Tient un autre lettre va bien paraître sur l’écran semble dire Jean
C’est drôle. Je retrouve des moments oubliés dans le temps. Ces sentiments viennent du fait que des instants se composant de jours même d’années se dévoilent calmement. Ils se reposent sur les bancs de la vie.
Soudain un doute s’installe, comment continuer cette histoire si bien remplie de photos. Alors je les regarde simplement puis je lance mes doigts sur le clavier qui fait jaillir un jet de mots se lisant très bien. Je peux dire c’est partie. Ce qui me saute aux yeux c’est Jean devant son collage pour le scénario de la tête au neutre. Sa caméra Bolex sur un trépied dans son salon sur la rue St Denis.
La solidité du trépied se révèle très utile pour le sujet du travail dans le cinéma la caméra.
Sans répit le penseur doit montrer en extériorisant dans la matière sa pensée. Le collagiste se perfectionne d’œuvre en œuvres.
La concentration fait voir Jean comme un créateur sérieux. Le voir manipuler ses petites lettres de toutes sortes de couleurs pour illustrer le générique de son œuvre cinématographique.
Au même instant l’écoute du poste de radio Ckoi – fm cette sonorité underground diffuse de la musique qui fait voyager. C’est loin de la musique de la radio de par chez nous. Un merveilleux voyage (trip) comme on s’amuse à dire pour des aventures exceptionnelles qui se présentent dans notre vie.
Je cherche encore ce contact
Hugues Tremblay à la Bolex chez Jean et Louise rue St Denis en 1972 une recherche intense m’est demandée afin de trouver le contact où ce négatif fut extrait. Je cherche encore dans cette deuxième lecture.
Je suis un vestige du passage du Cliqueur dans la rue ce jour-là.
Durant je cherche cette caméra qui parait sur le contact et qui ne se trouve aucunement dans la numérisation. Une chance que j’ai encore les contacts.
Je suis entrain de faire le contact numéro 257 qui parle de taverne St Hubert avec les photos de la campagne en se rendant à St Paul L’Ermite.
Je continu mon voyage sur cette feuille et découvre un instant ou Jean marche derrière un couple dans une ruelle que je vous affiche là
C’est vraiment une aventure incroyable de se voir dans l’action d’une marche qui se faisait il y a bien des lunes dans ce pays de Montréal.
Je voie une madame dans le parc avec un sac elle regard dans les arbres elle est en
action à la recherche des écureuils ses amis.
Je la sens en contact avec ses habitants du parc Lafontaine. J’entends son appel.
Allez les petits c’est l’heure de manger.
J’observe ce qui se passe dans les arbres et c’est beau autour de moi.
Les zigzags des bassins du parc Lafontaine inspirent les promenades.
Je suis heureuse de te voir mon petit je t’aime semble lui dire la femme avec son sac.
Toujours réservé le petit. Chaque jour tu me crains et je te donne de quoi manger. Merci dit silencieusement l’inviter au festin.
Bien oui c’est déjà le départ à demain.
A tu vu le monsieur avec ça caméra?
J’ai aussi la gang d’adolescent qui se dirige vers je ne sais où et qui m’inspire pour trois clichés que voici
Comment se fait-il que nous soyons encore dans cette histoire? Je vous répond parce qu’un jour mes pas on rencontré les vôtres.
Encore une victoire ce soir ?
Je sais où je vais .Mon club est tout le monde le sais. Moi j’ai d’autre aspiration plus tôt cow boy. Je suis très expressif. Je le sais tu est très transparent.
Tu es un très bon ami. Je suis fière de te connaître et toi aussi la tuque.
Je sais il faut toujours regarder un photographe et sourire.
Une fierté exclusion à la vie cette fille dégage. Son sourire me charme un clic pour le montrer me fut nécessaire. Un modèle pour un photographe du quotidien se prend quand il se présente. En voilà un.
ils se dirigent dans la foule des inconnues.
Ils sont une bonne gagne qui son poster à l’arrêt du bus sur la rue Cherrier. J’aime voir l’arrivé du où des sujets qui se présentent dans mon scénario de la vie.
Sur le bord de la rue un auto passe et plein de gens attendent le transport en commun.
Sur le trottoir près du métro
Les édifices de la ville restent. Les gens disparaissent et d’autres les remplacent.
Ça tourne, c’est un sens unique . On doit faire vite. Pas le temps de flâner en traversant
Je dois regarder parterre car l’autre jour je me suis enfargé dans le trottoir, aucune blessure. Je voie que tu fais attention terriblement. Bien oui il le faut .
Rue Mentana au coin de Cherrier. Plus loin il y a la taverne du même nom.
La publicité s’affiche je vais entré voir ce soir en revenant du travail.
Je voie les flèches qui me pointent une direction qui va contre la mienne. Quoi faire je veux allez chez moi mais avant je vais me rendre à la taverne au coin St Denis et Cherrier
Les lignes doubles sur le chemin de la taverne. Les suivrent sans faire de détoure c’est ti possible ça?
Je serai bien si je me promenais avec mon chien seulement sur la rue et le dresser à porter
mes paquets.
Moi c’est déjà fait je l’aime tellement il se trouve près de moi. Il a de la classe trouve tu pas? Je le trouve unique surtout ici.
J’essaie de voir les gens dans ce bus. Comme toujours j’ai oublié d’ouvrir l’ouverture de mon objectif. Il se trouvais sur l’automatique donc sur la lumière de l’extérieur de l’autobus non avec celle du l’intérieur on nomme ça le contre jour. J’ai du faire plein d’essaies pour te dire ce manque d’expérience comme preneur d’images.
Une plongé dans le la côte grâce à la disposition de ma caméra. Une autre expérience qui la vie me donne. Chaque moment nous envoie vers un instant inattendu.
Au chien tu te rends où? C’est la rue Berri il y a beaucoup de trafic.
J’entre chez moi j’ai été laisser dans un coin que je ne connais pas.
L’amour crée
Beau quartier …
Je marche puis les gens m’inspirent par leur bonheur, leur questionnement.hé oui par le contact suivant #9