contact #13 – Activités de découvertes et séance de nu

contact #13 – Activités de découvertes et séance de nu

Un image parlant des habitations entre les arbres et le ciel.

Branche branchée dans le temps grâce à l’observation du clic heure.

Des formes lumineuses sous le lampe de la rue

 Le reflet dans la vitre

Des horizons meilleurs se présentent dans la vie de chaque être. Je fais parti de ce genre. Humain en venant me faire une place dans ce pays du nord. La chaleur s’incarne près d’un bon feu.

Tu parais pas mal bien sous les projecteurs. Toi aussi dans l’ombre de la lumière

Ça tourne dans le champs de vues. Quel cinéaste se recherche au point de refaire la même vue une autre fois.


l’ombre de la lumière

Je pose pour la photo. Que va tu faire avec? Elle sera dans mes mémoires comme étant une personne qui est passée dans le même présent qu’en ce moment.

la rue la nuit sur Ste-Catherine

un moment de délice un corps à corps …

Corps délicat, tendresse, sans limite ils vivent. Un,une partenaire sensible à la douceur des caresses.

Main douce peau merveilleuse amie de tendresse

Comment faire ressortir cette union devant mon œil scrutant les clics avenir pour saisir ce qu’il faut.

Regarde je touche ton corps du bout de mon mamelon mon beau Steve merci de cette grande douceur.

 Les mains fouilleuses atteignent la sensibilité par le touché

  Enlacer pour vivre

Je sens ton sein entrer dans mon corps. Quel douceur ce contact qui me fait vibrer dans tous mes nouvelles découvertes de chaque instant .J’immortalise ce délicieux moment et cette grandiose action d’un corps autre que le mien.

La vie de garage la nuit éclate dans le noir sous les projecteurs alimentés par notre compagnie l’Hydro Québec de consonances US. Même les autos du Japon y sont mis dans   

Les cheminées fument sous la lumière de la nuit

Les chars camouflés se dissimulent

Les pétrolières se dissimulent au coin d’une rue à l’ombre de la lumière des vitrines illuminées. Le noir ressort les détails que la lumière atteints.

Des lunes orne la noirceur quand le soleil s’est sauvé sous d’autres cieux

Essayer de voir les gens qui s’affairent à vivre dans ce coin de la ville sous la surveillance des lunes d’artifices. Ça devient un jeu que je peux laisser pour d’autres

L’attraction de la nouveauté fait son chemin. Les autos les camions dans les coin noir regarden les tous jeunes brillant dans les vitrines du marchand.

le pont

Une nouveauté ce genre de pensée arrive du Japon pour prendre leur place dans la vie nord Américaine. Après un recul ils ont performé très fort et réussi.

L’asiatique du forum de la vente performe avec ses machines nouvelles vagues

Sourire égale performance. Utiliser cette technologie donne des réussites.

Vivre cette vision me donne ce sourire. Vivre aisément l’accès à l’aisance. Être décontracté

La station service lui et l’auto se montrent.

le hasard
combien

Conte de sous je ne sais pas quand je vais partir

Yvan de Pelteau toujours plein de joie a fait sa marque dans mes contacts

 J’ai dû prendre le temps de voir et c’est venu claire.

Le contact 14 bien oui je vais le regarder! C’est sérieux cette photo je me glisse entre les gens du moment.

Le rire de Ben porte au plaisir.

Contact #12 – Chicoutimi: Errol en visite

Contact #12 – Chicoutimi: Errol en visite

Elle est heureuse et entre dans mon jeu de photographe et se prête joliment à la séance de poses. Elle a de la classe et j’aime cette énergie. Encore aujourd’hui après tant de temps je me rappelle ces précieux moments de ma carrière débutante.

Oui tu continues à me prendre en photo ? Oui  tu te trouves être une des premières dans mon plateau d’images.

Elle passait devant moi sur la rue Jacques Cartier en revenant du Cégep. Le moment que j’écris ces mots je pense que j’ai fréquenté cette établissement l’année où j’ai quitté la maison familiale.

Cette fille a bien participé à la prise de cet événement. Cette fille je ne l’ai plus jamais revu. La vie me l’avait placé pour l’histoire.

Je pensais devenir un comptable. Je me sentais très bien avec les étudiants en beaux arts.

Une plaque d’eau pour ne pas prendre le mot flaque.

Ce petit chien pose comme un pro.   

Entre deux escaliers qui conduisent dans la rue voisine.

  Une demi photo de l’ami près de la librairie. Un annonce du livre d’Astérix qui vient de sortir . Un image dans la vitrine de la tabagie 500.

La voie ferrée

la gare s’installe lentement.

La gare et son environnement

La chaîne des agriculteurs une force incontournable. 

Des bâtiments pour entrepôt délaissés par la vie

Le jeu continu dans un autre élément le sourire de la fraîcheur l’eau près du Saguenay

 Le fer qui roule sur la voie ferrée se trouve du solide

Le transport de bois se prépare pour l’étranger.

Beaucoup de consommation dans le monde de notre bois d’œuvre.

   Je  vais reculer les bip bip ne sont pas encore installer sur le recul des machineries. 

J’attends le signal

 Il faut doubler de prudence pour éviter les accidents.

Le chemin de fer appartient au Canadien National sur notre territoire.

Pousse plus mon ami cria le débardeur du port du chemin de fer.

 Toi le jeune reste pas trop près du train un accident peut arriver.

     Le calme presque plat dans la gare maintenant. Aujourd’hui en 2020 elle n’existe plus.

S’est Pierre et Claude arrivant du Cégep retournant chez eux à Chicoutimi nord

Passer une belle journée les amis.

  Certainement Errol et toi?

La prise de moments que je trouvais intéressant se cachent maintenant sur mon négatif oùvos images se trouvent.

le retour

Les travailleurs de la ville devant la cathédrale rue Bégin.

au pic et à pelle

Par où je vais passer pour me rendre à la taverne Saguenay. Ces travailleurs défont mon trottoir sur lequel je passe tous les jour. Pourquoi il décide cela ce matin?

  Je devrai passer de l’autre côté de la rue Bégin il semble que rien indispose les marcheurs. Ce décor du coin me disait la marche se termine ici. La rue Racine se trouve parallèle. Les marchands s’exposent sur cette rue. Restaurant Gagnon Frère la Calèche  le barbier où notre père nous y emmenait, deux banque, une Librairie, un garage où j’attendais l’autobus où bien des amis et où la police nous disait de circuler.  

Je pense que tu nous fuis, trop de bruit. Le travailleur vient d’arrêter sa machine son marteau piqueur. Un large sourire s’inscrit sur son visage.

La machine silencieuse je peux écouter.

Des amis me crient de l’autre bord de la rue.

Je regarde les auto une Renault attire mon attention. Durant cette observation je remarque un grand nombre de parcomètres.

Salut comment tu vas ce matin ? Très bien beaucoup de construction. Tu sais il faut gagner sa vie. Moi je fais manger six enfants et leur mère. Je peux bien vouloir faire mon fin comme toi avec ton arsenal de jeune homme en vacances. Imagine mes enfants rien à manger parce que je décide de faire ma vie.

 Je revois les paysages avec les sujets je les décomposent afin de faire voir la beauté d’une photo et l’étendu de ses précisions. Un sujet semble la mire et un détail en devient une photo en elle-même. Le plan général s’estompe pour redéfinir le cadrage. Et le vague devient le visé.

    En face de la Cathédrale la rue de la Côte qui monte vers la rue Jacques Cartier me montre tout ces détails grâce à ces clichés pris en 1972 avant mon déménagement vers Montréal.

La maison cachée par les arbres se trouve ressortie par la blancheur de ses rampes d’escalier.

Un peu défraîchi ce char de la rue tranquille de Chicoutimi près du Cégep.

Au loin l’édifice du savoir vient de changer de vocation de Séminaire il devient un lieu de savoir pour adolescents frais sortie du secondaire. Un Cégep !

On sent déjà le jaune des arbres plus l’observation se réalise.

Quelle splendeur des milliers de feuilles sont prêtes à leur envol. La nudité des arbres donnera au paysage, comme, des coup de crayon sur le décor quelle protège 

En face se trouve le docteur des animaux Mr Antonio Fraser

Belle résidence de la rue qui dans son calme et sa discrétion reçoit de nombreux animaux de compagnie

Paysage de rue d’automne demeurant en face d’une autre classe.

Une auto marque Falcon stationnée de la manière classique du bon côté

La rue calme presque en tout temps permet de profiter de la paix entre deux axes routier achalandés. L’automne  semble la saison de la prise de vues. Des feuilles mortes jonchent la rue et le trottoir. Cet arbre devant la maison fait ressortir les blancs pétants des boiseries des gardes et de l’escalier de la partie de cette rue.

Soudain par un œil de chercheur du regard clic j’observe une vie qui main dans la poche gravit la côte. La joie semble au rendez-vous  

Les pas s’étirent pour accélérer.

Enfin le sommet arrive et j’entends ‘pas trop tôt’ la disparition de l’acteur se trouve imminente dans les secondes ses pas se dirigent vers …

 Un gros véhicule devant un tas de cochonneries de je ne sais quoi. Un chien semble avoir une autre direction l’arbre?

Un peu penché la soirée à dû être dur. Bien non Errol c’est une auto le temps à fait on œuvre. Bien non y doit être stationné dans un trou de puisard de rue.

Je m’exclame devant cette blancheur de la rampe d’escalier.

La côte s’orne de maisons d’arbres d’autos et de chien croqué par le hasard de la vie qui a permis que je passe par là.

Une observation bizarre se produit en ce moment. Cette maison qui se dessine comme une belle demeure et luxueuse galerie et escalier  solide ancrée dans un bel environnement  nous montre un tas de déchets de maison jeté à la rue par la réalité d’une démolition. Encore plus drôle pas d’autres pièces sur cette accumulation de ces déchets dans une rue quelconque de ma ville Chicoutimi. Un ouragan ?

Tout se passe quand on se promène avec une caméra. Les instants arrêtés sur la pellicule deviennent vivants quand on les regardent  même après longtemps tenus en silence dans le fond d’une boite dans les profondeurs de la cave.

La rue en face de la cathédrale rue à côté de chez mon ami Rodo André Fradette. Une belle rue tranquille. Un chien va apparaître le voici :  Bien oui je l’ai déjà fait entré dans la première page. Voici la suite    

Une arrivée dans ma vie de croqueur d’images et cette journée de découvertes.

                                                    Comme tout jeune chien de rue il s’est approché de moi avec sa curiosité de chiot. Je l’attendais et clic à mes pieds. En suite comme apprivoisé il me regarde avec ses grands yeux.

Puis son départ se fait simplement il marche lentement à la poursuite de son chemin.

    Et le trou dans la rue l’a comme avalé.

la feuille et le chien

Puis son départ se fait simplement il marche lentement à la poursuite de son chemin.

seul vers son bonheur

 La scène finie un autre voyage se mixe par le son que la vie me chuchote aux oreilles. Des enfants dans un terrain vague se moquent de la désolation d’un solage d’ancienne maison qui ne se trouvait probablement pas là à leur naissance.  L’escalier de la fondation pousse à aller voir ce qui se passe plus haut

Un regard sur la photo me ramène dans un temps où la religion avait pouvoir sur tout. La naissance afin de peupler le pays. Entrer dans cette conversation me dérange énormément car mes idées sont mes idées et j’y tiens. Alors je clos.

L’imagination d’enfants déborde le présent. Ils se garochent dans un temps infranchissable, le passé, qui ne peut changer. Je peux voir cette énergie en m’ouvrant l’âme à recevoir plutôt qu’à montrer mon savoir.

 L’émerveillement d’être voilà leur existence à ces enfants venus ici sur la terre pour vivre et concrétiser l’incritiquable, la vie.

La maison pas finie, une tache sur le solage, l’enfant rit de joie d’être sur la terre pour une nouvelle mission.

  Je cours tu me rattrapes non je passe la tondeuse.

Par ici non par là . La tête me tourne .

Quel bel escalier on se croirait dans un château

Une grosse maison à multiples logements. Mon enfance sur la rue St Germain à Jonquière refait surface. La maison de mon grand père Boulet qu’il a construite et qui abrita ma famille jusqu’à notre déménagement à Chicoutimi.

Un vestige de l’abandon dans une ville.

Comme je le disais les jeux d’enfants se pratiquent où vivent ces créatures du Bon Dieu.   

Quel bel effet celui de l’étirement. Sa dimension remplie la présence de l’objet. Quel désign quel fenestration

La vie dans cette rue où plein de monde laisse jouer les enfants dans la cour

Des murs de pierres ornent la devanture de la maison c’est artistique.

Un petite Pinto une compact qui a essayé de faire son chemin

Les mêmes enfants dans une vision différente.

La promenade donne lieu aux découvertes multiples. Un retour vers la maison après des achats à l’épicerie du coin de la rue Bégin et Jacques Cartier.

Rien à l’horizon je peux passer. Un autre édifice à logement de classe différente. Dans cette ville  Chicoutimi se trouve plein de différences de classe. C’est une ville comme les villes.

 Les arbres poussent. Les feuilles se préparent pour leur voyage : parterre. Un beau coin de vie ce quartier me montre le paysage.

Dans la réalité se trouve souvent de jolis dessins trouvés dans las rues. L’enfant se dirige vers…

Une roche roulée dans la rue par le temps attire le curieux qui se promène par là. Elle ressemble à un œuf.

Je l’aime et je la mets dans ma collection.

Comme le disait un ami l’observation redonne la beauté au petite chose de la nature

Moi je grandis dans un milieu qui me permet de dire j’ai une collection de roches de rue.

Oui j’ai entendu dire que les images du photographes continuaient avec son 13ième contact de surprises

Contact #11- Séance de pose Suzanne et Steve nu-e et voyage dans l’est de Montréal

Contact #11- Séance de pose Suzanne et Steve nu-e et voyage dans l’est de Montréal

Suzanne dans un chalet avec nous moi et Hervé et sa jumelle Louise Durant.

J’ai revu Suzanne durant un atelier sur la naissance pour notre Fils Loupin en 1985 dans les Canton de l’est. Elle était une infirmière elle assistait sa sœur et son beau frère les formateurs pour une naissance toute naturelle. .Je ne me souviens pas de son nom mais de sa présence après presque trente années sans l’avoir vue. Une bonne amie de mon ami Moustafa.

Femme et chatte chantent leur couplet devant ma présence.

Le ronron des seins et du chaton donne le sens au visuel

Le pigment de l’agrandissement donne l’effet de l’observation de la poitrine de cette femme.

Quel beau toutou le nez bien sortant, les yeux maquillés les cheveux dans la face  Le chaton regarde ce spectacle comme ça avec curiosité.

La chatte d’Espagne attend le buffet.

petit sein ronron la tête entre les bras.

Que de douceur dans la chaleur du poil

Femme et chat

Aujourd’hui le 11 février 2020 quelques années déjà de passer. Je vais parler de mon début de journée. Très tôt je sors dehors un froid d’hiver doux m’attends sans bruit dans une brume à couper au couteau.

Une autre vision, un mur décoré de flèches que reçoivent les corps de mes sujets.

La chevelure inonde le corps de la femme.

Un murmure dans le dos réveille le sens du touché le corps s’étire.

Éclair dans un coin de mur

Réveil de la sensualité devant des corps se touchant.

Je pense au président des États-unis. Je constate un milliardaire c’est Ok pour ses idées. En 2020

La demande du changement arrive quand on doit le faire. Ce matin j’entre dans mes réalités. J’écris.

Les images vont jouer du recuit mais le lecteur, vous entre autre, devez voir la nouvelle vision du quotidien que la vie me demande d’exprimer.

J’apprends à me lever très tôt. Mon réveil se forme depuis près de cinquante jours à faire autre chose que de dormir. Je me permets de fabriquer pour mon bien être personnel des moments de silence en réveil , des affirmations positives, des visualisations que je ne comprends pas encore comment y arriver même si je sais comment le faire . Mes résistances terriblement marquées me propulsent que des moments de noir constant. Je continue.

Le temps passe vite déjà presque vingt minutes de passé.

L’écriture vient me redonner un contexte plus tangible. Encre bleu sur papier blanc ligné bleu avec marge soulignée rouge. Un autre bon moment de passer. Une belle lecture d’une vingtaine de minutes s’envole comme une flèche tirée de la tablette de Guillaume Tell. Le point centre de la cible stabilise le projectile.

Une cloche intérieure me prépare au dernier plaisir de ce début de journée. Une course dans mon quartier tranquille à cette heure du matin.

Je me prépare par me mettre des vêtements chauds et confortables et je me glisse doucement par la nouvelle porte bleu acier de la maison.

Comme pour ma passion de la photo je dévore la froidure qui entre dans mes poumons que ça me fait du bien. Mes yeux scrutent le décor comme ce matin le 11 février une brume couvre l’atmosphère.

Doucement je me dirige vers la rue en marchant dans le corridor de neige et rendu dans la rue; c’est parti.

 Je me souviens de mes premiers départ la distance s’est mis à se rallonger au jour le jour.

La douceur de mes pieds sur la neige pressée par le passage de la charrue ou des autos devenait ma piste d’hébertiste. 

Très doucement mes pieds se soulevaient du sol et me dirigeaient dans une confiance me caressant de gratitudes d’être rendu là parce qu’un livre me rappelle : Ose, tu ne perds rien de le faire.

 L’écrivain me rappelle que des idées profondément enfouies dans mon caractère vont venir me donner des informations; que ce que je fais ne donnera rien.

Je me souviens de ces phrases quand le désir de revenir dans mes vieux schèmes de pensée se pointe. L’importance de continuer me crie les mots du livre. Je ralentis et je repars en douceur. J’oublie mes craintes. Je m’aperçois que mes exercices se terminent en douceur.

Quel calme mon ami j’aime ça te connaître.

Je vais continuer par le réveil que cela me donne. Je revoie les livres qui me disent fait ceci, fait cela je deviens mélanger par des actions pas prêt à faire car je ne me retrouve pas dans cette évolution. Il me manque des informations. Je me base sur ma façon de comprendre les choses.

J’aime bien aller vite et comme une poule sans tête je me précipite dans toutes les directions sans me soucier si c’est bien la bonne.

Le temps à passer et l’évolution me montre plein de discernements nécessaires afin de réaliser une action.

Rien ne se fait tout seul. J’ai dû passer par cet apprentissage qui semble banal pour certain, alors que pour d’autres cela  leur semble naturel. Moi, « je« , la magie j’y crois. La vie m’a fait descendre sur la terre.

Un murmure dans le dos réveille le sens du toucher et le corps s’étire.

Tu me fais sourire avec ton objectif à clic. Tu as raison. La vie me donne à voir les gens dans leur originalité. Mon clic leur donne afin la chance de vivre la destinée qui leur revient par l’immortalité de chaque cliché d’eux.

Toi Suzanne ton charme je le grave sur mes images. Elles vont me servir dans pas mal de lunes. Elles vont me permettre de parler plutôt d’écrire ces inventions des mots qui se bousculent afin de raconter le pourquoi nous avons fait cette séance de photos.

 Je te souris car tu as le sourire en pensant au chemin parcouru. Toi ton chemin t’a emmenée où ?

Je te regarde, je m’inspire du charisme de tes vingt ans afin de dire aux gens je possède la vie.

 Chaque matin je me mets belle et j’affronte la vie. Je remplie mon âme d’AMOUR.

Enlacée pour la douceur et le contact avec mon ami Steve. Il me fait me sentir belle et bonne.

Ces corps dévoilent la vie pour la vie.

Encore de belles histoires qu’un photographe peut dire dans des mots à travers ces images de sa vie. Souvent cette réalité se répète par d’autres gens.

J’écris pour me dire puis laisser ma trace dans cet univers immense puis semblant changeant mais d’une stabilité super réaliste.



Ami de la photo de passage dans ma transformation en cliqueur de présent. Dans un chalet dans l’est de Montréal avec les sœurs Durant et moi voilant voir la vie.
la vie change

Une vision de la propreté au moment de notre visite dans se chalet.

Il fait froid ce matin dans le chalet. Une bonne tasse de café et une bonne cigarette réchauffent.

Je me demande ce que le temps apporte dans la vie de tous les jours. Moustafa depuis longtemps fait un autre voyage. Pour ma part l’arrêt de fumer des cigarettes et autres produits dérangeant me ramena dans la présent. Je me disais ben GELER ce qui me rendait fier de cela.

Une foi gelée, pour être, il faut la dégeler. Je me pose la question comment je vais là en ce moment? Je me réponds très bien. Je désire prendre de plus en plus conscience de la vie.

Une grosse rouleuse se consommant entre deux doigts de…

Enlacer par le charme de la nudité je vous remercie les amis.    

Le temps fait des ravages sur le matériel. Bravo au temps de ce travail sur moi afin que je numérise mon matériel qui me permet d’écrire cette histoire du quotidien d’hier et d’aujourd’hui

 Le corps se trouve l’enveloppe du « MOI«  merci à toi Suzanne …

Que se passe t-il en ce moment on passe au 12ième contact bravo le chemin va bon train

Contact #10 – La découverte de monuments historiques

Contact #10 – La découverte de monuments historiques

Une maison veille sur le temps

 Je surveille la maison depuis qu’Errol ma pris en photo. Si je me rappelle bien cette maison se trouve autour du Carré ST Louis.  Tu peux remarquer que les marches où je suis sont comme neuves même si la maison a accumulé la pousssière du temps.

Me promenant sur la rue; avenue, des Pins où en Montréalais, Pines Avenue comme on la nomme en Anglais à Montréal. Voici un beau bâtiment presque situé sur St Denis. Un manège militaire en face une station d’essence Esso. L’autre jour une personne qui me parlait m’a rappelé qu’elle avait été laveur d’auto dans cette station pendant cinq années. En quel année je ne suis pas tellement curieux pour ces détails. Mais je peux te dire que je suis en 2020 en ce moment racontant cette anecdote.

le manège Ave des Pins en 1970 des militaires trainaient leurs savates sur le trottoir

Les autos roulent pas mal dans ces années-là aussi. L’homme se délivre du cheval à foin et adopte les chevaux moteurs.

Quel joie la lumière sur le passé.

 On aperçoit les canons décoratifs sa luminosité fait voir un angle inconnu le jour.

Planté sur le coin de la rue le vroum  et vroum m’étourdit. Je vois trouble. Une bonne nuit de repos youpi.

canon sans trompette
monument

Le jour laisse la place à toutes les choses à voir frette comme c’est.

sans bataille

Dans le parc au centre du Carré un monument trône comme les arbres autour de lui.

une clôture encercle le bloc. Nous les gens décidons de mettre des barrières pour délimiter nos créations.

 Autour les maisons en silence se rappelle de ce temps d’il n’y a pas si longtemps.

Un souffrant crée un souffrant dans le ciment.

tête lumière

Le chat noir dans l’abat jour dur à voir ce coquin mais en regardant on aperçoit la lumière derrière  les oreilles  de la tête du chaton enfermé dans le cercle.

chat travaersé par la lumière

trait

 La lampe réveil le goût de boire une gorgée de ce qui est dans la cruche. Histoire d’une histoire rien de vrai.

chamitié

Rose de métal soudé dans une bouteille de vitre à cierge dont la cire est partie en fumée.

Des amis félins en captivité pour le bonheur de nous autres.

Sur leurs pattes ils se préparent au spectacle.

Chat couché sur et sous le chat

la curiosité

Brumeux mais toujours concret le quartier existe. Les poteaux déguisent les trottoirs en jardin de poteaux. Les briques de édifices s’empilent l’un sur l’autre et l’autre contre l’une. Tout cela forme une partie de la ville.

La rue s’enivre de l’exasse des voitures.  Les lampadaires se ferment pour la journée.

Le clocher de l’église trône sur l’architecture de son toit cuivré par les couvreurs. Les paratonnerres dessinés comme des porteurs d’hostie remplissent un rôle d’annonceur de la bonne nouvelle le jour de gloire se pointe à l’horizon.

Les sculptures des parcs sont encore présentes pour marquer l’histoire. Les Jaguar se stationnent encore sur la rue Carré St-Louis

 Devant le passé se dresse les briques du futur pour combien de temps?

De profil avec les édifices qui remplacent les simples maisons abritant quelques personnes versus les nouveaux monstres du modernismes.

J’aime ce temps passé.

un demi observateur

Dans ce trajet de la découverte se trace d’autres prises de moments dont le 11 à venir

Contact #9 – Le parc Lafontaine et ses acteurs

Contact #9 – Le parc Lafontaine et ses acteurs

C’est reparti dans ma journée il est 9:10 et je suis devant l’ordinateur. Le son du numériseur rythme mon élan à écrire. Sur la scène du théâtre en plein air du parc Lafontaine cette journée d’automne qui se déroule en début de l’après midi avec mon frère Steve qui commence lui aussi son adaptation dans cette nouvelle ville.

Une de ses amies nous accompagne Suzanne. Je clic avec mon troisième oeil sur les sujets qui s’exprime corps et âmes. Leurs jeux sur la scène attirent mon attention dans la découverte de leurs expressions théâtrale.

Je regard mes photos ils représentent ces moments de recherches. Je trouve que très peu son foyer même la  luminosité reste à équilibrer je les voient agréable le temps se refait une vie. Je voie que je suis dans le début de mes courts intensifs. Le fait de ce projet d’écriture me montre le résultat de mes expériences déjà cinquante ans après leurs développements. 

Que représente cette comédie?

Je me sens bien avec vous deux ,les frères . Steve joue bien son rôle de différent.

Il pousse à font la machine du jeu de rôle qu’il à qui depuis sa naissance.

Un homme de grande qualité, spontané et inventif. Souvent dans sa pièce du vampire avec ses deux dents qui prédomine ses crocs comme il avait plaisir de les montrer

Sa vision vers le demain se trouve rempli de châteaux. Déjà à vingt ans il se démarquait.

La pose de Steve me rappel son côté excentrique qui me faisait du bien quand on était ensemble merci mon frère.

Je suis fière de ces résultats. Imagine : je sors  de sous la jupe de maman. Ma décision c’est la photo. L’univers me procure le stock pour m’exercer. Simplement je prends des risques.  Je suis la route de ma journée et la rue demeure le studio le plus créatif de la city

Dans le coin du parc en haut de la colline un événement attire mon attention et le clic se fait.

Un autre surgit là bas. Je cours l’instant se fige. Elle semble ressemblé à Hélène l’amoureuse de Bonaparte. Drôle de coïncidence : le monument 1660

Faisant le tour de mon milieu les objets qui si trouvent reprennent vie quand quelque chose de nouveau vient leur donner une vie. Ce couple heureux dans leur amour partage leur instant de bonheur avec moi. Leur présence anime ce monument de Dollars.

Tient le photographe regard par ici je prend la pose de l’empereur Français dans sa pose de vainqueur.

Dollard ce héro de chez nous dans sa pose de marbre.

 Un peu plus loin de ce cliché de souvenir cet homme à la pipe vient décorer la routine du marcheur par sa présence surveillant ? Même le char, les portes de l’église donnent un ambiance de tout est bien nous sommes dans le coffre à surprise. Le simple fait de marcher les mains dans les poches, la pipe à la bouche et la casquette bien plantée sur sa rête le rend la vedette de mon attention Son indifférence face à la vie lui redonne une dynamique.  Celle du plaisir de la marche dans cette ville rempli de direction. J’ai la chance de vous l’offrir comme un cadeau cette instant de la vie. Ce marcheur dans la ville  pris sur le vif.

Comme le marcheur Péloquin vient s’incorporer dans cette page.( Contact 1235 1237 Il lit, l’autre fume sa pipe, ce sont des humains se développant à leur manière. L’action de chacun apporte une différent sur la terre.

  Claude Péloquin de passage dans ma vie durant la semaine de la contre Culture ma permis de gravé ces photos d’une autre époque pour se souvenir. Ces moments reprennent forme et vie grâce à l’écriture sur ces photos archivées puis remis à jour pour le bonheur d’un passage bien réel de ses personnages connu et non je les expose. Comme l’homme inconnu a la casquette et la pipe revivent encore.

Toi qui lis tu leur redonnes vie. Le roule de la vie c’est ça.

J’aime faire revivre cette énergie réelle dans son présent.

Le tout petit inconnu prend une position de connu par le truchement de l’agrandissement.

contact de la contre culture 1975 contact 1235

Le livre impressionnant vu de près. Un livre représente une histoire à lire pour se donner une idée de ce qu’il raconte. Comme on dit dans la maxime les écrits restent et les paroles s’envolent. Je rajoute les pensées aussi.

Dans son bouquin il nous narre ses idées, ses pensées qui resteront graver comme sa phrase ‘Vous n’est pas tanné de mourir bande de cave.’ Gravé sur une sculpture de Jordi Bonnet quelque par au Québec. Cela est vrai que l’on peut la lire si on ne l’a pas enlevée cette sculpture. Chose possible qui arrive des fois pour des créations …

Son air le fait voir comme un illuminé mais il vit lui aussi dans ce monde qui donne l’illusion que le réaliste c’est la machine qui nous avale.
Ce qui me fait dire ça c’est ma perception limitée des connaissances sur tout ce qui m’entoure.
Pareil à lui, je lis pour me renseigner afin de comprendre ma vie et la vie.
La liberté me rappel que les informations que je reçois me déstabilises très souvent dans mes pensées et mes actions. Alors je limite l’entré de messages comme la télévision, la radio et les journaux. Une exemple hier, le jour de la St Valentin, mon regard se tourna sur le gros titre d’un article du journal local, l’année 2020, Son titre : Un manque de logements et un couple de jeune l’air triste. Cette nouvelle m’a affecté.

Le texte d’une chanson pour Robert Charlebois ‘ monsieur l’indien’

Tient Tabernacle ma prière se dit comme : Ouvre ton cœur esprit tu dors à plein gaz. Regard l’espoir du sourire que tu lances à droite et à gauche en haut, en bas. Rien ne charme plus que l’espoir de la réussite. Sentir l’oméga au zénith de sa pensée en disant : Debout hostie le temps passe. Un autre instant remplace celui-ci. Le soleil brille. La lune joue à la rondelle elle se dévoile chaque soir de plus en plus plein.

Les étoiles ressemblent aux points sur la page et chacun inonderait la terre bien des millions de foi.
venant de nulle part il repart dans la vague de la photo clic.
Je dis des vérités mes vibrations de mon cœur.

Partons avec ton concept de redonner vie à la vie passée Errol. Je sais et tu sais que ces mots tapés en ce moment transformeront tes désirs intérieurs par une réalité bien réelle. Les pensés s’envolent et les écrits restent. Tu te répètes. 

Je sis comme je te disais mes connaissances se limitent à ce que je sais. Partir dans des envolées  me permettrai de me prendre pour un oiseau et je respect l’espèce.  Je me nomme Homme.                                                                           

Dans mon aujourd’hui je commence par cette photo du parc Lafontaine après un début intense en 2020 16 février. Levé tôt fait une promenade en courant comme tortue le trajet d’une tortue. Ce sentier tracé dans mon imaginaire me permet de dire merci et d’être dans la gratitude de gambader encore sur le terre avec cette grande énergie.  J’aime toujours entendre une histoire qui tire par le cheveux de la part de gens heureux ça décompresse

Ma conversation se fait entre moi et l’univers. J’aime ce moment du par cet la joie que dégage la marche des marcheurs tranquille dans un lieu vert d’une ville qui a su garder quelques belles pièces de la nature . Le parc Lafontaine incarne pour moi le paradis.

Recréer une journée de grand plaisir avec les inconnues qui passent près de moi la belle vie.

Prendre le moment et l’étirer pour en montré la diversité et faire voir que notre vision laisse gravé dans notre mémoire pleuin de milliers et plus de détailles Dans notre cerveau.

Je n’arrive pas à prendre ton pas . Regard c’est facile. Tu lèves le pied gauche et un petit hop le droit suit sans problème. Tu as raison c’est facile et je ne comprend aucunement la routine de ton pas qui te fait flotter en marchant.

On cherche quoi là Claudia? Un ami qui dois venir me voir.

Un parcours étonnant la marche

Les idées me font prendre toute sorte de direction comme les branches qui nous entour.

Tient c’est tu le bonhomme avec le chapeau et la pipe là bas?

le marcheur

 Bien oui vous êtes mes vedettes. Je suis heureux que tu sois au rendez-vous Claudia. J’ai marché avec mes amis ils m’ont demandé ce que j’allais faire au parc Lafontaine? C’est simple venez avec moi voir. Salut les gars je me nomme Pascal.

l’observateur démasquer

Tu te prends pas mal au sérieux avec cette Minolta. Gagne tu ta vie avec? Une bonne question qui reste sans réponse encore aujourd’hui. Je me permet de répondre : Bien je passe ma retraite à préparer une nouvelle vie à votre vie des années 1972. J’ai pris quelques années pour numérisé et voir mes clichés. Un chiffre me vient près de plus de trente six milles photos des années 1972 au 1978. La plus part sont l’historique de mon déménagement de la région à la ville et la création d’un endroit où nous avons créé pour la culture. Au moment que vous passé devant mon Kodak rien de cela existe. Je me trouve dans un cours intensif avec la vie et moi. A développer plus tard avec les écrit. Je reviens avec la rencontre de Claudia et ses amis et Pascal. Je suis son Grand père affirme

fièrement l’homme.

Tient encore la Claudia tu l’aime ton pépé? Depuis que tu le voies il est plus souriant. Tu sais : vous autres aussi les boys une visite ou une rencontre avec le vieux temps c’est une bonne chose pour la société en général.

Je peux vous faire l’éloge de ce pourquoi. Je commence comme ça. Une histoire 

Dans le silence la rue Parc Lafontaine Henri se lança dans son histoire.

Il était une foi dans une grande ville un grand espace réservé pour donner aux gens de cette ville la chance de rire chanter, parler marcher, s’asseoir et rien faire que de respirer. Chacun des habitants de cette ville prenaient le temps pour faire un ressourcement régulièrement. Un jour on ne sais pas pourquoi plus personne ne trouvaient cette endroit. L’espace disparu durant bien des jours même des semaines.

Les gens de la ville s’apercevaient une différence dans le rapport entre eux. Les tous jeunes se posaient des questions du comment dans la ville il se trouvaient que des jeunes. La vie soustraie les vieux et vieilles du quotidien. Les bancs des trottoirs sans plus personnes pour les usés. Un groupe de jeune et plus jeune se retrouvèrent au coin d’une rue qui se trouvait celle où régnait cette endroit calme disparue que personne ne savaient le comment l’évènement se produisit. Tous les gens se dirent : je me rappel que la vie grouillait plus quand les personnes ayant de l’age rendaient sons le savoir un équilibre.

Un enfant se mit à dire fort je m’ennuie de grand papa et de grand maman. Les plus âgées se mirent à rire en pensant à ces personnes qui sans le savoir donnaient un grand bonheur à la ville et surtout aux enfants et petits enfants manquant de connaissance, d’expériences dans les choses de la vie.

je te voie

Une entente collective se leva et les gens de toutes âge de la ville décidaient de retrouver l’endroit disparu.

Elles font une marche de l’observation autour du carré où jadis se trouvait le parc Lafontaine. On sait que le désir de la majorité unit pour un même désir donne des fruits. Par magie car c’est une histoire un son commença a se faire entendre. Les arbres du parc redevinrent visible et par sur plus les voix des personnes âgés retirer dans le silence de la nature résonna dans la ville dans ce lieu privilégier afin que les gens se redonnent du bonheur redevins a ce moment la rencontre que les gens vivant se parlent l’un du passé et l’autre du présent. Plein de personnes se promènent et se reconnaissent.

Un automne favorable à la prise de vu du photographe en devenir. 

Salut Grand papa lança la petite fille et un au revoir de ses amis au bonhomme.

La vie respire la vie pour ceux qui connaissent cette histoire.

de loin la vie est là

Les arbres du parc se croisent entre les gens qui si risque. Un sage se trouve toujours présent dans ce quotidien. >On marche sans but que celui de vivre un bon moment à travers la nature que les gens se sont donnés pour une retraite et un recueillement pour notre âme qui virevolte dans la vie de tous les jours.

Voir depuis ce temps là que les choses comme ça se reproduise dans tous les coins de verdure de sur cette terre. J’apprécie toi et toi qui font de ses lieux des endroit de privilège encore aujourd’hui.

Des beaux moments donnent ces paroles ces rires

    Je vous regard et je clic sur vos pensées.    

Tordu comme les idées de l’inconnu mais claire comme la vie sur la terre.

La femme dans le parc rencontre ses amis les écureuils parmi ces arbres qui donnent de l’oxygène la notre planète. Je remarque les édifices en arrière plan avec ses fenêtres pour la lumière de cette belle terre. Un petit arbre à travers les vieux  qui donne de l’ombre et

décor de lignes le gazon du parc.

sur la rue
elle cherche
La joie de famille
Il se font petit
Je repense
les souvenirs se présent
Bien oui je me prépare

Tous ces images m conduisent là au contact qui suit la vie le 10