contact #5 – Chicoutimi

by Juin 21, 2021famille, Moment présent

deux femme discute vu de l'intérieur d'une voiture

Vous pouvez acheter les photos de ce blogue.

Découvrez les images exclusives jamais publiées de la collection personnelle d’Errol Gagné qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1970 et 1975. Une époque très peu documentée.

Je me dois de commencer mon récit par l’aveux que je suis un jeune homme dans ce temps là et rien ne me dirige vers ce qui se passe aujourd’hui en 2020. Comme écrire sur ce temps où mon insouciance me rend le vie plus facile.

Un nouveau jouet et plein de sujets pour exercer mon aventure. Ayant laisse le Cégep ou sur le point de le faire ma vie tourne vers la vente en détail de produit qui me permet de gagné plus que l’école (bourse).

Je revoie mes frères encore réunis près de mon quotidien. Je ne connais rien de la photo et mon but est de montré que j’ai une chose que pas grand monde possède. En plus elle est à mon frère Serge. Une caméra

Aujourd’hui je me trouve devant un contact qui ne possède rien de plus pour son emprunte que d’un contact de 36 photos. J’ai cherché les négatifs dans tout les Hilton de la terre , Farce, comme la chanson de Plamondon à popé dans ma tête cette phrase je l’ai écrite.  Je reviens. J’ai cherché les négatifs dans tout les boites de ses merveilleux dessins négatifs qui me reste de ce rêve ou de cette réalité?

J’aime m’égarer dans les mots qui veulent rendre positif mon récit. Comme cette planche numéro 5 où l’on peut voir cette journée grâce à la technique qui me permet de numériser chaque image.

Je dois inclure ma déception d’accepter que je ne trouve rien et en plus : Je constate que le papier ou j’ai imprimé les négatifs pour donner ce contact est un papier de grade copieuse avec  gros point donc ça me laisse  des photos à gros grain à utiliser.

Je peux dire que tous ce qui m’entoure est sujet à cliquer pour aider ma mémoire à se rappeler.

Je trouve intéressant tout ce que je vie.

L’histoire de ces photos à commencer le matin avec l’arrivé de mon frère Jean, de Ben. Assis sur la galerie les pieds pendant mais soutenu par le garde de la galerie je regard ce qui se passe et soudain ma position de relaxation inspire le clic.

Une auto se gare devant mon poste d’observation et deux photos se collent sur l’argentique.

Le temps passe et les gens aussi font de même et sans l’attendre un enfant faisant sa marche quotidienne fait réagir le preneur de photos en moi et la mise au point se fait juste au moment que sa curiosité lui donne le goût de se tourner devant la caméra et c’est fait je peux vous le montrer.

Le temps passe et les gens aussi font de même et sans l’attendre un enfant faisant sa marche quotidienne fait réagir le preneur de photos en moi et la mise au point se fait juste au moment que sa curiosité lui donne le goût de se tourner devant la caméra et c’est fait je peux vous le montrer.

 Maison de trois étages trône sur la rue Jacques Cartier majestueusement. Des passants passent la tête haute et d’autres curieux me lancent un sourire. r

La maison avec sa devanture de maison je jeu de monopoly.

Les gens qui vont a l’épicerie Pépin, ceux qui attendent leur retour.

Je me poste pas bien  loin d’appartement qui se situ au coin de Bégin et Jacques Cartier.

Je ne connais pas grand monde vu que je ne fréquente plus cette maison de la conaissnce. Je suis à la taverne  comme j’aime dire mon bureau de vente.

Le propriétaire me rappel que c’est son domaine et que je dois me loger dans un autre coin pour faire mes ventes.

La vu de ces jeunes plein d’espoir dans leur vie me donne de quoi de pensé et de rêver a ce qui peut m’arriver dans la vie.

Je me laisse couler dans le temps sans trop savoir ce que me réserve la vie.

Toi qui passe que va-t-il t’arrivé après le temps passer dans ce Cégep ? Vu que je ne me posais pas et plutôt plus ces interrogations. Bien oui je me rappel de toi Errol tu te trouvais dans ma classe en administration tu cherchais ta place et je ne t’imaginais pas un traîneur de rue.

Tout me passais par une oreille et sortais par l’autre. Je me trouvais bien dans mon choix de vivre tout simplement.

Salut toi tu arrives d’où comme ça? Tu es contre courant la belle? Je suis passé faire une commande pour mes repas. Je vais au Cégep et je demeure en appartement pas bien loi..

Je me trouvais dans un environnement où plusieurs jeunes créaient de la musique et des images qui ressemblaient à des

dessins animés.

Contact 398 pratique au conventum020

J’ai rencontré Jean-Pierre Tremblay qui venait de mettre une de ses jeune photos de jeunesse sur le net et je lui rappelais que je numérisais au même moment quelques unes des ses photos prises au court des années 1975. Je me souviens que je pleurais ne pouvant exprimer ma chanson.

Devant le regard des gens de sur la galerie le solitaire près du bâtiment se pose la question lequel des escaliers

Un son raisonne de la gang qui l’observe : viens nous voir. Une réponse se fait entendre; savez-vous ou reste Mr..

Il vient de partir.

Merci

Je me retrouvais comme ce personnage tout seul dans la rue en se demandant que se passe t-il. Où suis-je coincé dans un impasse : Tous les idées dans ma tête font un tour et je me crie !

Je reviens à l’écriture.

Steve qui est avec moi depuis notre départ de chez notre mère Maman Germaine. Sur cette photo je ne le sens probablement pas à sa place. Il avait la facilité de s’évader dans ses pensées. Oui dans la fabrication de dessins de plan du château dont lui seul avait le nom.

Jean qui explique à Ben Fortin je ne sais quoi. Steve de son coté observe je ne sais quoi, Je me donne une réponse. L’imagination de chacun peut inventer son histoire comme je fais.

La caméra croc le moment qui arrive je le voie et je peu et doit raconter sur papier où électroniquement un chapitre de ce grand livre la vie humaine.

J’aime le cinéma je suis sur un autre projet mon premier film Saison cinquième ma propulsé dans cette passion.

Je vais encore plus loin je déménage à Montréal pour le cinéma.

Je te reconnais bien mon Johnny  la passion c’est toi. TE rappel tu au Cellier la boite à chanson dont tu était le concepteur et le directeur. Quelle belle expérience que tu nous as-tu faire vivre avec tes invités. Les salles toujours pleines des beaux succès.

Je pense que tu vas être à la bonne place pour te faire un chemin dans ce milieu là. Ton talent je le voie se développer de plus en plus. Ta ténacité, ta passion et ton sens innovateur et fonceur en plus. Une bonne affaire pour toi Jean.

Je déclare succès assurer

Comme par magie un cliché d’une personne entrant dans un auto, en face de mon poste, pour le voyage. Bien c’est pas Jean mais un habitant du coin qui se dépêche à sortir de l’auto pour a pas bloquer le trafique car la lumière vient de changer de couleur.

Le coin est très achalandé en ce matin. La chaleur a déjà pris sa place dans la journée. La galerie se trouve toujours mon observatoire. Le gros char passant avec son conducteur la vitre baisser. Il semble tendre l’oreille aux bruits.

Le camion vient de franchir le coin sur une lumière jaune foncé.

Il y a la WVW stationné en face de chez Pépin sur la rue Bégin les portes ouvertes.

Les fruits et légumes ornent le mur du magasin sous un auvent. L’enseigne bien en vu sur la devanture de la bâtisse.

Cette période était l’abondance dans mon domaine de la vente au détail.

Ma paie redonnait confiance en la vie. Je peux me dévoiler en disant que le contact avec les gens m’était rendu facile car mon nouveau défi se trouvait être accessible régulièrement aux gens ayant besoin de s’évader tout en restant tranquille sur une chaise.

Mes études ne pouvaient pas me rapporter autant. Je me trouvais prospère et protégé de pouvoir là pour aider les amis et les connaissances.

Je me prélasse sur la galerie et plein d’objets attirent mon attention.

Les pieds non pendant au bout du quai mais sur le garde de la galerie je fouine avec mon troisième œil la vie qui m’entoure.

Cette journée à pu enregistrer un bon nombre de moments quotidien disparus dans le temps.

Chaque moment se vie et on l’oubli sans difficulté car plein d’autres sautent sur le vide pour le remplir.

Une histoire ce sont ces moments que le temps à bien voulu laisser à  la mémoire.

Ces deux moments gravés au coin de la rue me rappel que après le calme arri8ve l’abondance d’activité autour de ce magasin. Les livreurs de liqueurs les clients, le propriétaire qui observe le déroulement de ce qui se produit dans et près de son magasin.

Les convertibles existent encore et parade sur les rues de mon pays.

Les gens stationnaient pour aller à l’épicerie de Mr Pépin.

Je dois me lasser des gens car je me permet quelques paysages, Ces deux là font l’ornement, de cette partie, de ce saignement de la journée à dessiner avec la lentille ces moments a qui je redonne vie.

La côte se descend pas à pas…

Dans cet appartement depuis que Serge y demeure de nouveaux amis viennent sur la galerie.

Des journées le petit d’espace se gonfle comme une balloun soufflé pour son envole.

Cette maison à disparue du décor de ce coin de Chicoutimi

Ces souvenirs se racontent grâce à ces photos.

Plein de mots se glissent dans ce texte. Chaque explication est le fruit de mon imagination. Il veut dire et souvent tout se mêle.

Une chose est certaine pour moi en ce moment le temps arrange les aventures de ce texte

Je me dirige vers une autre partie de l’histoire presque inachevable. 

Allons de l’avant dans un nouveau tournant de la vie  avec le contact 6

Errol regarde négatif d'une photo

Errol Gagné Photographe

Ce blogue raconte les nombreuses histoire d’un homme qui a capté les évènements de la contre-culture québécoise tournant autour du Conventum, centre d’essaie multidisciplinaire mythique du 1237 Sanguinet à Montréal, entre les années 1972 et 1976. Découvrez les images exclusive jamais publiées de sa collection personnelle qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1972 et 1976. Une époque très peu documentée.