Contact #20 – rencontre

Contact #20 – rencontre

la photo du début. Le bonheur!

Je viens de connaître Francine et La visite de sa sœur Nicole que je rencontre pour la première foi.

Mon ami Moustafa qui reste chez moi arrive fatigué et se repose sur le sofa.

Francine qui prend son autobus pour aller au  travail à hôpital Notre-Dame.

Nicole aime parader pour se faire photographie elle parait bien.

pris dans le silence

Il faut attendre

les pensées parlent fort
au garde-à-vous

Ma première visite au bien être social.

Est-ce que je peut recevoir un soutient pour subsistance?

Je ne suis pas le seul dans cette réalité.

Arrive tous toute des régions?

on l’a, victoire

Je t’aime mon beau Errol c’est pas mal intéressant d’être avec toi. Bonne journée et merci de ta présence.

Bien oui je t’ai vu vouloir remplir la page avec la photo. Tu m’as entendu avec mon objection? 

je file le bonheur

L’autobus arrive je me concentre sur le présent qui s’en vient.

En écrivant ces mots je ne savais pas que j’aurais pu moi aussi avoir une emploi dans cette boite, l’hôpital Notre-Dame. C’est bizarre à écrire: je n’étais pas sur la terre.

Mon attention s’évanouit avec l’autobus qui entre dans le décor du cadrage de ma photo.

Une autre journée occupée à trouver des fonds pour mon loyer et ma nourriture.

Bon repos mon ami fait de beaux rêves. Peut être une soirée à fêter dans les bars de la ville. Les études servent à ça. Je t’aime bien Hervé. Merci pour les coups de main que j’ai reçus de toi.

Exemple de celà : comment me débrouiller dans une chambre noir improvisée dans la pièce vide du logement, la cuisine, le soir, les lumières éteintes.


Nos premiers enlacements nos désirs se rejoignaient. Le rire venait sans l’attente.

Bien oui    le photographe est aussi sur la sellette.

le sourire me va bien

Je me tiens comme ça ou comme ça

Bravo c’est bien la pose Merci.

plaisir

Plutôt comme tu veux Nicole c’est ta pose à toi. Pour ma part je photographie ce qui se présente. Je ne dicte pas ta création parce que je suis dans l’apprentissage de la mienne.

Le plaisir des deux sœurs  déplaçait de l’énergie palpable. Agréable de revoir 

Bien oui Errol le 21 unièmes contact bravo!

Contact #19- Chicoutimi 1972

Contact #19- Chicoutimi 1972

forêt boréale

En direction du char pour continuer la route.

Dans un refuge, l’Étape. une occasion de prendre un repos. Est belle La petite voiture mais c’est pas mon auto. Mon char c’est la Pontiac.

J’aime mieux ça. Il me semble que la route va être plus belle..

pleine lune

La pleine lune dans ce pays le Saguenay me fera toujours rêver.

Je la traverse pour une dernière fois bientôt me déclare Danielle.

Chez Danielle qui a disparu de la région. Le hasard me l’a fait rencontrer à Montréal après 35 ans. Elle avait fait sa vie et était à la même place que moi cette journée là. Et puis rien, encore disparue.

réunion au sommet

Lise Lessard, Louise Gravel, Louise Baribeau dans un café de Chicoutimi

Le mari de Ginette Gravel sœur de Lucie dans mon appartement sur Jacques-Cartier.

On peut apercevoir une peinture de Marc Morais un un ami du Cégep qui demeura chez moi un bout de temps. Le salon et chambre a coucher qui berça mon dernier voyage dans la Chicoutimi de mon avant déménagement.

maison en ciment

Maison de l’architecte Paul-Marie Côté, un avant gardiste de Chicoutimi qui a construit une maison en béton sur la rue Jacques-Cartier non loin de l’hôpital.

Jeune homme que j’étais elle inspirait mon coté créateur en devenir.

Regarde comme c’est propre                                          

Danielle un petit moment de repos .Tu fais bien de le prendre. Moi je relaxe.

Lyne

As-tu vu la poussière ? Oui une chance que ce coin es propre. Comme dit ma mère il y a toujours de la  poussière. Elle ne prend pas de vacance.

Quels beaux souvenirs. Se sentir en vacance et faire la vie de notre début de la vingtaine.

Lyne

De beaux souvenirs de cette amitié qui dura le temps que dure l’amitié.

propre  Madame Desmeules et sa petite fille elle ressemble beaucoup à sa sœur Jeanne mon amoureuse de mes 18 ans.

Mr Desmeules un grand coiffeur pour homme sur la Côte de réserve où était son salon.

Dans une famille on se ressemble des fois beaucoup. J’ai oublié son nom. Je te salue par ce gros plan tiré de mes archives.

Un petit verre de bière mon minou ça se prend comme ça. Vive la chaleur                      

Encore un gros plan et salut.

je prends la vie comme un bonbon
bon en tout temps
une petite réflexion

Plusieurs amis avant mon départ pour la grande ville.

Oui allo je vous le passe dans pas grand temps il est occupé à rêver.

couple

Mon frère et son amie de ses tendre année.

visage

Je prépare le 20ième contact . Petit train va loin

Contact #18 – Réunion sur Henri-Julien

Contact #18 – Réunion sur Henri-Julien

Chez Errol Henri                                                    

 Rémi Tremblay le drummer du groupe du Saguenay la Molo Beer Band

Vous parlez de ce groupe qui jouait du Chicago à la perfection. Les cuivres, les guitares, le drum, tous ces gens qui forme ce Band, je les fréquente malgré mon profond délire stone du temps. La fin de mon secondaire avec de la bière, du vin St Georges pour mon gosier friand de ces breuvages et de leurs effets à ne plus faire partie de la bulle terre.

Louise  connaissance du Cégep

Louise avec un ami
ami
steve riant

Je me souviens de ce jeune homme avec cette grosse chevelure sur la tête. Un ami de Chicoutimi venu en visite à Montréal. On va passer chez Errol. Un gars de par chez nous avec un logement dans la grande ville.

Steve devait venir rester avec moi et aller lui aussi au cégep.

Bien oui je suis là venu de je ne sais d’où.

Moi je n’ai pas de nom pour Errol car je suis là par hasard.

 Louise, Jean Luc et François, le frère de Marthe  Cambron                      

Louise Baribeau Monique Jocelyn Pagé

La Chatte d’Espagne sur le dos sur une courte pointe. Mais non, sur la jupe de Louise mon amie du Cégep.

complice
La raison fait son chemin amie Louise

Louise et Monique l’ex de Jocelyn Pagé

Jean-Pierre Bouchard super guitariste

Bien Monique et Jocelyn et toi Louise comment ça va?

Salut la gagne on se croirais à Québec presque toute la compagnie de la ville est ici

Ce personnage a marqué mon écoute de la musique . André Duchesne et ses amis viendront pratiquer dans le Conventum, un lieu non existant à cette époque, mais qui prenait forme dans l’invisible de rencontres impromptues.

on vient de débarquer de l’autobus salut Errol . Entrez le party commence.

j.p b

HE Louise vient on va faire connaissance…

 Tous arrivaient comme ça sans avertir. Un open house. Je sais que mon propriétaire ne trouvait pas cela bien drôle. Mon bail n’a pas été renouvelé.

Je crois bien que dans ce temps-là rien ne me dérangeait. Je venais de découvrir la grande vie le plaisir dans le vrai monde. La vie me montrais que je devais faire quelque chose. Mais quoi faire?

Rires de la première rencontre.

On est dans le début de la vingtaine. Comme moi ceux qui sont près de moi explore autant la vie que moi.

C’est drôle moi aussi je joue de la guitare. Bien moi aussi et je fais mes études dans ce domaine.

. Moi je fais mon Cégep en art à Chicoutimi. J’ai rencontré Errol dans des sorties de fin de semaine et avec son frère Steve nous sommes devenus des amies.

Jusqu’où est allé cette relation? aucune idée. Même cette Louise je ne l’ai jamais revu. Je vous parle de ces photos qui me rappelle la rencontre de deux personnes totalement inconnus avant cette rencontre. Tout est gravé d e ce plaisir de la rencontre.

On dirait que tu joues de l’harmonica! Bien non je roule une cigarette

raconte moi cette histoire.

Je vois

Tous se passe dans le parc dans une ville sans nom et le bonheur se cachait derrière le bouleau blanc qui chapeautait un banc de couleur rouge cerise . Soudain timidement un colibris se percha sur le bras de la jeune fille .

Sans attente, un cri fit sursauter la jeune fille qui se réveilla. La suite plus tard .

Tu es une bonne conteuse. Merci

l’arbre pousse

Je me suis toujours bien senti chez toi mon ami . Merci de nous avoir invité.

surprise du rire

Je questionne la vie pour savoir qui nous rend plus heureux.

C’est qui tient le gant? Ai-je parlé du groupe Conventum? À cette époque, le lieu ainsi que le groupe n’existait pas encore à mon souvenir.

Contact #17- Début de l’aventure Montréal

Contact #17- Début de l’aventure Montréal

Jean Gagné et Moustafa Hervé Lapointe 1972

Hommes de la trempe des guerriers de la création. Hervé dit Moustafa cameraman du film Saison cinquième de Jean Gagné. Ce dernier étudie en cinéma au cégep Loyola École anglaise de prestige .Je le rencontre. Il reste chez moi dans mes premières semaines et mois sur Henri  julien.

Un projet de film qui germe dans la tête de Jean qui en glisse un mot. Dans le coin droit de la photo: les oreilles de lapin pour la réception des images de télévision.

Marielle Tremblay et Hervé

Oui sa femme qui vit à Longueuil.

Ce Moustafa qui connais très bien Patrick Straram dit le Bison Ravi .

Errol Gagné

Mon copain Moustafa ma transmis ses connaissances de la photos durant son séjour chez moi.

Vive l’union
Jean Gagné et André Forcier deux cinéastes à leur début

Un petit déjeuner après une prolongation dans le fun et de la parole qui amène le dialogue d’ami à ami. C’est ce qui se passait souvent dans nos réunions.

Jean Gagné
Francine Dorval 1972

   Je la voyais dans sa beauté que développent l’amour et ma passion pour cette femme qui me permit d’entrer dans sa vie. Sur la rue Papineau mon premier rendez-vous.

On dirait la même photo mais non ce sont des instants que la caméra une fois recharger et que le doigt appuyait sur le déclencheur:

La joie

. Je n’avais pas de moteur pour accélérer les prises.

Jean et Steve Gagné André Forcier Francine Dorval

Une vie d’amoureux prenait son envole dans la joie et la découverte

Jean Luc

Dans cette histoire d’amour avec Francine et Moi c’est a cause de l’invitation à sortir au Chat Noir sur la rue Sherbrooke dans l’ouest. Mon ami qui venait chez moi me trouvait pas mal casernier. Un bon soir il est arrivé avec un tab d’acide et me l’a proposé. J’ai dit oui car ça faisait pas mal de temps que j’étais stress.

Je ne me souviens pas du jour mais je sais que le temps des fêtes était à la porte.

merci l’ami
André Duchêne
Errol
Jean-Pierre Bouchard et André de passage
J-P Bouchard
Une visite dans une autre taverne
révolution musicale

 Quoi dire de plus que si des photos existent c’est que tous ces gens brillaient par leur présence.

La fatigue a fait son chemin. Jean-Pierre à succomber au repos après une résistance

André les points fermer rêve aux chansons à composer.

Chez Jean ce repos avais de la classe même au planché.

Le chat d’Espagne dans les bras de Steve

Le jeu du chat d’Espagne à Montréal

Quoi dire de plus que si des photos existent c’est que tous ces gens brillaient par leur présence.

Contact #16 – Première rencontre avec le Bison Patrick Straram

Contact #16 – Première rencontre avec le Bison Patrick Straram

Le Bison Ravi

        Je ne sais pas comment je me suis rendu là avec deux jeunes du Saguenay comme moi. Notre entré dans ce lieu a un but. C’est que la brosse continue.

Parmi les taverniers deux hommes assis à une table attire mon attention. Un d’eux nous fait signe. Un de nous trois retourne le salut. A vingt trois ans je viens d’entrer dans la vie de ce personnage qui nous salua. Un autre chapitre de l’histoire se grave sur pellicule argentique.

Les présentations se passe bien. Ma mémoire entend le nom de ces personnages de parfait inconnus. L’un se nomme Jean Billard professeur au Cégep du Vieux Montréal. Il est devant une bière. L’autre se trouve son ami Patrick Straram celui qui nous à saluer a notre arrivé. J’oubliais ce sont l’accent français.

Mes compagnons pour cette rencontre se nomme, André Duchênes, qui salua et connaissait Patrick, Jean-Pierre Bouchard  ces deux autres personnages des amis de Jean mon frère: ce sont des musiciens d’Arvida en visite dans la grande ville.

Pour ma part je suis seul dans cette grande ville et pas trop aventureux dans cette nouvelle aventure. Je me laisse aller au gré du vent

C’est un événement marquant dans ma vie d’un jeune arrivé dans la grande ville. Je fais mes premières expériences dans la lumière tavernière de la Wilson. Le clic est facile. Je ne parle pas beaucoup.

rire

Je me permets de prendre André dans son rire d’un criant de joie dans sa chevauché

Tu me surprends avec ta caméra jeune homme. Je suis à ma table pour avoir la paix. Je m’en excuse c’est ma première visite ici et je pense que tu va avoir ta place dans mon histoire.

Jean-Pierre les yeux perçant regard par ses lunettes le spectacle en souriant aux éclat de rire de son ami

Sur la même note : le plaisir!       

Les discutions de tavernes passent par toutes les émotions de la vie. On en parle, des solutions inondent les intéressés.

Tu as raison sur ce point ces musiciens me fascinent je les découvre grâce à ma passion de musicien.

Je suis sérieux quand je parle de jazz et de cette musique qui me transporte dans un monde de grande extase  puis de joie.  Les vagues de notes remplis d’émotion quel sublime délire.

 Je te connais assez pour te croire Patrick. A vous entendre votre passion la musique. Je vous sens passionné mais la bière se réchauffe.

    pour ma part je suis un fan de jazz, bleu,tout ce qui colore mes moments d’écoute.

  Je sais qu’il fait ce qui lui plaie. Je ne suis pas surpris de cela. Tu as raison de pensé comme ça.

                                                   Le Bison Ravi Patrick Straram  Laisse moi sourire. Je te donne ce que tu as besoin                                                                                                                   –                                                                   André Duchêne

Tu me surprends tu es un gros fumeur         Jean-Pierre Bouchard Je surveille mon tabac.

je roule

Les voici communiquant face à face dans un réel : des rencontres des esprits.

Des amitiés de taverniers  s’unissent au délire des verres à verre.

image
surprise

Une série de moments, d’expressions , de ce personnage haut en verbe et couleur

Me propulse à le voir entré dans ma caméra pour le souvenir.

Combien de foi que cet homme s’est assis là et le seul souvenir est celui ci

Ça me fait rire ces contacts  avec les gens de partout dans un endroit si fermé de la vie

Ce n’est pas un coup de dé cette rencontre et surtout ce montage un comme une chandelle représentant la première rencontre avec cette taverne et le Bison, Billard Duchêne et Bouchard

Chapeau mon photographe du quotidien je le savais mais la te voir les transformer en histoire bravo

La chandelle du tavernier ses compagnons le sel, le verre et le journal et le cendrier.

 Je le sais. Rien n’est fait pour rien.

Je peux parler de délire avec cet évènement car je peux en glisser un mot aujourd’hui. Le temps ma permis malgré le silence de photographe que je vivais dans ce temps de ramasser ces moments. Je les montre. Ce sont des histoires de la vie par les gens.

que dois je en pensé

 qui se sont prêter au jeu du kodak que je traîne dans ma vie de photographe actif.     

   Écoute il vient de prendre d’autres photos ça fait comme une symphonie  

Je te remercie l’écrivain qui a pris le temps de vivre .à fond la poésie, la parlure, la réflexion… que dire de plus rien mais je peux écrire sur .

Pour l’instant laissons les balivernes de il faut ou je vais pour on est et on vie. Tient ma nouvelle façon de penser.

  Mon dieu que va-t-il se passer?

 un coin de table bien garnit. Je le surveille ce verre. Une belle transparence  

Oh mon ami charrie pas j’en ai vu et bu d’autres encore plus plus.  Tu voies bien que je peut en mettre des effets sur les sur qui passent et qui on passé. Je les rénove leur donnant plus de souplesses et d’imagination.

je réfléchie

voici la chanson du au Canada c’est une farce .dit Patrick

   Le temps de voir et c’est déjà du passé.  J’aime cette journée dans le calme de la  communion avec les gars du Saguenay des amis de Moustafa. Ce gars Hervé Lapointe est la source qui à amener la rivière a ce fleuve d’amitié.

Je sais que tu allais finir par traduire ces images en mots. Je te salut de mon Âme cliqueur de présent.

la réalité de buveur.

La photo de l’urinoir de la taverne Wilson. Un passage obligatoire pour vider le trop plein. 

Il est indispensable d’aller faire un changement avant de pisser dans nos culottes.

La suite se fera au jour le jour, pour vous le rappeler le 17ième contact est en route.

Contact #15 – La rue et ses mouvements vivants

Contact #15 – La rue et ses mouvements vivants

Rue St-Denis à la hauteur Pins Avenue. La vie est tranquille et je monte vers chez Jean et Louise.

Les rues sont remplies d’autos avec la date d’expiration qui n’existe plus.

c’est bon,salut

Le sourire du bonheur à un visage ce matin. Une pomme dans la main, la bouche plein son regard franc. Ces parole raisonne  Salut Errol bonne journée…

je vais devant

Où es-je la tête ce matin ? Il me faut tourner ici. Mais non c’est un sens unique ha ha ha!

On fait un bout de chemin ensemble les filles. Je fini ma cigarette. Vous savez ce n’est pas nécessaire de prendre cette habitude. En plus c’est un cauchemar quand on veut mettre fin à cette attache.

Tu as de l’allure vient pour le bout de chemin. Merci de ton offre.

que se passe – il-

Des refaiseurs de toitures dans la grande ville ne ressemblent pas du tout à ceux des banlieues où je vivais.

ce floue se précise

Même mon foyer suit l’évolution du travail des hommes. Les couches enlevé produit une vibration une genre d’accélération qui embrouille ceux qui observe. J’ai payé pour le savoir.

qui es là?

 OK j’ai assez entendu de potins sur ces gens par n’importe qui. Pour ma part :’ salut’.

sur le coin de la table

Un petit moment de consommation je me trouve hot. Ce qui me plaît dans ça c’est le rituel des choses marginaux.

la pose
le morceau
ce sera le voyage
respire

Bien oui le verre commence à être plein une autre aspiration sera permis. La xième puffs me satisfait je continu un autre se prépare. Je vais prendre la journée calmement.

je suis présent

la rue où la vie se trouve
les montagnes urbaines
enfants fusionnent l’amour

parc de la montagne au tournant

L’avenue des Pins quel dessin

elles passent

Dans la neige leur chemin conduit sur la pellicule de mes observations

elles sont là

Leur regard se fixe sur quelque chose attendu? La dignité des femmes parcours mes émotions en pensant à ma mère gracieuse et fonceuse.

la fleur
la chaise
je chatte

Encore impressionner par le photographe je me cache pour ne pas être sur la photo.  Laisse moi la place j’ai l’habitude.  

Je parcours la rue et je clic sur le gens de la vie. Les sens uniques sont dans le décore de la signalisation.

Les filles traversent sous le phares de la nuit tombante.

J’aime la lumière de cette rue avec la clarté des personnages et les deux phares qui les observent.

il est là les regardant en silence
il fonce et fait craquer la neige
la route
escaliers
Châteaux
le respect merci
je reviens plus tard
un taxi pour monsieur .

L’enfant me surprend pas son attention devant mon passage.

Salut mon frère Steve et toi Suzanne la belle femme.

On se téléphone et on prend une bof  Hi Hi Hi.

A ce soir.

J’aime ton originalité dans la description de tes prises de souvenir pour demain. L’ avoir des souvenirs permettent de diffuser le 16ième contact.