Quarante le total de 20+20 l’année qui prend son envol pour une deuxième journée.La boutique où Jean et Jacques déambulent est pleine de livres. Les deux sont attentifs et moi aussi. Je suis le jeu de ces deux aventuriers.
« Que fais-tu là Jacques » semble dire Jean tout énergisé par le voyage.
Je viens de m’acheter un rouleau de pellicule 35 pour la caméra. Je l’installe prudemment. Mon expérience me rappelle de bien engrener le film dans le dispositif permettant au film d’avancer quand je remonte la caméra pour la prochaine image que je désir prendre comme souvenir de ce voyage sur le fly . Prendre 40 et même 50 photos avec une bobine qui peut en contenir 36 il y a un problème que je ne veux pas vivre. Quand penses-tu Errol.
Tu es bien sage je vais me rappeler de ça aussi. Une expérience partagée peut aider celui ouvert à entendre. Encore merci.
Malgré le savoir j’ai dû en faire l’expérience.
C’est ce que je nomme la vie. L’expérience ne s’achète pas!
Tu es bien sérieux Jacques. Le rire de la page couverture du magasine fait réfléchir. Avez-vous vu les fioritures sur la ville ? Dans mon activité de reconstruire l’histoire j’agrandi le sujet et j’y découvre que cette journée il faisait comme température un gros 24 degré. Cette certitude s’affichait sur l’enseigne sur le toit d’une banque de New York.
La ville nous attend dans son bruit de méga city. Le vieux disparaît devant le nouveau. Les grues sont plantées dans le ciel à travers les rues qui quadrillent la city Une affiche, une horloge, une pointe dans le ciel, des blocs de béton et des vitres nous dévoilent le présent de ces jours là.
Je prépare mon entrée dans la grande activité. Tu perds rien à attendre. Tu dis des paroles et des paroles depuis plusieurs années et je n’ai jamais rien vu de ton aventure. C’est le fun. Tu m’as réveillé un peu d’espoir. Je me posais la question : quoi faire avec le passé ? Quel récit utiliser pour raconter pour l’histoire ?
Drapeaux, enseignes sur les toits et aventures soulignent la vie.
Plein de détails pour créer une structure comme ça. L’Amérique nous donne le chemin à suivre. Innovation et respect des gens? Je laisse aux gens leur citation.
Une scène décortiquée par la caméra sur la ville nous donne l’esprit d’un coin de ce pays.
Les ordinateurs immobiliers sont picotés et repicotés. Toujours une AFFICHE qui AFFICHE ce sont qui : c’est quoi là
On attend les invités pour le show à Forcier. Je le connais bien ce cinéaste. Il invente et invente des choses impossibles qu’il met en scène. Pour plus de punch il y rajoute de la vie de gens ordinaire. C’est comme ça que l’on a découvert la musique de sa sphère de créateur
Une rue de vie. C’est loin de la rue Racine, Chicoutimi et de la rue St Jean, Québec et de la Sherbrooke, Montréal
Un tab acide qui transforme le décor que je vois
Ce jour là, rien ne nous préparait à ces émotions, sauf le trip.
Le miroir de la cité dans la vitre de la porte d’entrée, du, qui a-t-il a l’intérieur? Des espaces et des pieds cubes d’air renfermés dans un bloc pour personnes connus seulement ; Les Clients
La grandeur des buildings
Que se passe t-il ? On dirait qu’ils ne savent plus où aller.
Ok la route s’éclaircit. Es-tu rassurer Johnny ?
Hé Jean comment se porte Johnny ? Je reste avec Chenail on va avoir du fun. Mais Errol à juste hâte de revenir à la maison, rue Henri Julien.
Salut vous deux bon retour de nuit par autobus avec Jacques Cartier qui parle anglais pas moi . Je viens de Jonquière.
J’ai pas de problème avec l’aventure. Je ne suis pas vieux, mais allons, pour être cinéaste, j’ai dû franchir des barrières.
Je circule encore dans le domaine de l’image. J’invite les curieux qui suivent le plan d’affaire de ces jeunes à remarquer comment s’accumule le bagage de la connaissance par le pratique de tout ce qui nous arrive et des fois s’en remettre à des aventures qui donnent beaucoup.
Errol vient de passer le stage du 40 et nous concotte du suspence pour le suivant 41!
Henri-Julien Steve se repose sur la table le chat lui aussi se concentre sur ça.
ceci n’est pas un échec mais une partie d’échec!
Jean-Luc avec sa blonde chez moi il y avait longtemps que la visite se trouvait au point mort et grâce à la vie ces deux personnes on rompit ce silence de mort.
Aimé être avec toi collé quel bonheur Jean Luc. Moi aussi tes caresses répondent à mon besoin qui est d’être avec toi. Je t’aime.
Il fait son Rolling Stone, bien avant que ne sorte cette image représentant le Groupe Anglais.
Je suis enfin arrivé !
hop la tête me tourne je ne sais pas comment ça. J’entre ou je sors? Les questions comme celle-là je dois inventer la réalité mon ami Moustafa.
je le vois je dormais et mon aventure continuait encore malgré la fatigue.
Je sais que tu as plein de moments dans mon calme.
Je viens de redécouvrir le bouton à quatre trous. C’est une farce pour donner un sens à ce texte qui semble pas mal décousu mais cela était vraiment mon état. Quelle heure il est maintenant Errol ? Bien en ce moment il est six heure cinquante neuf du matin. Je peux comprendre le décalage entre le moment de la prise et celle de l’écriture. Je comprends.
Un beau moment cette page de ma vie. J’imagine une personne assez proche de moi pour me coucher sur photo et la laisser dormir des années et la ressortir et voir et lire ce que ces moments donnent à l’imagination du photographe devenu pour la cause écrivain narateur de l’histoire de ses gens disparus.
.Steve le lecteur de ma gagne assis dans la chaise du roi sous la lampe me refait vivre l’Amour du présent de ce temps là.
Le métro cette nouvelle aventure pour un régionaliste du Saguenay. Les visites fréquentes me permettent de croquer ces images.
Marcheur du métro dans son habit et chapeau comme Chapeau melon et botte de cuir cette émission de mon enfance sur du surréalisme d’après guerre et durant la froide que l’on appelait pour la distinguer J’écris pour la distinguer un drôle de mot pour une aventure pas trop distinguée Errol tu dois changer le terme pour ne pas te le faire reprocher. Je pense à trouver un mot. Tiens, je l’ai. Je vais l’appeler l’après cauchemars.
Je suis l’acteur de cette émission.
J’en suis sorti de ce métro. Salut je te souhaite une belle journée remplie de joies et d’espoirs.
Merci à toi preneur de souvenir pour le vingt et unième siècle. Si tu regardes tu me verras encore bien vivante. je sais que la vie se refait toujours en neuf à chaque instant. Le mouvement de la vie : l’arrivée, départ.
Tiens tu lâches pas toi avec ta manie de cliquer sur le moment présent qui se présente devant toi et ta caméra.
Prends pas ma bouteille dis rien.
je te joue un tour!’ non c’est une tour dans un jeu d’échec. Bien j’aime la tournure de phrase c’est un bon tour en parlant.
Je suis dans le bonheur de l’excitation en découvrant une nouvelle proie.
Un autre tour de passe passe avec cette bouteille.
Je te tiens ne te sauve pas reste un peu.
ho le beau jouet.
Steve s’est endormi et veille au bonheur
La petite chatte en boule sur la table
je frissonne.
Il se passe toute sorte de choses dans mes idées. Aide-moi je veux en sortir.
Je les regarde depuis quelques temps y dorme vraiment ces deux là.
Tu as raison Caron de vrai bébé après leur biberon.
Je ne m’en fais pas la bière est pas mal bonne.
qu’en dis tu Johnny?
Je me suis souvent rendu à ce niveau avec la vie. Mais c’est plein de plaisirs et de découvertes cet état.
Je me cherche un job Patron ! J’ai entendu que tu cherchais un bon water?
Je suis en méditation avec la vie.
Petit ! c’est une pensé bien à eux ces taverniers Bien oui Forcier. Tu parles comme une personne à part de nous. Ça fait pas longtemps que je te connais et tu as passé toi aussi sous la table eh eh eh.
Bien tu a Raison et je me prépare une autre fois.
Tu te prélasses comme le roi de la taverne Jos. Bien oui on est une belle gang
Cette table est comme ma propriété depuis que je viens ici et la chaise aussi.
Le cigare est meilleur que la cigarette. Alors je fume de ce qui me fait le plus de plaisir.
Je vais vider mon réservoir il est plein.
Je me roule une cigarette. Un petit verre Johnny dit André? Bien sur Forcier répondit ce dernier en immobilisant son activité.
Encore dans ses scénarios Forcier. J’en ai plein la tête tu en sais quelques choses Johnny avec tes histoires. .,
Qui s’assemble se ressemble quand penses-tu Caron ? Un instant je vais y penser c’est vraiment exact.
Vous avez raison avec vos bla bla crie joyeusement le tavernier au coin avec sa Molson.
L’autre avec sa draft se pose des question et de fortes interrogations c’est quoi qui se passe à cette table?
Celui en uniforme glisse un mot a son voisin.
Ostie que c’est plat ces répliques-là. Je suis ici pour avoir la tête occupée à autres choses que de contester.
Mets-en pas trop tu charries pas mal. Rajoute Jean.
Je ne m’en mêle pas je ne bouscule rien je prend une bière qui m’a mènera là où je doit être. Point final. Bonne idée Caron.
J’ai le toupet un peu tout croche. Je commence à sentir l’état de Froster. Je pense que je prend le fixe sur je ne sais plus quoi.
les vapeurs embrouillent ma vision.
Je me trouve encore en parfait équilibre.
J’en rie car je l’ai l’affaire.
Je me sens la tête pesante.
Pour ma part je vacille dans mes pensées.
Je me lève et me dirige vers la toilette tout éméchée.
Drôle d’allure avec tes barniques Errol. ça vaut une photo. Pour mon équilibre je préfère assis.
J’ai rien à dire je m’occupe de moi. Le cigare est pas mal bon et je le déguste.
J’ai rien à dire je m’occupe de moi. Le cigare est pas mal bon et je le déguste.
Tout va bien dans le meilleur des tavernes et en ce moment la vie roule à merveille.
À la vôtre les semblables.
Avec des tournures comme ça dans les événements de la vie Je peux plier sur les plies de celle–ci. L’effet de le faire procure du bien, L’autre coté de ces plies une autre surprise la vie encore.
Vite le trentièmes contact de cette nouvelle vie de ce rêveur photographe.
Les pieds de groupe c’est bon signe hé les frères lance Myriam. Il manque ceux de Jean et ceux de Maman réplique Louis.
Pieds poilus pieds sans poil pieds généreux pieds d’orteil rondelets, pieds croisés pieds parallèles pieds tout court
Ma maman dans son meilleur de vie tous ses enfants vivant sont là.
Steve et même le chien Stone est là Louis le bébé sirote un petit apéritif.
Tu penses ça Errol ? Je pense ça Louis.
Une table de fête brille dans cette cuisine qui m’a vu entrer et sortir plus d’une fois. Ce soir là c’est je pense une des dernières présences dans cette maison. Je me suis envolé du nid depuis quelques années et là la vie va donner un autre chemin à cette famille.
Tient les enfants le party des fêtes prend son envol. Je suis heureuse de vous recevoir tous l’un comme l’autre. J’ai fait une grosse cérémonie hein les enfants? Tu as raison Maman j’aime ça quand tu es comme ça. Plein d’entrain et de joie on le ressent toute la gagne. Je t’aime Maman . Y faut que je rajoute:
On t’aime Maman. On t’aime Maman. On t’aime Maman. On t’aime Maman.
Bien oui je fume encore je me pense plus agréable même si je suis gelé.
Je constate que ces mots dépeignent vraiment notre état après un joint. C’est drôle de préférer la frette au lieu de la réalité.
Maman regarde il y a de quoi dans mon cœur. Je t’aime je voulais te le dire. Tu fais ton drôle Louis ! Ben non c’est vrai que je t’aime Maman.
Moi aussi Maman je t’aime ça fait longtemps que je ne te l’ai pas dit. Je me reprend aujourd’hui Je T’aime Maman. On me dit qu’il n’est jamais trop tard pour le dire.
Moi aussi j‘aime Maman et merci pour ton Amour à la Germaine. Merci Myriam si tu savais comment je t’espérais.
A chaque enfant je pensais que c’était toi une belle fille.
Toujours sérieux Errol trop loin toi aussi ? Je ne savais pas que j’avais l’air de ça quand je pense.
Bien merci de me le dire je vais me refaire une petite air de joie. Tout se passe dans la tête
Un petit verre a votre santé.
Les Adidas était la marque même dans ce temps-là.
Louis tu es dans tes pensées. Tu as l’air pas mal lointain.
Merci de m’aider Myriam les garçons vont faire la vaisselle comme dans le temps. Le film de cow boy c’est bien les gars?
C’est bien banal, le bon, gagne , comme toujours dit Steve avec son entrain
Un bel homme ce Steve lui aussi dans ses idées de grandeur.
Maman vient voir comme c’est drôle. Je n’ai pas le temps les enfants Est-ce que je vais pouvoir m’asseoir au bout de la table comme quand je restais ici?
Bien pas pour ce soir louis à préférence maintenant y reste ici lui.
Moustafa va venir avec Duchêne après souper ok Maman demande Jean
Bien oui j’ai la tête lourde.
C’est difficile de se concentrer sur ce jeu.
Merci
Un sucre à la crème les enfants? Bien oui je sais bien Maman.
As tu vu mon brodage Errol ? C’est beau Myriam.
Fait le beau Stone pour la caméra.
Tient mon petit chien Stone je t’aime beaucoup.
Ce passage de cette description d’une partie d’une vie que chacun vive chacun à leur manière ne met pas une fin à cette répétition d’année en année qui se passe depuis la nuit des temps.
Une autre belle aventure de sortir de chez moi et expérimenter mon œil aux évènements de la vie.
Le froid s’installe pour tout le monde dans ce beau pays le Québec uni dans ce grand Canada qui comme le dit la devise s’étend d’un océan à l’autre.
Où veux-tu en venir?
Je vais vous parler de cette photo et du pourquoi dans ce Québéc. Un moment donné la vague de séparation bourgeonnait dans tous les humains du coin de cette planète.
Ce matin il est dans mon cœur l’heure de dire ça. Ça va me libérer du fardeau de la langue.
Ici on parle le français et tout ce qui nous entoure est dans un autre langue rien de très grave mais … La loi 101 Houpi. Je peux écrire et m’exprimer en Français aujourd’hui grâce au bienfait de loi 101.
Ce sont les années 1972. Plein de choses, d’événements battent le fer. Dans ma région peu de langue autre que celle parlée par la majorité. Même les radios sont plutôt Français de france.
Alors le choc est là.
Je vois et j’écris ces mots pour dire une situation. La rue Maisonneuve coin Amherst est achalandée pas mal pour ce temps de l’hiver
Les autos roulent déjà à sens unique. Au coin de la rue les gens attendent
On me voit et on me surveille Les autos roulent déjà à sens unique. Au coin de la rue les gens attendent
On me voit et on me surveille. Pas si vrai que ça pour la surveillance car le photographe est tenace et les prises avec sa caméra produisent des réalités différentes les preuves se voient avec ces deux photos. L’action parle du changement que la vie fait vers l’avant.
Je revoie aussi en 2020 ces écriteaux et la question se pose toujours dans ma tête pourquoi parler Français? Voilà, the cat est sorti de sa cachette
Les cartes sont mêlées
Pas besoin d’auto. aujourd’hui je marche au soleil de l’hiver quelle joie.
On se dirige vers le magasin Dupuis et Frères qui depuis bien des lunes ne fait plus parti des édifices dans l’est
Il y a plein de sens unique dans le centre ville. Nous avons pris notre marche et rentrons chez nous dans cet édifice. La marche fut très bonne et plein de gens remplissaient les trottoirs et les magasins.
Rue Papineau Francine prend l’autobus pour aller travailler à l’Hôpital Notre Dame sur Sherbrooke non loin de Papineau en face du parc Lafontaine.
Je retourne chez moi et la petite chatte est dans ma chambre sur la pile de disques et ronron
Comme toujours. Je flâne dans le Carré St-Louis à la recherche de bonnes prises. Le soleil brille dans mon objectif. Les vieilles maisons du quartier gris de manque de lumière rayonnent de leur mieux.
Au centre du carré des gens s’amusent à vivre l’hiver Québécois.
le banc et la neige déguisent le Carré St Louis .
Le soleil réchauffe les aventuriers et aventurières de la saison du froid.
Le spectateur est le preneur d’images caché dans son manteau et derrière la boite à lentille. Le parcomètre en silence attend avec impatience l’auto qui voudra bien leur tenir compagnie et même lui raconter quelques histoires de la belle saison du blanc.
Bien oui il me fait plaisir de marcher dans le froid. Je découvre des gens qui se débrouillent très bien eux aussi avec cette température.
Cet homme se dirigeant vers la rue Sherbrooke me sourie malgré mon accoutrement de tripeux regardant dans un troisième œil. Un petit bonjour en passant solidifie son plaisir de me voir dans sa journée.
Plus loin prenant garde de ne pas glisser Madame Truchon me lance en farce. Encore dans le voyage du découvreur de la ville mon garçon. Bien oui je lui lance en cliquant pour la saisir jusqu’à aujourd’hui Ma farce est bonne hé Madame Truchon
Je l’entends me dire bien oui Errol.
Toute est figé au coin de Amherst et Maisonneuve annonce la radio centre ville. Au coin le char penche de froid. La neige peinture le coffre arrière et les roues tournent carré et l’échappement bourdonne étouffé par le carbone.
Ce sera la une du journal de Montréal dans un avenir pas bien loin chez Bouchard le restaurant sur Maisonneuve de l’ancien joueur du Canadien Bouch Bouchard mon espoir dans ce monde va passer et moi aussi. Marcher dans les rues de ma ville à mon âge c’est heureux.
Chacun son chemin en ce moment ce chemin est avec toi et moi je figure dans l’histoire.
Caché pour mieux passer inaperçu dans ce coin de la ville. Mais en observant on la voit bien cette femme. Elle enveloppe le monde qui la regarde.
Je me demande ce qui va se passer ? Ils vont faire un autre plein d’essence.
Encore là une langue qui envahi mon coin de rue ST …
Pas d’auto ni rien encore une petite frette pour le chemin
Le chat à Francine
Je ne sais pas ce qui se passe je le vois un peu plus Je dois me préparer. Il sera là une proie facile à attraper.
A non encore une grosse accumulation de neige dans la rue. Au fil des journées, c’est plaisant de pouvoir immortaliser cette montagne et ce champignon d’hiver
C’est samedi comme aujourd’hui. Ce matin je suis dans l’atelier et mes mots se couchent sur la feuille de l’ordinateur.
Les portes sur la rue se ressemblent. Mes mots coulent de l’encrier du déjà écrit.
Le phymouth ce beau gros char est silencieux .Tout autour le bruit du samedi fait rage. Ce matin tout comme ce jour du passé le son du samedi faisait du bien l’autoroute était presque silencieuse et les quartiers-dortoirs sommeillaient.
Je me lève tôt pour avoir une longue journée. Je marche beaucoup comme livreur de journaux. Je gagne mon quotidien. Je me surprends à compter les marches durant mes livraisons. Souvent les gens m’attendent pour avoir les nouvelles et m’accueilent avec un beau grand sourire.
Un autre beau mot Barber Shop. La loi 101 ouvrit l’existence à la langue Française (Québécoise).
La marche du chien ?
Tu gagne le pari.
La rue St Denis donne quelques bourgeons de cet arbre la langue de chez-nous mon oncle antoine de Jutras est à l’affiche du St-Denis à côté le Vidéographe de la bonne époque en face le St-Malo et l’Alternatif pour la musique.
Je ne sais pas ce qui vient de se passer. Tout est difforme et le sourire rayonne. Je viens de rencontrer un ami qui m’a parlé de toi et ta gang qui venait du Saguenay. Moi aussi je suis natif de Jonquière.
Il parait que tu ne connais rien de la photo et que tu pratiques cette art par instinct?
Bien oui ! Un cadeau de la vie. Je me permets de rêver d’être un grand de la vie quotidienne.
Me promenant dans cette ville des surprises autres que les hommes attirent mon attention et cette arbre sortant à travers des maisons et édifices m’a fasciné.
Un coup du regard inventif transforme.
Les chemins inventés se gravent dans le temps et les routes parsemées de ramifications conduisent droit dans le temps.
Vraiment incroyable dans le ciel ces branches tortueuses tracent des chemins pour celui ou celle qui se laisse transporter par sa présence grandiose.
4 Gros trèfles à quatre feuilles furent installés sur la rue.
Cee décor semble tomber du ciel pour dire à la vie que tout va bien et que chacun développe le temps de rire quand le besoin se fait sentir. J’affirme que c’est toujours le temps pour rire de un peu à beaucoup. Le Bis peut rester là.
Jeune homme que te prépares-tu à faire comme coup?
Je me vois encore en train de marcher . Tu as raison je le vois dans le futur
J’apprends que dans la vie on passe comme en ce moment : un regard, une pensée, un geste, une parole tous ces actions sont captés par un clic. Chacun transforme ses perceptions
Mes rêves sont loin et pas tant que cela. Je vais facilement traverser le temps grâce à cette photo
Les portes de la rue et mon regard et le chapeau que je traîne depuis le temps de ma jeunesse.
un petit coup de canne dans la neige solidifie ma marche vers chez moi
Je me permets de sortir. Un bon café au restaurant chez Bouch un vieille ami. C’est son fils qui tient le restaurant son père prend un verre avec les amis et fait de parlage. C’est quand même le patron et mon ami.
Dans la neige des trottoirs déneigés je me déplace très bien. les autos sont à surveiller car on à le…
des objets nécessaires dans une ville peuplée de plus en plus
Une vie autour de chez Dupuis Frères un souvenir. Qui se rappelle de cette époque? Taverne et hôtel les lieux de la culture. Le rassemblement se faisait autour de la draff (bière en fut).
Aussi le restaurant de l’ex joueur du Canadien Bouch sur la rue Maisonneuve près du terminus d’autobus de Berri de Montigny.
Moi je suis ici depuis belle lurette. J’ai fait comme tout le monde la campagne ne me disait rien j’y avais passé mon enfance. Une terre de roches pas bon pour élever des enfants.
Je viens de st-Enclin village du Québec en évolution et en disparition de nos jeunes.
Gros char et même une chanson qui prône le char de Casinade Si j’avais un Char.
On parle de la consommation en 2020 imagine en 1974 la fin du rural pour le ville plein de circulation dans les autoroute qui amenaient ces fermiers au bercail pour la nuit qui leur donnerait la chance de se reposer.
L’imagination à été dépassée par la réalité. Il faut le faire. Imagine ton futur ..
Le décor de la rue est paisible et calme.
Un escalier et bien d’autres se respectent et se dévoilent et laissent leur accessibilité aux curieux
Un camion orne le trottoir entrée dans les petites entrées et sortie des édifices de la rue.
Que vas-tu inventer encore avec ta caméra. Je sais tu vas parler du futur passé.
Une livraison déjà faite et la journée commence. Tu sais peut être pas j’achève. A l’heure que j’ai commencé ce matin , je suis en avance sur toi.
Le bas de la côte de la rue St Denis rempli de repos.
Je marche vers chez moi pour aller lire mon journal.
Aucune activité ne semble perturber le calme des mansardes de la rue .
Escalier en escalier la ville se peuple de ces entrées aussi spectaculaires que la diversité des gens qui l’imagine.
Allongeons le temps et laissons la vie faire son chemin sans attendre que du repos.
Il y a toujours de quoi dire sur un coin de rue quand tu analyses l’architecture. Dans ces années-là c’était ça mais aujourd’hui bien de ces maison ont changé et même disparues pour une autre forme de bâtiments. Une chose est certaine la rue est toujours là les arbres ont poussé où sont disparus aussi tu sais cinquante années change.
Ce qu’il y a d’agréable dans ces précisions je les sens et elles me remplissent de bonheur.
Considère ça un cadeau d’Un humain à humain .Gros Merci de vivre toi aussi sur la terre et que la vie t’intéresse. Cette histoire est l’histoire de ceux qui vivent et prennent le temps de regarder.
J’ai pris le contrôle de ma destinée je sors quand je veux et le froid me fait que du bien.
Une autre journée croquée pour la postérité. J’arrive de travailler. Je me posais une question:
Comment la vie pourrais faire pour que je sois encore là dans cinquante ans?
Une réponse facile pour moi aujourd’hui bien une photo pour les archives de Errol. C’est fait et ce 24 du 2020 je repart pour un autre temps dans la mémoire de la vie .
En plus avec la technologie tu peux jouer avec le photo. D’une prise général me voici un gros plan. Je sais que c’est ta spécialité. Tu fais bien ton métier.
J’ai un peu le look d’un intellectuel. Bien j’en suis un
J’aime marcher et vivre mon quotidien dans la ville.
Une belle Valiant passe au même moment quel souvenir.
Le carbone produit ses effets à un certain froid. Les voitures et les camions se transforment. Ce coin diffère de St Denis entre Ontario et Maisonneuve.
Vroum vroum le son se fait sourd. Le sens est à double sens .
Je trouve cette rue tranquille et surtout à cette heure-ci
Quelques personnes déambulent sur le trottoir. Le calme de cette neige laisse la buée décorer le visage des gens qui respire ce temps hivernal.
La rue Carré Vigé et sa circulation en attente. On entend le son des tuyaux d’échappement.
Le silence des édifices bondés de gens jacassant sur la vie et ce qu’elle va devenir. Surprise disent l’un et l’autre écoute les prédictions accablantes.
Ce coin sera toujours gravé dans la mémoire des gens qui ont eu à attendre sur le feu de circulation de cette partie achalandée.
Les rues se ressemblent tous comme toi et moi. Nous avons tous des folies de grandeur
Un petit coin qui décorait le centre de la rue St Denis sur Ste Catherine.
regard l’autre coté un homme
on attend toujours cette lumière qui vient pas bien vite Je suis prêt
maîtresse j’ai la bougeotte. Je me sens passionné par la transcription des textes de chaque contact. Je glisse mes doigts sur le clavier comme dans une pente de la montagne. J’aime ces petits mots vagabonds. Voici le 28.