Elle est heureuse et entre dans mon jeu de photographe et se prête joliment à la séance de poses. Elle a de la classe et j’aime cette énergie. Encore aujourd’hui après tant de temps je me rappelle ces précieux moments de ma carrière débutante.
Oui tu continues à me prendre en photo ? Oui tu te trouves être une des premières dans mon plateau d’images.
Elle passait devant moi sur la rue Jacques Cartier en revenant du Cégep. Le moment que j’écris ces mots je pense que j’ai fréquenté cette établissement l’année où j’ai quitté la maison familiale.
Cette fille a bien participé à la prise de cet événement. Cette fille je ne l’ai plus jamais revu. La vie me l’avait placé pour l’histoire.
Je pensais devenir un comptable. Je me sentais très bien avec les étudiants en beaux arts.
Une plaque d’eau pour ne pas prendre le mot flaque.
Ce petit chien pose comme un pro.
Entre deux escaliers qui conduisent dans la rue voisine.
Une demi photo de l’ami près de la librairie. Un annonce du livre d’Astérix qui vient de sortir . Un image dans la vitrine de la tabagie 500.
La voie ferrée
la gare s’installe lentement.
La gare et son environnement
La chaîne des agriculteurs une force incontournable.
Des bâtiments pour entrepôt délaissés par la vie
Le jeu continu dans un autre élément le sourire de la fraîcheur l’eau près du Saguenay
Le fer qui roule sur la voie ferrée se trouve du solide
Le transport de bois se prépare pour l’étranger.
Beaucoup de consommation dans le monde de notre bois d’œuvre.
Je vais reculer les bip bip ne sont pas encore installer sur le recul des machineries.
J’attends le signal
Il faut doubler de prudence pour éviter les accidents.
Le chemin de fer appartient au Canadien National sur notre territoire.
Pousse plus mon ami cria le débardeur du port du chemin de fer.
Toi le jeune reste pas trop près du train un accident peut arriver.
Le calme presque plat dans la gare maintenant. Aujourd’hui en 2020 elle n’existe plus.
S’est Pierre et Claude arrivant du Cégep retournant chez eux à Chicoutimi nord
Passer une belle journée les amis.
Certainement Errol et toi?
La prise de moments que je trouvais intéressant se cachent maintenant sur mon négatif oùvos images se trouvent.
Les travailleurs de la ville devant la cathédrale rue Bégin.
Par où je vais passer pour me rendre à la taverne Saguenay. Ces travailleurs défont mon trottoir sur lequel je passe tous les jour. Pourquoi il décide cela ce matin?
Je devrai passer de l’autre côté de la rue Bégin il semble que rien indispose les marcheurs. Ce décor du coin me disait la marche se termine ici. La rue Racine se trouve parallèle. Les marchands s’exposent sur cette rue. Restaurant Gagnon Frère la Calèche le barbier où notre père nous y emmenait, deux banque, une Librairie, un garage où j’attendais l’autobus où bien des amis et où la police nous disait de circuler.
Je pense que tu nous fuis, trop de bruit. Le travailleur vient d’arrêter sa machine son marteau piqueur. Un large sourire s’inscrit sur son visage.
La machine silencieuse je peux écouter.
Des amis me crient de l’autre bord de la rue.
Je regarde les auto une Renault attire mon attention. Durant cette observation je remarque un grand nombre de parcomètres.
Salut comment tu vas ce matin ? Très bien beaucoup de construction. Tu sais il faut gagner sa vie. Moi je fais manger six enfants et leur mère. Je peux bien vouloir faire mon fin comme toi avec ton arsenal de jeune homme en vacances. Imagine mes enfants rien à manger parce que je décide de faire ma vie.
Je revois les paysages avec les sujets je les décomposent afin de faire voir la beauté d’une photo et l’étendu de ses précisions. Un sujet semble la mire et un détail en devient une photo en elle-même. Le plan général s’estompe pour redéfinir le cadrage. Et le vague devient le visé.
En face de la Cathédrale la rue de la Côte qui monte vers la rue Jacques Cartier me montre tout ces détails grâce à ces clichés pris en 1972 avant mon déménagement vers Montréal.
La maison cachée par les arbres se trouve ressortie par la blancheur de ses rampes d’escalier.
Un peu défraîchi ce char de la rue tranquille de Chicoutimi près du Cégep.
Au loin l’édifice du savoir vient de changer de vocation de Séminaire il devient un lieu de savoir pour adolescents frais sortie du secondaire. Un Cégep !
On sent déjà le jaune des arbres plus l’observation se réalise.
Quelle splendeur des milliers de feuilles sont prêtes à leur envol. La nudité des arbres donnera au paysage, comme, des coup de crayon sur le décor quelle protège
En face se trouve le docteur des animaux Mr Antonio Fraser
Belle résidence de la rue qui dans son calme et sa discrétion reçoit de nombreux animaux de compagnie
Paysage de rue d’automne demeurant en face d’une autre classe.
Une auto marque Falcon stationnée de la manière classique du bon côté
La rue calme presque en tout temps permet de profiter de la paix entre deux axes routier achalandés. L’automne semble la saison de la prise de vues. Des feuilles mortes jonchent la rue et le trottoir. Cet arbre devant la maison fait ressortir les blancs pétants des boiseries des gardes et de l’escalier de la partie de cette rue.
Soudain par un œil de chercheur du regard clic j’observe une vie qui main dans la poche gravit la côte. La joie semble au rendez-vous
Les pas s’étirent pour accélérer.
Enfin le sommet arrive et j’entends ‘pas trop tôt’ la disparition de l’acteur se trouve imminente dans les secondes ses pas se dirigent vers …
Un gros véhicule devant un tas de cochonneries de je ne sais quoi. Un chien semble avoir une autre direction l’arbre?
Un peu penché la soirée à dû être dur. Bien non Errol c’est une auto le temps à fait on œuvre. Bien non y doit être stationné dans un trou de puisard de rue.
Je m’exclame devant cette blancheur de la rampe d’escalier.
La côte s’orne de maisons d’arbres d’autos et de chien croqué par le hasard de la vie qui a permis que je passe par là.
Une observation bizarre se produit en ce moment. Cette maison qui se dessine comme une belle demeure et luxueuse galerie et escalier solide ancrée dans un bel environnement nous montre un tas de déchets de maison jeté à la rue par la réalité d’une démolition. Encore plus drôle pas d’autres pièces sur cette accumulation de ces déchets dans une rue quelconque de ma ville Chicoutimi. Un ouragan ?
Tout se passe quand on se promène avec une caméra. Les instants arrêtés sur la pellicule deviennent vivants quand on les regardent même après longtemps tenus en silence dans le fond d’une boite dans les profondeurs de la cave.
La rue en face de la cathédrale rue à côté de chez mon ami Rodo André Fradette. Une belle rue tranquille. Un chien va apparaître le voici : Bien oui je l’ai déjà fait entré dans la première page. Voici la suite
Une arrivée dans ma vie de croqueur d’images et cette journée de découvertes.
Comme tout jeune chien de rue il s’est approché de moi avec sa curiosité de chiot. Je l’attendais et clic à mes pieds. En suite comme apprivoisé il me regarde avec ses grands yeux.
Puis son départ se fait simplement il marche lentement à la poursuite de son chemin.
Et le trou dans la rue l’a comme avalé.
Puis son départ se fait simplement il marche lentement à la poursuite de son chemin.
La scène finie un autre voyage se mixe par le son que la vie me chuchote aux oreilles. Des enfants dans un terrain vague se moquent de la désolation d’un solage d’ancienne maison qui ne se trouvait probablement pas là à leur naissance. L’escalier de la fondation pousse à aller voir ce qui se passe plus haut
Un regard sur la photo me ramène dans un temps où la religion avait pouvoir sur tout. La naissance afin de peupler le pays. Entrer dans cette conversation me dérange énormément car mes idées sont mes idées et j’y tiens. Alors je clos.
L’imagination d’enfants déborde le présent. Ils se garochent dans un temps infranchissable, le passé, qui ne peut changer. Je peux voir cette énergie en m’ouvrant l’âme à recevoir plutôt qu’à montrer mon savoir.
L’émerveillement d’être voilà leur existence à ces enfants venus ici sur la terre pour vivre et concrétiser l’incritiquable, la vie.
La maison pas finie, une tache sur le solage, l’enfant rit de joie d’être sur la terre pour une nouvelle mission.
Je cours tu me rattrapes non je passe la tondeuse.
Par ici non par là . La tête me tourne .
Quel bel escalier on se croirait dans un château
Une grosse maison à multiples logements. Mon enfance sur la rue St Germain à Jonquière refait surface. La maison de mon grand père Boulet qu’il a construite et qui abrita ma famille jusqu’à notre déménagement à Chicoutimi.
Un vestige de l’abandon dans une ville.
Comme je le disais les jeux d’enfants se pratiquent où vivent ces créatures du Bon Dieu.
Quel bel effet celui de l’étirement. Sa dimension remplie la présence de l’objet. Quel désign quel fenestration
La vie dans cette rue où plein de monde laisse jouer les enfants dans la cour
Des murs de pierres ornent la devanture de la maison c’est artistique.
Un petite Pinto une compact qui a essayé de faire son chemin
Les mêmes enfants dans une vision différente.
La promenade donne lieu aux découvertes multiples. Un retour vers la maison après des achats à l’épicerie du coin de la rue Bégin et Jacques Cartier.
Rien à l’horizon je peux passer. Un autre édifice à logement de classe différente. Dans cette ville Chicoutimi se trouve plein de différences de classe. C’est une ville comme les villes.
Les arbres poussent. Les feuilles se préparent pour leur voyage : parterre. Un beau coin de vie ce quartier me montre le paysage.
Dans la réalité se trouve souvent de jolis dessins trouvés dans las rues. L’enfant se dirige vers…
Une roche roulée dans la rue par le temps attire le curieux qui se promène par là. Elle ressemble à un œuf.
Je l’aime et je la mets dans ma collection.
Comme le disait un ami l’observation redonne la beauté au petite chose de la nature
Moi je grandis dans un milieu qui me permet de dire j’ai une collection de roches de rue.
Oui j’ai entendu dire que les images du photographes continuaient avec son 13ième contact de surprises