Je surveille la maison depuis qu’Errol ma pris en photo. Si je me rappelle bien cette maison se trouve autour du Carré ST Louis. Tu peux remarquer que les marches où je suis sont comme neuves même si la maison a accumulé la pousssière du temps.
Me promenant sur la rue; avenue, des Pins où en Montréalais, Pines Avenue comme on la nomme en Anglais à Montréal. Voici un beau bâtiment presque situé sur St Denis. Un manège militaire en face une station d’essence Esso. L’autre jour une personne qui me parlait m’a rappelé qu’elle avait été laveur d’auto dans cette station pendant cinq années. En quel année je ne suis pas tellement curieux pour ces détails. Mais je peux te dire que je suis en 2020 en ce moment racontant cette anecdote.
Les autos roulent pas mal dans ces années-là aussi. L’homme se délivre du cheval à foin et adopte les chevaux moteurs.
Quel joie la lumière sur le passé.
On aperçoit les canons décoratifs sa luminosité fait voir un angle inconnu le jour.
Planté sur le coin de la rue le vroum et vroum m’étourdit. Je vois trouble. Une bonne nuit de repos youpi.
Le jour laisse la place à toutes les choses à voir frette comme c’est.
Dans le parc au centre du Carré un monument trône comme les arbres autour de lui.
une clôture encercle le bloc. Nous les gens décidons de mettre des barrières pour délimiter nos créations.
Autour les maisons en silence se rappelle de ce temps d’il n’y a pas si longtemps.
Un souffrant crée un souffrant dans le ciment.
Le chat noir dans l’abat jour dur à voir ce coquin mais en regardant on aperçoit la lumière derrière les oreilles de la tête du chaton enfermé dans le cercle.
chat travaersé par la lumière
La lampe réveil le goût de boire une gorgée de ce qui est dans la cruche. Histoire d’une histoire rien de vrai.
Rose de métal soudé dans une bouteille de vitre à cierge dont la cire est partie en fumée.
Des amis félins en captivité pour le bonheur de nous autres.
Sur leurs pattes ils se préparent au spectacle.
Chat couché sur et sous le chat
Brumeux mais toujours concret le quartier existe. Les poteaux déguisent les trottoirs en jardin de poteaux. Les briques de édifices s’empilent l’un sur l’autre et l’autre contre l’une. Tout cela forme une partie de la ville.
La rue s’enivre de l’exasse des voitures. Les lampadaires se ferment pour la journée.
Le clocher de l’église trône sur l’architecture de son toit cuivré par les couvreurs. Les paratonnerres dessinés comme des porteurs d’hostie remplissent un rôle d’annonceur de la bonne nouvelle le jour de gloire se pointe à l’horizon.
Les sculptures des parcs sont encore présentes pour marquer l’histoire. Les Jaguar se stationnent encore sur la rue Carré St-Louis
Devant le passé se dresse les briques du futur pour combien de temps?
De profil avec les édifices qui remplacent les simples maisons abritant quelques personnes versus les nouveaux monstres du modernismes.
J’aime ce temps passé.
Dans ce trajet de la découverte se trace d’autres prises de moments dont le 11 à venir