contact # 7- Nu artistique

by Juil 5, 2021Nu artistique

deux femme discute vu de l'intérieur d'une voiture

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Découvrez les images exclusives jamais publiées de la collection personnelle d’Errol Gagné qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1970 et 1975. Une époque très peu documentée.

Quelle gracieuse découverte que ce corps inconnu dissimule.

Une  autre aventure du jeune photographe dans son expérience sur la photo de nu dans son studio improvisé. J’ai travaillé comme je pouvais avec mon expérience.

Un moment de calme une question se pose? L’ombre sort du noir sous la lumière.

    Faire face au regard de l’inconnu avec son désir de bien montrer la surprise des détails.

Un souvenir reprend vie dans un moment de recherche. J’ai trouvé. Je veux parler de la réponse mais les mots ont encore disparu. où? Les réponses vagues font pareilles.  Elles poussent sans arrêt à des solutions inattendues.

  Une petite poussée vers le bonheur aide la vie celle-ci grandit. Je retiens mon soupir je suis plongé  dans l’espoir de la bonne photo. Chaque clic me  redonne le sourire de réussir. La séance va bon train.

Un sourire de Suzanne me redouble de précision pour aller chercher les formes que je cadre. Entre les cuisses le sexe féminin se dessine. La jambe poilue caresse le ventre, la lumière sur le genou signe l’éclairage.

La communication avec les sujets se trouvant dans toute leur nudité m’envoie dans le désir. Sexualité reste un tabou malgré toutes les libérations. Je me pose des énormes questions? Tu m’aimes tu? Où bien j’ai le goût de partager de la douceur. Le sexe féminin fait rêver l’homme que je suis.

Les seins, une partie du corps tant observée par les (hommes) car cette partie de l’anatomie féminine brille par son absence chez nous l’homme. Je n’engage aucunement la gente masculine je dois spécifier pour moi le mâle qui découvre, par ce modèle, sa forme moulée par des vêtements en toute occasion dans la vie de tous les jours.

Ce contact fut pour moi un dépassement de l’homme et une entrée dans l’art avec mes connaissances et mes moyens de faire un œuvre artistique de cette séance dans l’atelier improvisé sur la rue Henri Julien en 1972 à Montréal. Ces deux personnes prêtes à jouer les grands modèles venaient  de mon pays la région du Saguenay.

Je dois réaliser qu’on ne s’improvise pas comme photographe qui veut. Cette réalité vaut pour toutes autres arts. Je peux dire et affirmer que je l’ai fait cet exercice qui m’a rapporté cette quantité de prises de vues uniques même historique car ces aventures ne sont qu’images preuves qu’elles se sont bien passées dans la vie. Je le fais comme écrivain en ce moment ou plutôt 🙁 diseur, raconteur, historien d’un épisode de ma vie, la mienne, tout ça par écrit. Cette histoire est celle de ceux jouant les personnages en  passant simplement dans mon présent. Ma caméra leur donne la chance de vivre dans cette histoire maintenant.)

Quoi dire sur cette image? Je suis à la recherche de la pose qui dit tout sans les mots ni la parole elle parle des reflets de la lumière sur son corps sur ce plancher de bois franc de cette appartement qui se prête à notre jeu pour la réalisation de notre projet d’œuvre d’art avec corps nus

  La lumière tombe sur ce que je dois montrer.

  En regardant cette prise je remarque une vie intense dans la lumière.

Même les fesses dégagent une rondeur cachée par les vêtements qui nous enveloppent

Une tache blanche sur ton de gris et noir de l’absence de couleur.

Je suis observateur je dois réagir en cliquant aux poses du modèle

Je regarde, clic, sortir le meilleur de la vie du  quotidien

Un bon moment de repos et un sourire qui donne confiance.

Je m’exerce à la souplesse, merci de m’aider mon ami Steve, lance Suzanne dans cet exercice. On peut s’imaginer, que même modèle c’est facile,  qui veux peut. Il faut de la ténacité. J’ai fait beaucoup de prise du quotidien dans les années 1972 à 1976 dans un environnement bien spécial une création collective autour de la vie par moi et ceux qui vivaient le même rêve.

 Pause

repause

Dans cette aventure un souvenir visionnable existe pour les clichés visibles. C’est là que l’expérience entre petit peu par petit peu.

Dans mon fort intérieur de belles photos claires et tout ceux que l’on peut voir des autres sont visibles dans leurs rétrospectives.

Dans mes archives plein de nus  faits avec ma conjointe F.D. sont clairs, très bien réussis mais avec Suzanne et Steve très peu ont vu le jour le contact 7 est le succès atteint.

Un regard franc dans les yeux la poitrine bien là pour la vie.

Dois-je me déclarer comme un super photographe après peu de cliché. Je me suis surpassé. Rien n’est sorti comme je voilais mais je suis fier de mon expérience. Pas de lumière. Bravo pour mes modèles. Ils furent créateurs.

Je dois refaire du travail de nettoyage et du recadrage sur le négatif.

J’ai eu la chance de faire des prises photographiques comme ça, bravo, ils sont faits.

Cette expérience a nécessité une grosse soirée pour trois personnes.

Comme je vous l’écris les efforts de ce travail montrent une surprise qui se constate. Il faut que je précise il y a d’autres clichés de cette séance de nu qui vont suivre. Je vous reviens plus tard.

Une de ses brises a paru dans un article de Patrick Straram dans Hobo –Québec revue alternative dirigée par Claude Robitaille

Le jour de gloire est

Arrivé avec le début d’une nouvelle journée qui nous et me réserve plein de vie. Je me prépare a la correction du contact #8 bonne lecture.

Errol regarde négatif d'une photo

Errol Gagné Photographe

Ce blogue raconte les nombreuses histoire d’un homme qui a capté les évènements de la contre-culture québécoise tournant autour du Conventum, centre d’essaie multidisciplinaire mythique du 1237 Sanguinet à Montréal, entre les années 1972 et 1976. Découvrez les images exclusive jamais publiées de sa collection personnelle qui compte plus de 30 000 photos prisent entre 1972 et 1976. Une époque très peu documentée.