contact #4 – visite dans le parc avec une amie

by Juin 14, 2021Moment présent

deux femme discute vu de l'intérieur d'une voiture

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Je passe au moment de souvenir sentimental. Le bonheur de découvrir une amoureuse. Cette série de photos me permet de vous parler de cette personne cher à mes vingt ans. Michelle une fille rencontré dans uns discothèque dans une hôtel de Chicoutimi sur la rue Bossé. Je dansais et cuvais mon vin. Son énergie m’a charmé. Elle avait un chum une connaissance mais tout s’est fait comme par magie (amour). Comme je voyageais dans les vapeurs de l’alcool et des substances du temps. Un clic, non photographique, s’est fait entre nous. Nous sommes entré à l’appartement ensemble. Cela à durer le temps que dure une jeune relation de débutant dans la vie affective.

Depuis un certain temps seul dans la ville immense je suis seul. Je reçois mon ancienne amoureuse de Chicoutimi Michelle Simard venu dans la ville pour me voir et aussi des amies. Ou amis je n’en sais pas plus.

Je la bénis qu’un jour il y eu cette rencontre. Voici la glissade au parc Lafontaine lors de sa visite.

Près de l’école protéger par la clôture le parc donne sa glissade.

Projeter dans ses rêves elle attend le moment.

J’espère de partir comme les oiseaux…Ce dit elle.

Elle va s’envoler. Sa course ne la laisse pas partir. Elle veut. Rien ne marche l’attraction de la terre la tient dans la glissade.

L’espoir renaît et voici Micelle de plus en plus léger dans ses pensés,

Un pied semble être parti les bras le manteau ses cheveux sont espoir ne lâche pas.

Quelle belle essaie.

Remettant ses mitaine elle me dit dans son excitation c’est la première fois que je suis si prêt du départ.

Son explication me semble réaliste. Comme elle le dit bien mon cœur voulait rester dans ces moments de désirs. La respiration de l’air froid de l’hiver 1972 là garder sur terre.

Le tour du carré héberge une foule de personne.

Plein d’enfant joue dans la neige.  Je remarque dans le carré Saint Louis plein cette enfant d’espoir marche, tirant son traîneau vers ?.

Ses pas ne se pressent pas ils vont trouvé le but.

La neige couvre la terre de ce terrain de verdure. Les maisons de la rue qui borne le carré st «Louis se tiennent  présentes encore debout aujourd’hui.

Elle semble me dire tu aimerai ça avoir mon traîneau.

Ça me rappel mon jeune temps. L’enfant à grandi où la corde à rapetisser. Il n’y a pas tellement de temps de ça. Je ne rêvais même pas à me ramasser à Montréal et à fouiner au carré. St Louis et y prendre cette scène d’hiver que je redécouvre en 2020 mars.

Je me rends en bas de mes escaliers du deuxième étage sur Henri Julien où j’habit depuis mon aménagement dans Montréal. Ce que voie par la fenêtre de la porte d’entré c’est, cette image, déjà sans tarder mon œil clic je cherche puis je trouve la caméra traînant comme un collier dans mon cou puis voilà.

Le char silencieux derrière ce silence d’enfant se posant des questions sur les nouvelles aventures de la vie me sourie de son air d’interrogation.

Sur ces mots mon présent me demande de passer au déjeuner. La vie commence dans la maison les chiens sont réveillés et leur maîtresse se lève. Moi je reprends mon jeu de la vie. Me préparer pour recevoir cette belle dame.  

La journée s’est déroulée comme chaque jour. Une chose nouvelle se passe pour plein de monde qui vivent cette journée avec une certaine surprise. Dans cette fenêtre l’enfant surpris attend.

Ce silence interrogateur me transporte à aujourd’hui. 2020 ont parle d’un danger de contamination de masse par un virus  dont je taie le nom. Mes croyances sont mes raisons. Il était loin de chez nous. Maintenant il s’installe dans le pays sans invitation. Alors les gens informé par les médias se précipitent dans les marchés et le tralala d’un début de panique collectif.

Je ne pensais jamais être dans une telle situation. Je me sens comme l’enfant. Toutes les questions, les informations qui résonnent dans les médias. Mon éducation sur les dangers créer, par la vie, dans la vie.

Je prie pour que tout se place. Je suis impuissant devant cette situation je vais faire de mon mieux. Mon mieux c’est d’aider par le respect des mesures qui nous sont demandées (imposées).

Je l’entend me dire : ‘laisse la vie se transformé pour le mieux. Tu te rappel le moment de la prise de cette photo comment tu te sentais? En ce moment ce que tu vie est important. Merci de nous le  décrire. C’est une vision de ce qui se passe dans ta vie  pendant l’écriture de cette histoire. Continu de nous faire voir ce qui se passe. Écrit !’ Je l’écoute. En silence les mots se glissent sur la page.

Ma promenade se continue. Je sors du Carré St Louis le chemin qui me dirige vers la rue St Denis. Les grands se baladent vers leur destination de grand. Les bâtisses de la St Denis se laissent dorer par le soleil qui monte dans le ciel pardessus les maisons.  La neige comme aujourd’hui règne dans l’environnement. La rue dégagée de neige ressemble à une ligne noire tranchante. L’enfant décrit avec son traîneau me donne ce nouveau décor presque par magie. Une femme habillée avec un manteau de vison une jupe carotté,  sac en bandoulière, les mains dans les poches de son manteau. Elle marche.

Elle circule doucement j’entend encore ses pas dans la neige durcie de cette journée.

Le x sur cette arbre du coin de la rue le voue à une transformation radicale : devenir des bûches. Cette réalité ne dérange aucunement la vie des gens qui passent près de cet observateur silencieux, depuis quelques générations, sans le voir.

On la nomme la st Denis.  Ma connaissance me porte à parler d’elle comme étant l’artère du peuple qui y vive autour et en long. Ces habitants l’on orné de balcons et d’escaliers et de portes…

Le piéton semble immobile mais le moteur de cette voiture me parle de la vitesse qui permet à celle ci de rouler sur cette ligne noire dégagée par les grattes de la ville. Les pneus déplacent en silence ce gros tas de ferraille que les hommes ont peuplé sur ses lignes des systèmes routiers. Même dans ce temps là cette réalité germait. .

Main dans les poches cette homme se protège du temps frisquet il semble bien au chaud

Je vais me rendre au métro Sherbrooke semble dire les piétons. Bien oui je me rappel il se trouve de l’autre côté de la rue dans la bâtis abritant l’école Hotellière de la ville.

Quand je marche et que je regard partout plein de vie bourgeonne c’est la vie de la ville. Le silence des escaliers et des trottoirs raisonne au passage des gens se dirigeant vers leur but. Plein d’histoires s’accumulent dans ces objets inanimés.   

Je passe et ces gens déjà disparues me parlent de leur présence dans ma vie il y a des années et encore aujourd’hui. Merci la photo.

Les enfants comme les autos sont stationnés. Leurs jeux les font paraître en attente.

On y va faire un tour dans la rue ce matin? Les chars sont sur le bord de la rue en stationnement pour un bout.

Je suis bien sur mon bicycle

Je regard Claude il a bien du plaisir avec la neige. Tu sais il n’a pas de mustang lui.

Je sais les gars mais il à une gang qui eux aussi n’en on pas. Alors je joue avec eux. C’est pas mal plus intéressant ils sont plus grand et on joue autrement.

Les portes s’habillent tous différemment. Pas une ne porte le même décor. Les idées diffèrent d’une porte à l’autre.

Je suis pas mal petit encore je dépasse à peine le devant du char. On sait ça le petit mais tu es pas mal débrouillard dans nos activités de la vie.

Une grosse bosse qui ne se trouvais pas là hier. Tu vois il a encore ses pneus d’été.

Lâche ta mustang et vient jouer avec nous! Allez chum.

Je vais te pousse sur la trottoir on va se dégeler.

Non pas par là tu cours où avec cet entrain là? Je cherche à me réchauffer.

Un jour il va avoir d’autre genre de véhicule avec des ailes et des ballons pour le propulse dans l’avenir.

Pourquoi me joindre a vous la gang moi se suis bien avec mes amis.

Dans la rue autour des autos l’hiver se joue.

Un ami de perdu dix de retrouver.

Je le répète j’ai du plaisir avec mes amis.

J’aime la rue je grandi au contact d’elle

Dans la foulée de la découverte me voici sur Cherrier me dirigeant vers la rue St Denis. Une neige déjà pilotée par les passants. Certaine marches s’orne de cette belle neige que le sol près des maisons tient le blanc pur de traces.

Une gang se dessine pas loin de l’entré du Métro

Je les sens voilant se mettre à l’abris. Comme une bonne jeune Femme de la ville manteau ouvert et cigarette elle marche elle d’un pas énergique vers sa destination.

Chaque marche que j’observe à le style de la personne qui à pris place sur la pellicule de cette journée.

L’arbre semble grandiose dans le contexte. près de celui-ci la femme dégage une allure de pas presser.

Une réalité du froid ne semble pas la déranger.

Madame d’un certain age elle de son côté ressemble plus à l’hivers et discrètement longe le haut du trottoir.

Les pierres des maisons dessinent le décor de la rue. Les escaliers enneigés signent de joies hivernales. Les balcons garnis de poutres souteneurs des structures agrémentent la beauté des bâtiments.

Elle marche sans voir le bonheur qui l’observe lui demandant en silence pour faire un bout de chemin avec cette belle marcheuse rempli de savoir et d’espoir. La photo me montre tout ça.. Je la voie remonter sa fermeture éclaire en marchant. Il fait peut être froid pour faire sa fraîche de la ville. Chez nous en région je pense que l’on est emmitouflé dans nos manteaux et la tuque. Je me sens plus frileux qu’eux le gens de la grande ville.  

Les poteaux endroit pour coller des paroles des rassemblements des avis de recherche j’ai perdu mon …

Les arbres arborent la dignité. L’espace est spacieuse.

J’ai un petit frisson. Un manteau long peut être exagéré mais plus confortable pour vivre heureuse en hiver.

Je suis nouvelle dans cette ville pour quelques heures. Je retourne d’où je viens car ma venu ne durera que le temps d’un court séjours chez des amis et une courte visite chez toi

Errol.

J’ai manqué de glisser sur le trottoir.

Je me nomme Michelle et je vis dans la liberté total.

De plus en plus de monde dans la rue ou plutôt sur la rue. Des enfants des jeunes adultes des travailleuses marchant entre les autos immobiles, les maisons stables depuis des années et même des décennies.

La neige est encore fraîche pas trop taper par le va et vient des gens sur cette pellicule blanche. La vu d’ensemble révèle plein de charmes

Le poteaux et son lampadaire veille sur la rue qu’elle à éclairer durant l’obscurité de l’absence de la lumière du soleil parti de l’autre côté y mettre le jour. Les branches chargées de neige rayonnent au grand jour.

Dans cette rue la VW pas mal défraîchi ma conduite un jour dans les rues de Beloeil et

 St –Jean Baptiste de Rouville.

Plein d’autos profitent des derniers moments de tranquillité de la nuit avant que les conducteurs en prennent leurs contrôle et les garrochent sur la piste noir sillonnant la ville.

L’émerveillement de l’enfant piétinant la neige dans un escalier lui procurant un jeu qui attire la curiosité de ses amis.

Mains dans les poches, la femme marche dignement lunette de soleil dans les yeux. Elle suit sa destinée. Les arbres font leurs commentaires à son passage. Ces réactions se produiront à chaque passant qui entreront dans la bulle de cet observateur silencieux.

Quelle vision ? je m’en doute avec ce montage .

il se tourne et voie en quadruple la femme au long manteau.

Dignement le statu quo figé sur les images donne des arbres se tordant dans le vent de l’imaginaire et chemise sous le bras elle pose, pour la photo. Je m’en sers, aujourd’hui le 18 mars 2020.

Une flèche passe devant l’objectif trop lent pour prendre clairement cette jeune fille vivant.

Je me demande ce qui va se passer avec la journée. L’école se trouve encore loin et il s’amuse encore dans la neige.

Pas bien presser . Allez on accélère avant que la cloche ne résonne.

Moi je me dépêche je n’aime pas être en retard.

La neige arrive quand c’est le temps et en plus personne ne peut l’empêcher de tomber. Je marche vers l’école en bas de la côte près du parc Lafontaine.

Les maisons retiennent leur élan. On les surchauffe par en dedans. La tôle des autos se teint au frette. Ils restent  figer sur leurs pneus noirs.

La monté du parc vers le métro nous montre l’hôpital Notre-Dame.

Pour ma part je me rappel que je me dirige vers le parc. Voici une autre belle couverture de quelques moments dans ce coin réservé à la nature et la méditation.

Vive la neige j’aime ça il fait pas si froid. Je ne pense pas que les fleurs vont s’épanouir dans cette saison.

Pas si vite lance Patricia. Je veux arriver la première en haut de la cote!

Tient un autre groupe les poursuit.

Entre les arbres sous la neige des enfants prennent le territoire pour s’adonner à des jeux d’enfants dans un espace bien naturel.

Allez la gang des rires, des cris retentis dans le silence du parc entourer du bruit de la ville qui semble calme.

La poubelle orne le silence près de l’arbre qui grandi encore il atteint un diamètre assez impressionnant.

Il y a de la vie avec les enfants qui marchent, courent à travers les arbres non loin de l’étendu d’eau mi-geler.



Je me dépêche je dois rattraper les autres. On se retrouve en haut de la colline. Je vous
attends en haut.

Les arbres font une couronne de protection pour ce petit étang que les enfants contournent pour se diriger vers la glissage

Vient m’aider maman je ne peux me relevé

Je suppose une maman observatrice de cette gang qui se faufile longeant la structure d’eau

Oui je vais essayer!

Le plus petit se demande comment je vais faire pour me rendre là. Les plus grands on déjà commencé l’ascension du monticule qui servira de glissade.   

L’espace devient immense dans une tête d’enfant.

Ce qui se passe je trouve ça impressionnant : Un troue dans la neige des arbres plantés dans le terrain. Les grands se préparent à glisser.

Durant cet apprentissage de ce bébé eux les grands traînent le traîneau en position prêt à descendre. Les arbres droits dans les air surveillent les enfants qui par leurs rires, les dérangent dans ce silence de leur vie d’arbres. Les maisons se cachent entre les branches. Eux aussi assistent au bonheur des gens se créant des jeux. Ils forment un écran autour de ce parc protégeant les rires, les cris, les bravos.

Le traîneau se sens tout heureux de pouvoir rendre ce jeu de la glissade plaisant à ces enfants. Leurs efforts reçoivent une appréciation d’avoir   pris le temps afin de se  rendre sur la cote du parc. Cette belle journée de neige rendit le jeu possible.

 Je prends le temps de profité  du calme de la mare silencieuse de l’hiver. Rien ne bouge sous la glace, rien ne saute des troues, c’est calme

C’est drôle de regarder comme ça le paysage plein de neige.

‘Lève toi tu peux prendre froid.’ ‘Ah non je suis bien comme ça’.

Encore dans l’espace de méditation Il semble sorti de l’étang.

Je délire de les voir avoir tellement de plaisir dans ce froid. Ils désirent montrer leur joie.

Attendez moi j’arrive

Regard comme je vais vite je me dirige vers toi mon ami.

Je vole presque comme un oiseau lance cette petite poupée apprenant à se débrouiller dans la neige au début de sa vie. On lui lance des bravos.

Les éclats de fun dégager par ces enfants prenant le parc pour leur piste de jeu me rendent fière de les voir se faire du plaisir et le transformer en grand fun. Ce mot raisonne encore plus plus plaisant.

Ah on ta bien eu tu sais bien que l’on va t’attendre. Tu fais parti de la gang.

Je suis prêt à descendre. Son chum le supplie de l’attendre. Il se dépêche depuis le bas de la cote pour arriver lui aussi au sommet.

Il y a place pour nous autres dans ta caméra? Bien certain et je clic sur les sujets.

Regardez comme elle est drôle ses bras comme un pingouin courant sur la banquise au milieu de fleuve st-Laurent.

Le parc semble attendant ses aventuriers de la neige en cette après midi. Le soleil haut dans le ciel permettra à d’autres de se joindre aux plaisirs de l’hiver dans ce magnifique parc Lafontaine.

 Je comprends rien à la vie mais le bonheur crie dans son sourire.

On a toujours du plaisir quand on s’amuse ensemble. Elle me fait rire avec ses dents à la merci de la carie.

Des ronds redonnent la vie à l’étang. On attend le saut d’une espèce de bête vivant dans cette eau. Va-t-elle resurgir à la surface ou garde t-elle le suspense.

La tranquillité de cet emplacement aménagé par l’homme pour son repos dans une ville sans repos fait se diriger des hommes et des femmes dans ce monastère à ciel ouvert. Des signes se dessinent sur la glace dans ce bassin incruster dans le décor comme piscine dans la cours derrière ce chez nous ou de chez une connaissance.

Des ronds dans l’eau de Françoise Hardy me rappel cette instant que je regarde. Les reflets dans ses cercles de cette eau gelés nous fait miroiter le ciel par petit morceau, des bouts de tronc d’arbres pas saignement.

Les ronds ovales, ceux de toutes inspirations restent malgré cette froidure  résistant à la surface gelée.

Ces formes représentent des tableaux uniques, précieux que tous ses amateurs de la nature dans le parc peuvent admirer lors de leur passage dans cet environnement.

Je me trouve très chanceux d’avoir remarquer ces images. Les savoir soigneusement gardés, dans ce germoir qu’est le temps, pour en apprécier la beauté aujourd’hui.

Le chat dans la mare

 Les maisons silencieuses admirent les arbres solides mis en terre par le temps il y a belle lurette.

Des horizons qui retracent cette instant de la présence des marcheurs dans ce parc Lafontaine me montre la limitation d’un caméra dans sa création de capter la vision du photographe.

L’agrandissement des marcheurs, grandeurs surréalistes, me permet de divulguer par cette manipulation la taille réelle des gens dans la vie. Nous sommes tout petit dans cette immensité. La nature vit, elle me  donne un vivant message.

Le chemin se trouve souvent silencieux. Plein de gens recherche le silence. Curieux la vie donne ces précieux moments sans rien demander en retour. Elle sais sentir le respire des gens qui y promènent leurs corps. Maman avec bébé se baladent

Les arbres chantent leur chanson soufflée par le vent. Les chants d’oiseaux se joignent à la chanson du temps berçant les baladeux dans leur présent .

Derrière l’arbre l’objectif à capté un autre compagnon du silence. Si je regarde bien ce compagnon devient compagne traînant sa maison.

L’espoir vit. Enfant, mère, femme seule cherchant un repos sans carrière juste pour vivre intensément la recherche intérieure. Cette recherche semble échec, pour nous, mais répond très bien à la démarche vers son bonheur.

La femme marche protégé par les arbres   Dans le coin du parc ce couple de jeune amoureux se tenant par la main pour exprimer leur tendresse.

Fruit de l’arbre en suspend.

                                                           entre deux

Redécouvrir cette journée passée à graver ces aventures du quotidien de ce monde de tous les jours dans ce quartier me donne un plaisir de vivre l’hiver avec joie.

L’écriture me donne des élans comme : (Dans ma tête j’avais le goût d’écrire cette description dans une envolée de lettre : C’est fait donc c’est de la réussit).

 me rappel celui qui rafraîchir mes mains qui se laissent aller sur le clavier de l’ordinateur

 Voir ces tableaux de la nature couronner de ses gens qui sont en action. Tous ces immobile qui forment les décors aux moments que le clic gel cette vie.

Cette enfant qui vit son premier temps de froid en compagnie de sa mère bien emmitouflée  respirant dans ce parc l’oxygène bienfaisant pour sa santé.

Ces autres qui près de l’étang rempli de troue d’eau qui à oublier de se faire glace. Leurs rire avec dents en moins qui nous dévoilent leur âge.  Ses jeunes qui sont enflammés par leur course, leurs glissades leurs chamailleries. Tout cela dans un noir et blanc pris dans cet hiver qui ne sera plus que souvenir.

Ces enfants se promenant les mains nues nous sourissent de leur beaux airs de joies comme on dit si bien d’un air d’enfant.

Ces ouvertures dans la glace nous donne l’espoir de voir resurgir on ne sais quoi du font de cette étang observé par tant de personnes dans cette ville qui fréquentent ce parc Lafontaine. Rire donne un souffle de gratitude. Donc je sourie et mon bonheur rayonne.

L’édifice du coin Berri et Sherbrooke derrière les rois du ciel les arbres.

Gnomes devant les montagnes de fer forgé figés

Tronc d’arbre devant clôture

hé monsieur le contact #5 c’est quoi?

Errol regarde négatif d'une photo

Errol Gagné Photographe

Ce blogue raconte les nombreuses histoire d’un homme qui a capté les évènements de la contre-culture québécoise tournant autour du Conventum, centre d’essaie multidisciplinaire mythique du 1237 Sanguinet à Montréal, entre les années 1972 et 1976. Découvrez les images exclusive jamais publiées de sa collection personnelle qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1972 et 1976. Une époque très peu documentée.