C’est reparti dans ma journée il est 9:10 et je suis devant l’ordinateur. Le son du numériseur rythme mon élan à écrire. Sur la scène du théâtre en plein air du parc Lafontaine cette journée d’automne qui se déroule en début de l’après midi avec mon frère Steve qui commence lui aussi son adaptation dans cette nouvelle ville.
Une de ses amies nous accompagne Suzanne. Je clic avec mon troisième oeil sur les sujets qui s’exprime corps et âmes. Leurs jeux sur la scène attirent mon attention dans la découverte de leurs expressions théâtrale.
Je regard mes photos ils représentent ces moments de recherches. Je trouve que très peu son foyer même la luminosité reste à équilibrer je les voient agréable le temps se refait une vie. Je voie que je suis dans le début de mes courts intensifs. Le fait de ce projet d’écriture me montre le résultat de mes expériences déjà cinquante ans après leurs développements.
Que représente cette comédie?
Je me sens bien avec vous deux ,les frères . Steve joue bien son rôle de différent.
Il pousse à font la machine du jeu de rôle qu’il à qui depuis sa naissance.
Un homme de grande qualité, spontané et inventif. Souvent dans sa pièce du vampire avec ses deux dents qui prédomine ses crocs comme il avait plaisir de les montrer
Sa vision vers le demain se trouve rempli de châteaux. Déjà à vingt ans il se démarquait.
La pose de Steve me rappel son côté excentrique qui me faisait du bien quand on était ensemble merci mon frère.
Je suis fière de ces résultats. Imagine : je sors de sous la jupe de maman. Ma décision c’est la photo. L’univers me procure le stock pour m’exercer. Simplement je prends des risques. Je suis la route de ma journée et la rue demeure le studio le plus créatif de la city
Dans le coin du parc en haut de la colline un événement attire mon attention et le clic se fait.
Un autre surgit là bas. Je cours l’instant se fige. Elle semble ressemblé à Hélène l’amoureuse de Bonaparte. Drôle de coïncidence : le monument 1660
Faisant le tour de mon milieu les objets qui si trouvent reprennent vie quand quelque chose de nouveau vient leur donner une vie. Ce couple heureux dans leur amour partage leur instant de bonheur avec moi. Leur présence anime ce monument de Dollars.
Tient le photographe regard par ici je prend la pose de l’empereur Français dans sa pose de vainqueur.
Dollard ce héro de chez nous dans sa pose de marbre.
Un peu plus loin de ce cliché de souvenir cet homme à la pipe vient décorer la routine du marcheur par sa présence surveillant ? Même le char, les portes de l’église donnent un ambiance de tout est bien nous sommes dans le coffre à surprise. Le simple fait de marcher les mains dans les poches, la pipe à la bouche et la casquette bien plantée sur sa rête le rend la vedette de mon attention Son indifférence face à la vie lui redonne une dynamique. Celle du plaisir de la marche dans cette ville rempli de direction. J’ai la chance de vous l’offrir comme un cadeau cette instant de la vie. Ce marcheur dans la ville pris sur le vif.
Comme le marcheur Péloquin vient s’incorporer dans cette page.( Contact 1235 1237 Il lit, l’autre fume sa pipe, ce sont des humains se développant à leur manière. L’action de chacun apporte une différent sur la terre.
Claude Péloquin de passage dans ma vie durant la semaine de la contre Culture ma permis de gravé ces photos d’une autre époque pour se souvenir. Ces moments reprennent forme et vie grâce à l’écriture sur ces photos archivées puis remis à jour pour le bonheur d’un passage bien réel de ses personnages connu et non je les expose. Comme l’homme inconnu a la casquette et la pipe revivent encore.
Toi qui lis tu leur redonnes vie. Le roule de la vie c’est ça.
J’aime faire revivre cette énergie réelle dans son présent.
Le tout petit inconnu prend une position de connu par le truchement de l’agrandissement.
contact de la contre culture 1975 contact 1235
Le livre impressionnant vu de près. Un livre représente une histoire à lire pour se donner une idée de ce qu’il raconte. Comme on dit dans la maxime les écrits restent et les paroles s’envolent. Je rajoute les pensées aussi.
Dans son bouquin il nous narre ses idées, ses pensées qui resteront graver comme sa phrase ‘Vous n’est pas tanné de mourir bande de cave.’ Gravé sur une sculpture de Jordi Bonnet quelque par au Québec. Cela est vrai que l’on peut la lire si on ne l’a pas enlevée cette sculpture. Chose possible qui arrive des fois pour des créations …
Son air le fait voir comme un illuminé mais il vit lui aussi dans ce monde qui donne l’illusion que le réaliste c’est la machine qui nous avale. Ce qui me fait dire ça c’est ma perception limitée des connaissances sur tout ce qui m’entoure. Pareil à lui, je lis pour me renseigner afin de comprendre ma vie et la vie. La liberté me rappel que les informations que je reçois me déstabilises très souvent dans mes pensées et mes actions. Alors je limite l’entré de messages comme la télévision, la radio et les journaux. Une exemple hier, le jour de la St Valentin, mon regard se tourna sur le gros titre d’un article du journal local, l’année 2020, Son titre : Un manque de logements et un couple de jeune l’air triste. Cette nouvelle m’a affecté.
Le texte d’une chanson pour Robert Charlebois ‘ monsieur l’indien’
Tient Tabernacle ma prière se dit comme : Ouvre ton cœur esprit tu dors à plein gaz. Regard l’espoir du sourire que tu lances à droite et à gauche en haut, en bas. Rien ne charme plus que l’espoir de la réussite. Sentir l’oméga au zénith de sa pensée en disant : Debout hostie le temps passe. Un autre instant remplace celui-ci. Le soleil brille. La lune joue à la rondelle elle se dévoile chaque soir de plus en plus plein.
Les étoiles ressemblent aux points sur la page et chacun inonderait la terre bien des millions de foi. venant de nulle part il repart dans la vague de la photo clic. Je dis des vérités mes vibrations de mon cœur.
Partons avec ton concept de redonner vie à la vie passée Errol. Je sais et tu sais que ces mots tapés en ce moment transformeront tes désirs intérieurs par une réalité bien réelle. Les pensés s’envolent et les écrits restent. Tu te répètes.
Je sis comme je te disais mes connaissances se limitent à ce que je sais. Partir dans des envolées me permettrai de me prendre pour un oiseau et je respect l’espèce. Je me nomme Homme.
Dans mon aujourd’hui je commence par cette photo du parc Lafontaine après un début intense en 2020 16 février. Levé tôt fait une promenade en courant comme tortue le trajet d’une tortue. Ce sentier tracé dans mon imaginaire me permet de dire merci et d’être dans la gratitude de gambader encore sur le terre avec cette grande énergie. J’aime toujours entendre une histoire qui tire par le cheveux de la part de gens heureux ça décompresse
Ma conversation se fait entre moi et l’univers. J’aime ce moment du par cet la joie que dégage la marche des marcheurs tranquille dans un lieu vert d’une ville qui a su garder quelques belles pièces de la nature . Le parc Lafontaine incarne pour moi le paradis.
Recréer une journée de grand plaisir avec les inconnues qui passent près de moi la belle vie.
Prendre le moment et l’étirer pour en montré la diversité et faire voir que notre vision laisse gravé dans notre mémoire pleuin de milliers et plus de détailles Dans notre cerveau.
Je n’arrive pas à prendre ton pas . Regard c’est facile. Tu lèves le pied gauche et un petit hop le droit suit sans problème. Tu as raison c’est facile et je ne comprend aucunement la routine de ton pas qui te fait flotter en marchant.
On cherche quoi là Claudia? Un ami qui dois venir me voir.
Un parcours étonnant la marche
Les idées me font prendre toute sorte de direction comme les branches qui nous entour.
Tient c’est tu le bonhomme avec le chapeau et la pipe là bas?
Bien oui vous êtes mes vedettes. Je suis heureux que tu sois au rendez-vous Claudia. J’ai marché avec mes amis ils m’ont demandé ce que j’allais faire au parc Lafontaine? C’est simple venez avec moi voir. Salut les gars je me nomme Pascal.
Tu te prends pas mal au sérieux avec cette Minolta. Gagne tu ta vie avec? Une bonne question qui reste sans réponse encore aujourd’hui. Je me permet de répondre : Bien je passe ma retraite à préparer une nouvelle vie à votre vie des années 1972. J’ai pris quelques années pour numérisé et voir mes clichés. Un chiffre me vient près de plus de trente six milles photos des années 1972 au 1978. La plus part sont l’historique de mon déménagement de la région à la ville et la création d’un endroit où nous avons créé pour la culture. Au moment que vous passé devant mon Kodak rien de cela existe. Je me trouve dans un cours intensif avec la vie et moi. A développer plus tard avec les écrit. Je reviens avec la rencontre de Claudia et ses amis et Pascal. Je suis son Grand père affirme
fièrement l’homme.
Tient encore la Claudia tu l’aime ton pépé? Depuis que tu le voies il est plus souriant. Tu sais : vous autres aussi les boys une visite ou une rencontre avec le vieux temps c’est une bonne chose pour la société en général.
Je peux vous faire l’éloge de ce pourquoi. Je commence comme ça. Une histoire
Dans le silence la rue Parc Lafontaine Henri se lança dans son histoire.
Il était une foi dans une grande ville un grand espace réservé pour donner aux gens de cette ville la chance de rire chanter, parler marcher, s’asseoir et rien faire que de respirer. Chacun des habitants de cette ville prenaient le temps pour faire un ressourcement régulièrement. Un jour on ne sais pas pourquoi plus personne ne trouvaient cette endroit. L’espace disparu durant bien des jours même des semaines.
Les gens de la ville s’apercevaient une différence dans le rapport entre eux. Les tous jeunes se posaient des questions du comment dans la ville il se trouvaient que des jeunes. La vie soustraie les vieux et vieilles du quotidien. Les bancs des trottoirs sans plus personnes pour les usés. Un groupe de jeune et plus jeune se retrouvèrent au coin d’une rue qui se trouvait celle où régnait cette endroit calme disparue que personne ne savaient le comment l’évènement se produisit. Tous les gens se dirent : je me rappel que la vie grouillait plus quand les personnes ayant de l’age rendaient sons le savoir un équilibre.
Un enfant se mit à dire fort je m’ennuie de grand papa et de grand maman. Les plus âgées se mirent à rire en pensant à ces personnes qui sans le savoir donnaient un grand bonheur à la ville et surtout aux enfants et petits enfants manquant de connaissance, d’expériences dans les choses de la vie.
Une entente collective se leva et les gens de toutes âge de la ville décidaient de retrouver l’endroit disparu.
Elles font une marche de l’observation autour du carré où jadis se trouvait le parc Lafontaine. On sait que le désir de la majorité unit pour un même désir donne des fruits. Par magie car c’est une histoire un son commença a se faire entendre. Les arbres du parc redevinrent visible et par sur plus les voix des personnes âgés retirer dans le silence de la nature résonna dans la ville dans ce lieu privilégier afin que les gens se redonnent du bonheur redevins a ce moment la rencontre que les gens vivant se parlent l’un du passé et l’autre du présent. Plein de personnes se promènent et se reconnaissent.
Un automne favorable à la prise de vu du photographe en devenir.
Salut Grand papa lança la petite fille et un au revoir de ses amis au bonhomme.
La vie respire la vie pour ceux qui connaissent cette histoire.
Les arbres du parc se croisent entre les gens qui si risque. Un sage se trouve toujours présent dans ce quotidien. >On marche sans but que celui de vivre un bon moment à travers la nature que les gens se sont donnés pour une retraite et un recueillement pour notre âme qui virevolte dans la vie de tous les jours.
Voir depuis ce temps là que les choses comme ça se reproduise dans tous les coins de verdure de sur cette terre. J’apprécie toi et toi qui font de ses lieux des endroit de privilège encore aujourd’hui.
Des beaux moments donnent ces paroles ces rires
Je vous regard et je clic sur vos pensées.
Tordu comme les idées de l’inconnu mais claire comme la vie sur la terre.
La femme dans le parc rencontre ses amis les écureuils parmi ces arbres qui donnent de l’oxygène la notre planète. Je remarque les édifices en arrière plan avec ses fenêtres pour la lumière de cette belle terre. Un petit arbre à travers les vieux qui donne de l’ombre et
décor de lignes le gazon du parc.
Tous ces images m conduisent là au contact qui suit la vie le 10
Tient un autre lettre va bien paraître sur l’écran semble dire Jean
C’est drôle. Je retrouve des moments oubliés dans le temps. Ces sentiments viennent du fait que des instants se composant de jours même d’années se dévoilent calmement. Ils se reposent sur les bancs de la vie.
Soudain un doute s’installe, comment continuer cette histoire si bien remplie de photos. Alors je les regarde simplement puis je lance mes doigts sur le clavier qui fait jaillir un jet de mots se lisant très bien. Je peux dire c’est partie. Ce qui me saute aux yeux c’est Jean devant son collage pour le scénario de la tête au neutre. Sa caméra Bolex sur un trépied dans son salon sur la rue St Denis.
La solidité du trépied se révèle très utile pour le sujet du travail dans le cinéma la caméra.
Sans répit le penseur doit montrer en extériorisant dans la matière sa pensée. Le collagiste se perfectionne d’œuvre en œuvres.
La concentration fait voir Jean comme un créateur sérieux. Le voir manipuler ses petites lettres de toutes sortes de couleurs pour illustrer le générique de son œuvre cinématographique.
Au même instant l’écoute du poste de radio Ckoi – fm cette sonorité underground diffuse de la musique qui fait voyager. C’est loin de la musique de la radio de par chez nous. Un merveilleux voyage (trip) comme on s’amuse à dire pour des aventures exceptionnelles qui se présentent dans notre vie.
Je cherche encore ce contact
Hugues Tremblay à la Bolex chez Jean et Louise rue St Denis en 1972 une recherche intense m’est demandée afin de trouver le contact où ce négatif fut extrait. Je cherche encore dans cette deuxième lecture.
Je suis un vestige du passage du Cliqueur dans la rue ce jour-là.
Durant je cherche cette caméra qui parait sur le contact et qui ne se trouve aucunement dans la numérisation. Une chance que j’ai encore les contacts.
Je suis entrain de faire le contact numéro 257 qui parle de taverne St Hubert avec les photos de la campagne en se rendant à St Paul L’Ermite.
Je continu mon voyage sur cette feuille et découvre un instant ou Jean marche derrière un couple dans une ruelle que je vous affiche là
C’est vraiment une aventure incroyable de se voir dans l’action d’une marche qui se faisait il y a bien des lunes dans ce pays de Montréal.
Je voie une madame dans le parc avec un sac elle regard dans les arbres elle est en
action à la recherche des écureuils ses amis.
Je la sens en contact avec ses habitants du parc Lafontaine. J’entends son appel.
Allez les petits c’est l’heure de manger.
J’observe ce qui se passe dans les arbres et c’est beau autour de moi.
Les zigzags des bassins du parc Lafontaine inspirent les promenades.
Je suis heureuse de te voir mon petit je t’aime semble lui dire la femme avec son sac.
Toujours réservé le petit. Chaque jour tu me crains et je te donne de quoi manger. Merci dit silencieusement l’inviter au festin.
Bien oui c’est déjà le départ à demain.
A tu vu le monsieur avec ça caméra?
J’ai aussi la gang d’adolescent qui se dirige vers je ne sais où et qui m’inspire pour trois clichés que voici
Comment se fait-il que nous soyons encore dans cette histoire? Je vous répond parce qu’un jour mes pas on rencontré les vôtres.
Encore une victoire ce soir ?
Je sais où je vais .Mon club est tout le monde le sais. Moi j’ai d’autre aspiration plus tôt cow boy. Je suis très expressif. Je le sais tu est très transparent.
Tu es un très bon ami. Je suis fière de te connaître et toi aussi la tuque.
Je sais il faut toujours regarder un photographe et sourire.
Une fierté exclusion à la vie cette fille dégage. Son sourire me charme un clic pour le montrer me fut nécessaire. Un modèle pour un photographe du quotidien se prend quand il se présente. En voilà un.
ils se dirigent dans la foule des inconnues.
Ils sont une bonne gagne qui son poster à l’arrêt du bus sur la rue Cherrier. J’aime voir l’arrivé du où des sujets qui se présentent dans mon scénario de la vie.
Sur le bord de la rue un auto passe et plein de gens attendent le transport en commun.
Sur le trottoir près du métro
Les édifices de la ville restent. Les gens disparaissent et d’autres les remplacent.
Ça tourne, c’est un sens unique . On doit faire vite. Pas le temps de flâner en traversant
Je dois regarder parterre car l’autre jour je me suis enfargé dans le trottoir, aucune blessure. Je voie que tu fais attention terriblement. Bien oui il le faut .
Rue Mentana au coin de Cherrier. Plus loin il y a la taverne du même nom.
La publicité s’affiche je vais entré voir ce soir en revenant du travail.
Je voie les flèches qui me pointent une direction qui va contre la mienne. Quoi faire je veux allez chez moi mais avant je vais me rendre à la taverne au coin St Denis et Cherrier
Les lignes doubles sur le chemin de la taverne. Les suivrent sans faire de détoure c’est ti possible ça?
Je serai bien si je me promenais avec mon chien seulement sur la rue et le dresser à porter
mes paquets.
Moi c’est déjà fait je l’aime tellement il se trouve près de moi. Il a de la classe trouve tu pas? Je le trouve unique surtout ici.
J’essaie de voir les gens dans ce bus. Comme toujours j’ai oublié d’ouvrir l’ouverture de mon objectif. Il se trouvais sur l’automatique donc sur la lumière de l’extérieur de l’autobus non avec celle du l’intérieur on nomme ça le contre jour. J’ai du faire plein d’essaies pour te dire ce manque d’expérience comme preneur d’images.
Une plongé dans le la côte grâce à la disposition de ma caméra. Une autre expérience qui la vie me donne. Chaque moment nous envoie vers un instant inattendu.
Au chien tu te rends où? C’est la rue Berri il y a beaucoup de trafic.
J’entre chez moi j’ai été laisser dans un coin que je ne connais pas.
L’amour crée
Beau quartier …
Je marche puis les gens m’inspirent par leur bonheur, leur questionnement.hé oui par le contact suivant #9
Je me dois de commencer mon récit par l’aveux que je suis un jeune homme dans ce temps là et rien ne me dirige vers ce qui se passe aujourd’hui en 2020. Comme écrire sur ce temps où mon insouciance me rend le vie plus facile.
Un nouveau jouet et plein de sujets pour exercer mon aventure. Ayant laisse le Cégep ou sur le point de le faire ma vie tourne vers la vente en détail de produit qui me permet de gagné plus que l’école (bourse).
Je revoie mes frères encore réunis près de mon quotidien. Je ne connais rien de la photo et mon but est de montré que j’ai une chose que pas grand monde possède. En plus elle est à mon frère Serge. Une caméra
Aujourd’hui je me trouve devant un contact qui ne possède rien de plus pour son emprunte que d’un contact de 36 photos. J’ai cherché les négatifs dans tout les Hilton de la terre , Farce, comme la chanson de Plamondon à popé dans ma tête cette phrase je l’ai écrite. Je reviens. J’ai cherché les négatifs dans tout les boites de ses merveilleux dessins négatifs qui me reste de ce rêve ou de cette réalité?
J’aime m’égarer dans les mots qui veulent rendre positif mon récit. Comme cette planche numéro 5 où l’on peut voir cette journée grâce à la technique qui me permet de numériser chaque image.
Je dois inclure ma déception d’accepter que je ne trouve rien et en plus : Je constate que le papier ou j’ai imprimé les négatifs pour donner ce contact est un papier de grade copieuse avec gros point donc ça me laisse des photos à gros grain à utiliser.
Je peux dire que tous ce qui m’entoure est sujet à cliquer pour aider ma mémoire à se rappeler.
Je trouve intéressant tout ce que je vie.
L’histoire de ces photos à commencer le matin avec l’arrivé de mon frère Jean, de Ben. Assis sur la galerie les pieds pendant mais soutenu par le garde de la galerie je regard ce qui se passe et soudain ma position de relaxation inspire le clic.
Une auto se gare devant mon poste d’observation et deux photos se collent sur l’argentique.
Le temps passe et les gens aussi font de même et sans l’attendre un enfant faisant sa marche quotidienne fait réagir le preneur de photos en moi et la mise au point se fait juste au moment que sa curiosité lui donne le goût de se tourner devant la caméra et c’est fait je peux vous le montrer.
Le temps passe et les gens aussi font de même et sans l’attendre un enfant faisant sa marche quotidienne fait réagir le preneur de photos en moi et la mise au point se fait juste au moment que sa curiosité lui donne le goût de se tourner devant la caméra et c’est fait je peux vous le montrer.
Maison de trois étages trône sur la rue Jacques Cartier majestueusement. Des passants passent la tête haute et d’autres curieux me lancent un sourire. r
La maison avec sa devanture de maison je jeu de monopoly.
Les gens qui vont a l’épicerie Pépin, ceux qui attendent leur retour.
Je me poste pas bien loin d’appartement qui se situ au coin de Bégin et Jacques Cartier.
Je ne connais pas grand monde vu que je ne fréquente plus cette maison de la conaissnce. Je suis à la taverne comme j’aime dire mon bureau de vente.
Le propriétaire me rappel que c’est son domaine et que je dois me loger dans un autre coin pour faire mes ventes.
La vu de ces jeunes plein d’espoir dans leur vie me donne de quoi de pensé et de rêver a ce qui peut m’arriver dans la vie.
Je me laisse couler dans le temps sans trop savoir ce que me réserve la vie.
Toi qui passe que va-t-il t’arrivé après le temps passer dans ce Cégep ? Vu que je ne me posais pas et plutôt plus ces interrogations. Bien oui je me rappel de toi Errol tu te trouvais dans ma classe en administration tu cherchais ta place et je ne t’imaginais pas un traîneur de rue.
Tout me passais par une oreille et sortais par l’autre. Je me trouvais bien dans mon choix de vivre tout simplement.
Salut toi tu arrives d’où comme ça? Tu es contre courant la belle? Je suis passé faire une commande pour mes repas. Je vais au Cégep et je demeure en appartement pas bien loi..
Je me trouvais dans un environnement où plusieurs jeunes créaient de la musique et des images qui ressemblaient à des
dessins animés.
Contact 398 pratique au conventum020
J’ai rencontré Jean-Pierre Tremblay qui venait de mettre une de ses jeune photos de jeunesse sur le net et je lui rappelais que je numérisais au même moment quelques unes des ses photos prises au court des années 1975. Je me souviens que je pleurais ne pouvant exprimer ma chanson.
Devant le regard des gens de sur la galerie le solitaire près du bâtiment se pose la question lequel des escaliers
Un son raisonne de la gang qui l’observe : viens nous voir. Une réponse se fait entendre; savez-vous ou reste Mr..
Il vient de partir.
Merci
Je me retrouvais comme ce personnage tout seul dans la rue en se demandant que se passe t-il. Où suis-je coincé dans un impasse : Tous les idées dans ma tête font un tour et je me crie !
Je reviens à l’écriture.
Steve qui est avec moi depuis notre départ de chez notre mère Maman Germaine. Sur cette photo je ne le sens probablement pas à sa place. Il avait la facilité de s’évader dans ses pensées. Oui dans la fabrication de dessins de plan du château dont lui seul avait le nom.
Jean qui explique à Ben Fortin je ne sais quoi. Steve de son coté observe je ne sais quoi, Je me donne une réponse. L’imagination de chacun peut inventer son histoire comme je fais.
La caméra croc le moment qui arrive je le voie et je peu et doit raconter sur papier où électroniquement un chapitre de ce grand livre la vie humaine.
J’aime le cinéma je suis sur un autre projet mon premier film Saison cinquième ma propulsé dans cette passion.
Je vais encore plus loin je déménage à Montréal pour le cinéma.
Je te reconnais bien mon Johnny la passion c’est toi. TE rappel tu au Cellier la boite à chanson dont tu était le concepteur et le directeur. Quelle belle expérience que tu nous as-tu faire vivre avec tes invités. Les salles toujours pleines des beaux succès.
Je pense que tu vas être à la bonne place pour te faire un chemin dans ce milieu là. Ton talent je le voie se développer de plus en plus. Ta ténacité, ta passion et ton sens innovateur et fonceur en plus. Une bonne affaire pour toi Jean.
Je déclare succès assurer
Comme par magie un cliché d’une personne entrant dans un auto, en face de mon poste, pour le voyage. Bien c’est pas Jean mais un habitant du coin qui se dépêche à sortir de l’auto pour a pas bloquer le trafique car la lumière vient de changer de couleur.
Le coin est très achalandé en ce matin. La chaleur a déjà pris sa place dans la journée. La galerie se trouve toujours mon observatoire. Le gros char passant avec son conducteur la vitre baisser. Il semble tendre l’oreille aux bruits.
Le camion vient de franchir le coin sur une lumière jaune foncé.
Il y a la WVW stationné en face de chez Pépin sur la rue Bégin les portes ouvertes.
Les fruits et légumes ornent le mur du magasin sous un auvent. L’enseigne bien en vu sur la devanture de la bâtisse.
Cette période était l’abondance dans mon domaine de la vente au détail.
Ma paie redonnait confiance en la vie. Je peux me dévoiler en disant que le contact avec les gens m’était rendu facile car mon nouveau défi se trouvait être accessible régulièrement aux gens ayant besoin de s’évader tout en restant tranquille sur une chaise.
Mes études ne pouvaient pas me rapporter autant. Je me trouvais prospère et protégé de pouvoir là pour aider les amis et les connaissances.
Je me prélasse sur la galerie et plein d’objets attirent mon attention.
Les pieds non pendant au bout du quai mais sur le garde de la galerie je fouine avec mon troisième œil la vie qui m’entoure.
Cette journée à pu enregistrer un bon nombre de moments quotidien disparus dans le temps.
Chaque moment se vie et on l’oubli sans difficulté car plein d’autres sautent sur le vide pour le remplir.
Une histoire ce sont ces moments que le temps à bien voulu laisser à la mémoire.
Ces deux moments gravés au coin de la rue me rappel que après le calme arri8ve l’abondance d’activité autour de ce magasin. Les livreurs de liqueurs les clients, le propriétaire qui observe le déroulement de ce qui se produit dans et près de son magasin.
Les convertibles existent encore et parade sur les rues de mon pays.
Les gens stationnaient pour aller à l’épicerie de Mr Pépin.
Je dois me lasser des gens car je me permet quelques paysages, Ces deux là font l’ornement, de cette partie, de ce saignement de la journée à dessiner avec la lentille ces moments a qui je redonne vie.
La côte se descend pas à pas…
Dans cet appartement depuis que Serge y demeure de nouveaux amis viennent sur la galerie.
Des journées le petit d’espace se gonfle comme une balloun soufflé pour son envole.
Cette maison à disparue du décor de ce coin de Chicoutimi
Ces souvenirs se racontent grâce à ces photos.
Plein de mots se glissent dans ce texte. Chaque explication est le fruit de mon imagination. Il veut dire et souvent tout se mêle.
Une chose est certaine pour moi en ce moment le temps arrange les aventures de ce texte
Je me dirige vers une autre partie de l’histoire presque inachevable.
Allons de l’avant dans un nouveau tournant de la vie avec le contact 6