation, l’écriture met ma passion à haute vitesse et je suis déjà au contact # 25

Contact #23 – Visite de la ville

Contact #23 – Visite de la ville

l’arrivée

La visite dans le centre ville par Régis lors de notre première rencontre nous a fait voir un monde différent de notre réalité. Ma réalité c’est le quartier de pauvres des gens dans la réalité de sans sous.  

petit dans si grand

Le photographe remarque la hauteur et la petitesse de l’humain dans le déplacement dans ce réseau de vie. A travers les buildings des trottoirs des arbres des rampes. Des et-cetera qui ornent le visuel des bâtiments.

La tête dans les airs c’est là que se situe le regard des gens de ce monde de la finance et de la prospérité.

Les mains dans les poches Régis le guide du voyage dans la nouvelle ville de vie est au-dessus de tout sifflant presque devant la grandeur.

Des bureaux vides après les heures de travail c’est le centre ville de la ville de Montréal et de toutes les autres agglomérations de travail de bureau les mains dans les poches Régis le guide du voyage dans la nouvelle ville de vie est au-dessus de tout sifflant presque devant la grandeur.

la salle est prête

Enfin la paix dans un endroit chic. Je sens la grandeur de la richesse. Quand je vois ça, je me réfère à ma connaissance. Le salon chez moi était réservé pour les invités. Cet endroit est libre et doit attendre des invités.

Tient en voici un dans ce grand salon affairé dans ses projets. Une action ou plusieurs à faire pour une concrétisation de ceux-ci.

A chaque instant, quand on se  sent seul dans une grande ville on peut compter surle métro et ses vagues de gens se succèdent à chaque arrivé.

Je continue a m’occuper des dernier mais je doit juste me préoccuper de mon arrivé et de ma nouvelle direction car je ne suis jamais le dernier.

Tient, encore un esseulé qui choisit l’exercice.  Le cœur va pomper mes muscles se faire de l’étirement mes bras se faire aller à droite à gauche  les genoux travailler leur flexibilité. Chaque montée que je gravis est un plus pour moi. Ma santé gagne de la force.

On passe tassez vous. Dans l’éthique de monteurs d’escalier roulant il y a comme sur la route une voie de dépassement. Pour ne pas avoir à dire à ceux qui ne se tasse pas ou sont dans leur bulle, les gens automatiquement se rangent à droite.

Une question se pose comment commencer ce projet ?

Je ne sais pas ce que vous pensé dit Marie-Christine mais moi je laisse le projet des rêves je mise pour le concret.

Une bière et un tour dans la city

ça se pose des rêves

Des bonnes idées quand on les expriment.

On est en caucus de production lance Forcier. C’est pas vrai qu’il n’y aura pas de film. On est trop parti et les délire comme le dit très bien Marie Christine on à tous les notre.

La bière nous fait décoller. Demain ce sera des souvenirs jusqu’au jour où Errol les ressortiras

J’aime le cadre. Je ne sais pas de qui mais il se retrouve sur nos images.

André reprend

J’aime le cadre je ne sais pas de qui mais il se retrouve sur nos images.

André reprend

Je suis contente de faire parti des tes images. J’aime ton petit ourson sur le mur. Je ne l’avais pas remarqué la dernière fois. Mais là je le savoure.

pas certain

Pour ma part, je suis toujours partant pour les aventures qui me garochent dans la création.

La musique est belle et les idées se calment avec cette prise de mots de tous.

  Je vous le dit on va en faire tout un film.

J’ai pas tellement l’air en forme! Bien je me remets de la brosse d’hier 

Le tourne disque à Moustafa un Mc Intoch. Le son résonne et les subtilités des enregistrements sort comme si on assistait au life.

Écoute ce son.

Les disques de Hervé Lapointe et sur la table un classique Pharaon Sander

jeune fonceuse

Encore une histoire Errol tu en baves comme un brave. Tu défiles tout ce qui te passe par la tête.

je dessine

Que dit tu là Marie Christine? C’est un photographe avant tout. Regard ce qu’il fait avec ses souvenirs.

Un ampli très haut performance pour un mélomane. Jacques Cartier, un ami de Patrick le Bison Ravi

Tout cela ça lampe

Je le trouve pas mal brancher avec nos âmes. Qui désire se réaliser? C’est des détails le chemin qu’il prend pour redonner vie à nous ses personnages.

C’est un ami. Une connaissance si tu préfères. On vivait un quotidien et le partage se faisait pour Errol par des clics sans claques. Est bonne celle-là. Il a juste ce photographe qui peu l’écrire car il l’a entendu et le son du clavier a remplacé le clic de sa Minolta srt-101

un bijou

Enfin la structure des grands bâtiments se couche sur le négatif et le noir et blanc se forme sur le papier et le transfert numérique me permet de jouer avec cette image en portrait de ce building du centre des affaire de Montréal notre métropole. Une hauteur impressionnante un autre maison des affaires

La lumière de circulation nous montre que le chemin est libre. La circulation peut se laisse aller dans leur direction désirée.

feu rouge

que c’est impressionnant ce nombre de fenêtres dans le vide entre ciel et terre.

six

Comment ces lumières vont transmettre la splendeur du soleil à ces murs de verres. Mes sentiments face à ces amoncellements de béton d’acier frise le délire de l’architecte en moi. Je pense à Steve qui dessinait des châteaux avec des tours et des tours, Quel flyé!

éblouissant

Les temples de la finance et de la religion prônent dans ce quartier.

en solo

Le sous sol de la ville s’ouvre en descendant l’escalier

un verre
avec plaisir

Une fonction, le jeu de l’agrandissement d’une portion de l’image, nous pousse au surréalisme dans notre imagination.

Regarder les mots qui exprime le désir de dire quelque chose de bon et d’intelligent sur une salle de conférence inanimée c’est des fils à broder qui me sont nécessaires.

Cette salle est en pose car la salle  avait de l’ordre il y a peu de temps avant que des aventurier de la finance ne gravissent les couloirs menant à la réunion réclamée par le patron pour discuter de projets pour donner de l’aide aux créateurs désireux d’exprimer leurs façon de voir la vie à travers l’art.

Des verres à eau, des gobelets, des cabarets, des cigarettes, des cendriers tout ce que la vie permettait en ces temps-là.

Après quelque quarante ans  les gens apportent leur bouteille d’eau dans des contenants en plastique. Le coût des réunions sont retournés à la société. Plus de déchets plus de profits pour qui? Je ne suis pas à écrire sur ce temps pour une critique. J’essaie de donner des mots au silence de la vie que j’ai photographiée dans le but de dire que j’ai existé et que d’autres comme moi espéraient leur place au soleil.

Faire ce que mon être voulait. J’ai tenu le silence un temps et en ce moment je refais ma version de la vie par ces textes qui emmènent à la découverte d’une vie de milliers de moments fixés par un fixeur Ilford et conservés par le temps dans  la cave de mes frères et d’autres pour aboutir dans ma cave.  

Le va et vient sous les couloirs sous la terre par l’homme et la femme de la ville.

Le vide ; suivi de l’achalandage.

J’aime l’espace de ses couloirs.

La brillance de ces nouveaux venus dans notre pays. 1967 pour l’expo universel de Montréal.

Vite en bas le métro part.

une je ne sais quoi a travers les passages .

Vite arrivé vite rempli et rapidement sorti de la station pour le couloir leur étant réservé.

Les gens commencent à se ramasser sur le quai de l’embarquement

vu de haut

Des gens de toutes sortes sont garés pour voir l’arrivée du véhicule de tête qui annonce un départ pour bientôt.

Je me rappelle les affiches de garage sur Maisonneuve en “Anglais” une autre langue que celle de la majorité. Même dans le métro payé par les français, une autre langue y est vu.

Je ne sais pas comment cela ce fait que je me sens touché par la vue de cette langue qui m’ignore.

centre de ouest

La splendeur de l’extérieur de ce centre ville qui possède des richesses d’architecture. Un néon me calme ; Le reine Elisabeth l’un des hôtels les plus prestigieux de la city est dans une langue que je comprends et qui démontre que les gens d’ici on une attache la langue.

Je vois sortir dans la lumière le contact 24.

Contact #22 – Chicoutimi mon grand-père,  Louis, taverne Chjcoutjmj

Contact #22 – Chicoutimi mon grand-père, Louis, taverne Chjcoutjmj

logement Jacques Cartier

Philippe Boulet

Grand papa Philipe Boulet gagne la vie de sa famille comme menuisier. J’ai souvenir que dans ma toute jeune enfance il avait creusé la cave.

Une entreprise de géant cette aventure.

Grand papa est dans sa chambre sur la rue Derfla notre demeure que maman avait dessinée et contractée. Il avait assisté à la construction de la maison. Je ne sais pas s’il à travailler tout le temps de la construction?

Le père de maman nous accueillait presque tous les soirs pour écouter la télévision. Elle était  noire et blanc.

Je me souviens de la lutte. Des parties de hockey et des films plates de ce temps-là mais quand même intéressant quand on est enfant.

Un gros merci grand papa de ton grand cœur.

Philipe Boulet

Voyage à Chicoutimi. Jje passe voir mon grand père    

Cuisine de la rue Jacques Cartier que je partage avec Steve mon frère et un bout de temps avec Marc Morais un ami du cégep en  concentration art. Louise dans le contact 18 suivait aussi cette classe. Le nom de professeur M Angers un artiste de la région.

Le salon et ma chambre à couché avec mon système de son. Il m’était indispensable car je dormais avec la musique. Mes états de contemplation sur les effets du pot hashi acide mescaline et vin st George et bière exigeaient un fond musical qui me propulsait au sept ciel avec amour.


André Duchêne


Jean Gagné                                                      André Duchêne

Bien oui c’est bien moi encore sur la party. Ben oui Johnny  aussi. Je suis dans le temps de la bande dessinée et dans le salon où s’installe les couche tard.

Ce matin là étendu sur le tapis du salon (L’ancien tapis de l’ordre indépendant des Forestier qui a mûri dans le bureau de mon père.)

La monté des nombreuses marches nous permettait d’ accèder à l’étage de ce bureau.

Le dernière marche de cette longue et longue escalier se trouvait la porte de la toilette de l’étage. Un corridor d’une vingtaine de pieds face à une belle grande fenêtre

menait les aventuriers intéressés au service que papa offrait.

Cette journée commença par ces invités surprises.

Notre chien Stone dans son environnement Saguenéen.

Chez nous rue Derfla avec sa belle neige et son calme, merci maman. Derrière le banc de neige et de Stone on distingue la maison des Laverdière, plus loin celle des Gaudreault ( Musicien) le fils fut un musicien de l’orchestre de Montréal comme joueur de Cor Anglais, peut être Français. Ce sont mes informations non formelles, et après, la petite bordure de forêt, l’orphelinat de Chicoutimi devenu l’université de Chicoutimi.

Le chien Stone de notre famille

Vive la neige merci Louis de me promener dans les sentiers de Notre Dame du Saguenay.

Louis Gagné et Stone dans notre patrimoine et la neige.



Louis Gagné

Alex Gagnon                           Momo                            ?     Roger Gauthier

 Chacun son histoire dans ce document de la taverne de Chicoutimi.

Pour ma part je suis un espèce de déserteur revenu voir ce que la vie donne de plus dans ce pays.

J’ai analysé et mis sur négatif mes observations et remarqué mon rôle dans ce partage avec cette gang qui fut la mienne. Je peux dire longtemps, mais au fond, ce fut intense et court. Mon sentiment pour ce pays quitté s’illustre par le vague des personnages présent. Je Clic et clic  ma parole devient image.

Là au moment que je rédige cette histoire un grande émotion de gratitude monte. Je vois en silence mon chemin. Merci


René Tremblay André Tremblay Pierre Turcotte Benoit Fortin
Claude Boivin Gilles Alix Gagnon

                                                        François Bouliane

Dans un petit coin me regardant Sylvain Tremblay avec son foulard blanc derrière Jean Grégoire et Jacques Brassard ami du primaire

Le frère de Sylvain je pense Michel Tremblay  et Jacques Brassard jamais

dans la même équipe car je pense que l’on compétitionais l’un contre l’autre.     Les autres un oubli pour leur nom .

    

Beau souvenir avec cette photo du bon temps dans les Scouts dans l’équipe des Loups ou je partageais mon adolescence avec ces jeunes intéressés au grand air et à la troupe

Pour Claude Boivin souvenir d’un gros buveur.

Pierre Turcotte    `Mon ancien chef de patrouille des Loup. Son voisin

René Tremblay, ami de Serge et professeur et André Tremblay, ingénieur à l’Alcan un ami de mon frère 

 Roger Gauthier                                                                      Alain Turcotte


Tous ces gens sont des connaissances d’adolescence, certains, des amis.

Je pense que le passé fait parti du rêve. Bien assis devant mon clavier je cours après les mots que me souffle le réveil.

On pense ou plutôt je pense que je rêve et je me laisse bercer par la douceur du souvenir.

Le temps grand papa Boulet peux tu : oui Errol je voie le contact 23 que tu me présentes dans mon rêve . Je t’aime Errol . Merci Grand papa.

Contact #21 – Chez Francine

Contact #21 – Chez Francine

quelle aventure

La vie commence sur la rue Papineau. Visite de Nicole dans la grande ville chez sa sœur. La plus jeune qui a pris la place de bébé de Francine.

Un œuf ce matin Errol et Francine c’est moi qui fait le petit déjeuner.

question

C’est toujours plaisant d’avoir un sourire pour remerciement

A mon tour de faire de même pour la postérité.

Je pense au résultat d’une conversation de la sorte.

Un moment, le chat, je suis récent dans ta vie mais je te demande d’attendre Francine; elle va te donner ce que tu veux

Pauvre petit minou



Nicole avec son petit sourire de jeune femme ressemble à sa maman
la pensée

Tu lui as arrangé ça comme portrait. C’est pas mal l’attitude qu’il a quand il veut quelque chose.

Ces traces sur la photos c’est le résultat d’une inondation durant la sauvegarde de ses trésors.

Jeu de quoi ? D’échecs

Tu es pas mal belle avec ton air ingénu qui sort de rien. Salut la vie

Bien oui je peux dire tout j’ai aimé cette aventure

Des photos pour l’histoire d’une belle rencontre qui donne plein de collaborations et d’amour. En plus j’ai la chance de l’annoncer ce 22 ièmes contact et ses surprises.