Tient un autre lettre va bien paraître sur l’écran semble dire Jean
C’est drôle. Je retrouve des moments oubliés dans le temps. Ces sentiments viennent du fait que des instants se composant de jours même d’années se dévoilent calmement. Ils se reposent sur les bancs de la vie.
Soudain un doute s’installe, comment continuer cette histoire si bien remplie de photos. Alors je les regarde simplement puis je lance mes doigts sur le clavier qui fait jaillir un jet de mots se lisant très bien. Je peux dire c’est partie. Ce qui me saute aux yeux c’est Jean devant son collage pour le scénario de la tête au neutre. Sa caméra Bolex sur un trépied dans son salon sur la rue St Denis.
La solidité du trépied se révèle très utile pour le sujet du travail dans le cinéma la caméra.
Sans répit le penseur doit montrer en extériorisant dans la matière sa pensée. Le collagiste se perfectionne d’œuvre en œuvres.
La concentration fait voir Jean comme un créateur sérieux. Le voir manipuler ses petites lettres de toutes sortes de couleurs pour illustrer le générique de son œuvre cinématographique.
Au même instant l’écoute du poste de radio Ckoi – fm cette sonorité underground diffuse de la musique qui fait voyager. C’est loin de la musique de la radio de par chez nous. Un merveilleux voyage (trip) comme on s’amuse à dire pour des aventures exceptionnelles qui se présentent dans notre vie.
Je cherche encore ce contact
Hugues Tremblay à la Bolex chez Jean et Louise rue St Denis en 1972 une recherche intense m’est demandée afin de trouver le contact où ce négatif fut extrait. Je cherche encore dans cette deuxième lecture.
Je suis un vestige du passage du Cliqueur dans la rue ce jour-là.
Durant je cherche cette caméra qui parait sur le contact et qui ne se trouve aucunement dans la numérisation. Une chance que j’ai encore les contacts.
Je suis entrain de faire le contact numéro 257 qui parle de taverne St Hubert avec les photos de la campagne en se rendant à St Paul L’Ermite.
Je continu mon voyage sur cette feuille et découvre un instant ou Jean marche derrière un couple dans une ruelle que je vous affiche là
C’est vraiment une aventure incroyable de se voir dans l’action d’une marche qui se faisait il y a bien des lunes dans ce pays de Montréal.
Je voie une madame dans le parc avec un sac elle regard dans les arbres elle est en
action à la recherche des écureuils ses amis.
Je la sens en contact avec ses habitants du parc Lafontaine. J’entends son appel.
Allez les petits c’est l’heure de manger.
J’observe ce qui se passe dans les arbres et c’est beau autour de moi.
Les zigzags des bassins du parc Lafontaine inspirent les promenades.
Je suis heureuse de te voir mon petit je t’aime semble lui dire la femme avec son sac.
Toujours réservé le petit. Chaque jour tu me crains et je te donne de quoi manger. Merci dit silencieusement l’inviter au festin.
Bien oui c’est déjà le départ à demain.
A tu vu le monsieur avec ça caméra?
J’ai aussi la gang d’adolescent qui se dirige vers je ne sais où et qui m’inspire pour trois clichés que voici
Comment se fait-il que nous soyons encore dans cette histoire? Je vous répond parce qu’un jour mes pas on rencontré les vôtres.
Encore une victoire ce soir ?
Je sais où je vais .Mon club est tout le monde le sais. Moi j’ai d’autre aspiration plus tôt cow boy. Je suis très expressif. Je le sais tu est très transparent.
Tu es un très bon ami. Je suis fière de te connaître et toi aussi la tuque.
Je sais il faut toujours regarder un photographe et sourire.
Une fierté exclusion à la vie cette fille dégage. Son sourire me charme un clic pour le montrer me fut nécessaire. Un modèle pour un photographe du quotidien se prend quand il se présente. En voilà un.
ils se dirigent dans la foule des inconnues.
Ils sont une bonne gagne qui son poster à l’arrêt du bus sur la rue Cherrier. J’aime voir l’arrivé du où des sujets qui se présentent dans mon scénario de la vie.
Sur le bord de la rue un auto passe et plein de gens attendent le transport en commun.
Sur le trottoir près du métro
Les édifices de la ville restent. Les gens disparaissent et d’autres les remplacent.
Ça tourne, c’est un sens unique . On doit faire vite. Pas le temps de flâner en traversant
Je dois regarder parterre car l’autre jour je me suis enfargé dans le trottoir, aucune blessure. Je voie que tu fais attention terriblement. Bien oui il le faut .
Rue Mentana au coin de Cherrier. Plus loin il y a la taverne du même nom.
La publicité s’affiche je vais entré voir ce soir en revenant du travail.
Je voie les flèches qui me pointent une direction qui va contre la mienne. Quoi faire je veux allez chez moi mais avant je vais me rendre à la taverne au coin St Denis et Cherrier
Les lignes doubles sur le chemin de la taverne. Les suivrent sans faire de détoure c’est ti possible ça?
Je serai bien si je me promenais avec mon chien seulement sur la rue et le dresser à porter
mes paquets.
Moi c’est déjà fait je l’aime tellement il se trouve près de moi. Il a de la classe trouve tu pas? Je le trouve unique surtout ici.
J’essaie de voir les gens dans ce bus. Comme toujours j’ai oublié d’ouvrir l’ouverture de mon objectif. Il se trouvais sur l’automatique donc sur la lumière de l’extérieur de l’autobus non avec celle du l’intérieur on nomme ça le contre jour. J’ai du faire plein d’essaies pour te dire ce manque d’expérience comme preneur d’images.
Une plongé dans le la côte grâce à la disposition de ma caméra. Une autre expérience qui la vie me donne. Chaque moment nous envoie vers un instant inattendu.
Au chien tu te rends où? C’est la rue Berri il y a beaucoup de trafic.
J’entre chez moi j’ai été laisser dans un coin que je ne connais pas.
L’amour crée
Beau quartier …
Je marche puis les gens m’inspirent par leur bonheur, leur questionnement.hé oui par le contact suivant #9
Quelle gracieuse découverte que ce corps inconnu dissimule.
Une autre aventure du jeune photographe dans son expérience sur la photo de nu dans son studio improvisé. J’ai travaillé comme je pouvais avec mon expérience.
Un moment de calme une question se pose? L’ombre sort du noir sous la lumière.
Faire face au regard de l’inconnu avec son désir de bien montrer la surprise des détails.
Un souvenir reprend vie dans un moment de recherche. J’ai trouvé. Je veux parler de la réponse mais les mots ont encore disparu. où? Les réponses vagues font pareilles. Elles poussent sans arrêt à des solutions inattendues.
Une petite poussée vers le bonheur aide la vie celle-ci grandit. Je retiens mon soupir je suis plongé dans l’espoir de la bonne photo. Chaque clic me redonne le sourire de réussir. La séance va bon train.
Un sourire de Suzanne me redouble de précision pour aller chercher les formes que je cadre. Entre les cuisses le sexe féminin se dessine. La jambe poilue caresse le ventre, la lumière sur le genou signe l’éclairage.
La communication avec les sujets se trouvant dans toute leur nudité m’envoie dans le désir. Sexualité reste un tabou malgré toutes les libérations. Je me pose des énormes questions? Tu m’aimes tu? Où bien j’ai le goût de partager de la douceur. Le sexe féminin fait rêver l’homme que je suis.
Les seins, une partie du corps tant observée par les (hommes) car cette partie de l’anatomie féminine brille par son absence chez nous l’homme. Je n’engage aucunement la gente masculine je dois spécifier pour moi le mâle qui découvre, par ce modèle, sa forme moulée par des vêtements en toute occasion dans la vie de tous les jours.
Ce contact fut pour moi un dépassement de l’homme et une entrée dans l’art avec mes connaissances et mes moyens de faire un œuvre artistique de cette séance dans l’atelier improvisé sur la rue Henri Julien en 1972 à Montréal. Ces deux personnes prêtes à jouer les grands modèles venaient de mon pays la région du Saguenay.
Je dois réaliser qu’on ne s’improvise pas comme photographe qui veut. Cette réalité vaut pour toutes autres arts. Je peux dire et affirmer que je l’ai fait cet exercice qui m’a rapporté cette quantité de prises de vues uniques même historique car ces aventures ne sont qu’images preuves qu’elles se sont bien passées dans la vie. Je le fais comme écrivain en ce moment ou plutôt 🙁 diseur, raconteur, historien d’un épisode de ma vie, la mienne, tout ça par écrit. Cette histoire est celle de ceux jouant les personnages en passant simplement dans mon présent. Ma caméra leur donne la chance de vivre dans cette histoire maintenant.)
Quoi dire sur cette image? Je suis à la recherche de la pose qui dit tout sans les mots ni la parole elle parle des reflets de la lumière sur son corps sur ce plancher de bois franc de cette appartement qui se prête à notre jeu pour la réalisation de notre projet d’œuvre d’art avec corps nus
La lumière tombe sur ce que je dois montrer.
En regardant cette prise je remarque une vie intense dans la lumière.
Même les fesses dégagent une rondeur cachée par les vêtements qui nous enveloppent
Une tache blanche sur ton de gris et noir de l’absence de couleur.
Je suis observateur je dois réagir en cliquant aux poses du modèle
Je regarde, clic, sortir le meilleur de la vie du quotidien
Un bon moment de repos et un sourire qui donne confiance.
Je m’exerce à la souplesse, merci de m’aider mon ami Steve, lance Suzanne dans cet exercice. On peut s’imaginer, que même modèle c’est facile, qui veux peut. Il faut de la ténacité. J’ai fait beaucoup de prise du quotidien dans les années 1972 à 1976 dans un environnement bien spécial une création collective autour de la vie par moi et ceux qui vivaient le même rêve.
Pause
repause
Dans cette aventure un souvenir visionnable existe pour les clichés visibles. C’est là que l’expérience entre petit peu par petit peu.
Dans mon fort intérieur de belles photos claires et tout ceux que l’on peut voir des autres sont visibles dans leurs rétrospectives.
Dans mes archives plein de nus faits avec ma conjointe F.D. sont clairs, très bien réussis mais avec Suzanne et Steve très peu ont vu le jour le contact 7 est le succès atteint.
Un regard franc dans les yeux la poitrine bien là pour la vie.
Dois-je me déclarer comme un super photographe après peu de cliché. Je me suis surpassé. Rien n’est sorti comme je voilais mais je suis fier de mon expérience. Pas de lumière. Bravo pour mes modèles. Ils furent créateurs.
Je dois refaire du travail de nettoyage et du recadrage sur le négatif.
J’ai eu la chance de faire des prises photographiques comme ça, bravo, ils sont faits.
Cette expérience a nécessité une grosse soirée pour trois personnes.
Comme je vous l’écris les efforts de ce travail montrent une surprise qui se constate. Il faut que je précise il y a d’autres clichés de cette séance de nu qui vont suivre. Je vous reviens plus tard.
Une de ses brises a paru dans un article de Patrick Straram dans Hobo –Québec revue alternative dirigée par Claude Robitaille
Le jour de gloire est
Arrivé avec le début d’une nouvelle journée qui nous et me réserve plein de vie. Je me prépare a la correction du contact #8 bonne lecture.
Je vous présente le contact numéro six. Pour votre connaissance de comment est venu de coucher ses instants de la vie. Je vais vous les décrire un petit peu.
Montréal sur le coin d’une rue dans l’ouest se trouve cette dame qui semble comme moi ne pas savoir de quel pied dansé. La main sur la tête elle scrute la situation. La lumière devient verte. Au diable le trottoir barré de l’autre côté je prends le chemin tout droit.
L’homme regard au loin. Tient se dit-il; c’est un autobus pour Chicoutimi qui se prépare pour le départ. Comme dit la chanson j’ai eu ben du fun à (Jonquière et Chicoutimi je rajoute).
Cette arbre du temps de ma jeunesse bien planté sur pellicule pour qu’il me serve à raconter mon histoire. Je suis un nouveau propriétaire d’une caméra c’est toute une aventure.
Je pige dans le contact. Je prends la photo numéro un et la deux sur le négatif. La lumière du souvenir s’allume. Aussitôt un souvenir me plonge dans les sortis de soirée avec des amis ,amies où nous allions faire des découvertes sentimentales, pas trop souvent, plutôt boire la bière. Je commençais mon apprentissage avec des consommations autres que le liquide qui donnaient l’effet de se lancer sur une autre planète.
Voir sur cette photo un détaille qui me fait allumer. Que se passe-t-il là. Une auto installée sur le terrain? Je me suis mis à penser comment cela a pu arrivé En réveillant mes souvenirs à reconstruire le file de cette photo je me souviens que ce parc est séparé par une rue qui se trouve le file qui conduit de Rivière du Moulin au limite de Chicoutimi donnant sur la rue Racine. En haut de cette petite côte la cathédrale Royale édifice de la Crétiennetée est plantée comme un monument.
J’ai pris la deuxième photo pour la première.
L’autre parti du Y envoie les intéressés sur le bord du Saguenay vers le club de Yacht de la ville. La Coop. et la gare puis le port sera les autres monuments de cette direction de cette route polyvalente qu’elle forme grâce a sa forme Y.
Comme je me rappel je voie des édifices dans le petit versant de cette rue Racine où on planta des hôtels une en face de l’autre et un peu plus loin les stationnement à étage en beau ciment pas bien loin de la Calèche un restaurant chic de la ville et de la discothèque de Jean Tremblay concurrent avec notre boite discothèque sans alcool le Cellier.
Rivière du Moulin sur le bord du Saguenay
Il y a tant à dire sur cette partie que j’avais oublié la petite sculpture statue. Est-elle toujours là? Mais je sais que dans mon cœur en voyant la photo elle faisait partie de mon environnement. Aujourd’hui je peu la partager par ce geste de me rappeler en regardant de près la photo.
Le phénomène de plaisir que l’on vie quand on est jeune y est rattaché. C’est comme la découvre de l’effet de la boisson. Je peu remarquer le petit sentier qui passe devant la statue dans ce petit parc en face de celui de l’archevêché.
J’observe un adulte (papa) avec son enfant sur se petit chemin sinueux. À droite du boulevard de Rivière du Moulin en face du majestueux Saguenay d’où l’on peut voir les falaises de Chicoutimi Nord. Pour raconter une histoire beaucoup de phrases me seront nécessaire.
Les files de l’hydro passant dans les airs où est suspendu un homme attaché à la batiste
Bien oui un laveur de vitre je suis sur qu’il se mire dans sa fenêtre reluisante de propreté.
Hé! Regard en haut de hôtel Chicoutimi il y a un laveur de vitres qui du haut de son perchoir fait des bonjours aux fenêtres qui sourient. Cet instant pris de la rue Racine en face de la librairie située (dret) devant la tabagie 500 incorporer dans l’édifice aux briques blanches accueillant ces fenêtres de l’hôtel Chicoutimi. Au loin à l’horizon se dresse l’évêché avec son cloché brillant lui aussi dans
le ciel.
Une chanson de Félix Leclerc raconte qu’il y a plein de pots dans la cours. Ceux-ci se trouvent sur le bord de la rue.
Quels savoureux fruits se chauffent au soleil sous l’ombre du kiosque.
Je prend l’occasion de cet période d’écriture pour lui donner un nom à cette première nature morte : Poire sur raisin.
C’est grâce à la présence du kiosque de fruits et légumes du marchand d’en face de chez nous, l’épicerie Pépin. Je viens de me souvenir du nom, Le nom est sur l’enseigne
Ces chaussures déposées sur le garde de la galerie devant le marché au coin de la lumière Bégin et Jacques Cartier, me rappellent que le temps pour réaliser cette photo je la jugeais propice, le trafic du début de la journée, le calme autour, puis la caméra prête à faire entré la lumière dans l’appareil pour la coucher sur la pellicule.
L’étalage exposé sous l’auvent devant chez moi donne une sur exposition des produits
Son attention centrée sur la lumière rouge. Il regard vers l’étalage, de l’épicerie du coin.
Plein de brouhaha à l’entrer du magasin. A droite de la photo en haut le propriétaire
observe Le gros plan le fait ressortir. Le regard des détailles mon fait le voir. Je le connaissais car il nous servait la bière à la caisse.
Le marché devant l’appartement donnait des activités visuels du bonhomme de 21 ans assis sur la galerie à la fut de quelques choses d’anodin pour le futur.
Juste ses pieds, ses bas des jambes ornaient le temps. La reprise des activités avec l’arrivé de la circulation, des clients dans la scène du film du quotidien.
Les détails gravés dans la mémoire de la pellicule nous les montrent Le motard jette un œil.
Un vroum vroum arrive au moment de la photo.
La surprise du motard a la vu du kiosque.
Pépin nous en met plein la vue! ¨Semble t-il dire
Quel style donne à un conducteur de moto des poignées mustang
Le coin de la rue calme s’anime et la vie me montre que c’est simplement ça.
WV qui roule encore de nous jours , une moto de passage
Entre les souliers une femme marche devant l’étalage à légumes et de fruits du marchand. L’émerveillement d’un jeune adulte pour la vie qu’il voit.
La porte ouverte l’épicerie se charge de la livraison.
La moto Triumph vient grogner à la lumière rouge. Un autre adon de prendre des photos sur la galerie
Je vous fais la description de la prise de vue .La vie s’activais autour de l’épicerie. Une jeune femme y passe elle sera toujours dans ce moment le soleil brille sur la bâtisse et l’auto qui remonte vers le Cégep vient de passer.
Dans ces années là le port du casque de moto n’est pas nécessaire.
Les maisons de la rue Bégin se reposent à l’ombre des arbres.
Visualiser ces instants me ramène à l’école secondaire Dominique Racine assis à la fenêtre je regarde dehors. Soudain sur le coin de la rue en face de ma classe une moto conduite par une jeune femme est stalée (arrêter) elle à de la misère. C’est pas mal plus intéressant de la voir faire des efforts à se pratiquer à garder l’équilibre puis à la faire avancer sans l’étouffer puis enfin la voir disparaître avec son bolide.
Chaque fois que je la voyais passer sur la rue avec sa Triumph je me rappelais cette histoire.
Je vois du plaisir à redire ce que dicte aux doigts a mon cerveau.
Les jeunes arrivent du Cégep, dans le calme ils descendent la côte Bégin vers la rue Racine.
La lumière me permet de les prendre dans ce calme. Le temps de souffler puis remarquer au passage de ces enfants, je m’excuse ces adolescents, j’ai presque le même âge.
Rien les atteint il fonce insouciant.
Leur démarche nous incite au calme
Tout pour moi va à merveille. Le vert de la lumière va décoller mon char quand mon pied va obéir au signal de mon cerveau de conducteur le moteur va obéir.
La bute dénudée formant l’ondulation de la terre plongeant dans les eau calme de la vie.
Sans rebondissement l’immense couloir retrouve le calme comme le miroir avec mon image.
Du haut de rivière du Moulin au quartier notre-Dame je clic ce paysage de mon enfance, de l’adolescence puis du début de ma vingtaine.
Le tableau de Chicoutimi Nord cette ville où on disait que c’étaient des tireurs de roches. Au fond de la photo les ondulations gris clair montre les monts Valain. Ce paysage tire le tiroir de souvenirs d’un regard d’enfant perché au sommet de la rue Beauregard en haut du pit de sable de Rivière du Moulin.
En écrivant je me souviens que l’année dernière 2019 j’ai visité ses montagnes en tant que skieur avec ma douce compagne Marie.
Les falaises et les monts du bord de la rivière, Chaîne de montagnes.
Le Saguenay laissant couler l’eau vers la mer se dors au soleil dans ce coin de mon pays.
champs.
Je me déplace dans ma promenade de souvenirs de mes jeunes années d’adulte. Surtout de celui qui quitte ce chapitre de cette vie pour très longtemps.
Cette endroit avec cet arbre commençant sa maturité me remémore ma frêle connaissance de la vie dans cette période. Il faut que je l’écrive une chance que je me pensais plus fort et vraiment nageant dans un savoir à afin de comprendre ce que cela veux dire : La Vie.
La petite ville du bord du Saguenay en bas de mon quartier.
Les tableaux des paysages
Je me rappel il m’a fallu bien du temps pour aller explorer cette place.
la cabane dans le coin d’une clairière
Le pointu du clocher, le calme des arbres allant au vent
Le bord du Saguenay dans la ville de Rivière du Moulin
Un bassin, une foret,. un cloche, des montagnes
L’arbre dans sa solitude est fier
Vu de Notre Dame du Saguenay de la rue Beauregard ou la rue du pite de sable qui donne Rivière du Moulin.
Une montagne de prétentions si je me rappel bien. Un standing que ma mère nous a fait vivre par le déménagement dans ce quartier (de personnes riches).
Je me dois de commencer mon récit par l’aveux que je suis un jeune homme dans ce temps là et rien ne me dirige vers ce qui se passe aujourd’hui en 2020. Comme écrire sur ce temps où mon insouciance me rend le vie plus facile.
Un nouveau jouet et plein de sujets pour exercer mon aventure. Ayant laisse le Cégep ou sur le point de le faire ma vie tourne vers la vente en détail de produit qui me permet de gagné plus que l’école (bourse).
Je revoie mes frères encore réunis près de mon quotidien. Je ne connais rien de la photo et mon but est de montré que j’ai une chose que pas grand monde possède. En plus elle est à mon frère Serge. Une caméra
Aujourd’hui je me trouve devant un contact qui ne possède rien de plus pour son emprunte que d’un contact de 36 photos. J’ai cherché les négatifs dans tout les Hilton de la terre , Farce, comme la chanson de Plamondon à popé dans ma tête cette phrase je l’ai écrite. Je reviens. J’ai cherché les négatifs dans tout les boites de ses merveilleux dessins négatifs qui me reste de ce rêve ou de cette réalité?
J’aime m’égarer dans les mots qui veulent rendre positif mon récit. Comme cette planche numéro 5 où l’on peut voir cette journée grâce à la technique qui me permet de numériser chaque image.
Je dois inclure ma déception d’accepter que je ne trouve rien et en plus : Je constate que le papier ou j’ai imprimé les négatifs pour donner ce contact est un papier de grade copieuse avec gros point donc ça me laisse des photos à gros grain à utiliser.
Je peux dire que tous ce qui m’entoure est sujet à cliquer pour aider ma mémoire à se rappeler.
Je trouve intéressant tout ce que je vie.
L’histoire de ces photos à commencer le matin avec l’arrivé de mon frère Jean, de Ben. Assis sur la galerie les pieds pendant mais soutenu par le garde de la galerie je regard ce qui se passe et soudain ma position de relaxation inspire le clic.
Une auto se gare devant mon poste d’observation et deux photos se collent sur l’argentique.
Le temps passe et les gens aussi font de même et sans l’attendre un enfant faisant sa marche quotidienne fait réagir le preneur de photos en moi et la mise au point se fait juste au moment que sa curiosité lui donne le goût de se tourner devant la caméra et c’est fait je peux vous le montrer.
Le temps passe et les gens aussi font de même et sans l’attendre un enfant faisant sa marche quotidienne fait réagir le preneur de photos en moi et la mise au point se fait juste au moment que sa curiosité lui donne le goût de se tourner devant la caméra et c’est fait je peux vous le montrer.
Maison de trois étages trône sur la rue Jacques Cartier majestueusement. Des passants passent la tête haute et d’autres curieux me lancent un sourire. r
La maison avec sa devanture de maison je jeu de monopoly.
Les gens qui vont a l’épicerie Pépin, ceux qui attendent leur retour.
Je me poste pas bien loin d’appartement qui se situ au coin de Bégin et Jacques Cartier.
Je ne connais pas grand monde vu que je ne fréquente plus cette maison de la conaissnce. Je suis à la taverne comme j’aime dire mon bureau de vente.
Le propriétaire me rappel que c’est son domaine et que je dois me loger dans un autre coin pour faire mes ventes.
La vu de ces jeunes plein d’espoir dans leur vie me donne de quoi de pensé et de rêver a ce qui peut m’arriver dans la vie.
Je me laisse couler dans le temps sans trop savoir ce que me réserve la vie.
Toi qui passe que va-t-il t’arrivé après le temps passer dans ce Cégep ? Vu que je ne me posais pas et plutôt plus ces interrogations. Bien oui je me rappel de toi Errol tu te trouvais dans ma classe en administration tu cherchais ta place et je ne t’imaginais pas un traîneur de rue.
Tout me passais par une oreille et sortais par l’autre. Je me trouvais bien dans mon choix de vivre tout simplement.
Salut toi tu arrives d’où comme ça? Tu es contre courant la belle? Je suis passé faire une commande pour mes repas. Je vais au Cégep et je demeure en appartement pas bien loi..
Je me trouvais dans un environnement où plusieurs jeunes créaient de la musique et des images qui ressemblaient à des
dessins animés.
Contact 398 pratique au conventum020
J’ai rencontré Jean-Pierre Tremblay qui venait de mettre une de ses jeune photos de jeunesse sur le net et je lui rappelais que je numérisais au même moment quelques unes des ses photos prises au court des années 1975. Je me souviens que je pleurais ne pouvant exprimer ma chanson.
Devant le regard des gens de sur la galerie le solitaire près du bâtiment se pose la question lequel des escaliers
Un son raisonne de la gang qui l’observe : viens nous voir. Une réponse se fait entendre; savez-vous ou reste Mr..
Il vient de partir.
Merci
Je me retrouvais comme ce personnage tout seul dans la rue en se demandant que se passe t-il. Où suis-je coincé dans un impasse : Tous les idées dans ma tête font un tour et je me crie !
Je reviens à l’écriture.
Steve qui est avec moi depuis notre départ de chez notre mère Maman Germaine. Sur cette photo je ne le sens probablement pas à sa place. Il avait la facilité de s’évader dans ses pensées. Oui dans la fabrication de dessins de plan du château dont lui seul avait le nom.
Jean qui explique à Ben Fortin je ne sais quoi. Steve de son coté observe je ne sais quoi, Je me donne une réponse. L’imagination de chacun peut inventer son histoire comme je fais.
La caméra croc le moment qui arrive je le voie et je peu et doit raconter sur papier où électroniquement un chapitre de ce grand livre la vie humaine.
J’aime le cinéma je suis sur un autre projet mon premier film Saison cinquième ma propulsé dans cette passion.
Je vais encore plus loin je déménage à Montréal pour le cinéma.
Je te reconnais bien mon Johnny la passion c’est toi. TE rappel tu au Cellier la boite à chanson dont tu était le concepteur et le directeur. Quelle belle expérience que tu nous as-tu faire vivre avec tes invités. Les salles toujours pleines des beaux succès.
Je pense que tu vas être à la bonne place pour te faire un chemin dans ce milieu là. Ton talent je le voie se développer de plus en plus. Ta ténacité, ta passion et ton sens innovateur et fonceur en plus. Une bonne affaire pour toi Jean.
Je déclare succès assurer
Comme par magie un cliché d’une personne entrant dans un auto, en face de mon poste, pour le voyage. Bien c’est pas Jean mais un habitant du coin qui se dépêche à sortir de l’auto pour a pas bloquer le trafique car la lumière vient de changer de couleur.
Le coin est très achalandé en ce matin. La chaleur a déjà pris sa place dans la journée. La galerie se trouve toujours mon observatoire. Le gros char passant avec son conducteur la vitre baisser. Il semble tendre l’oreille aux bruits.
Le camion vient de franchir le coin sur une lumière jaune foncé.
Il y a la WVW stationné en face de chez Pépin sur la rue Bégin les portes ouvertes.
Les fruits et légumes ornent le mur du magasin sous un auvent. L’enseigne bien en vu sur la devanture de la bâtisse.
Cette période était l’abondance dans mon domaine de la vente au détail.
Ma paie redonnait confiance en la vie. Je peux me dévoiler en disant que le contact avec les gens m’était rendu facile car mon nouveau défi se trouvait être accessible régulièrement aux gens ayant besoin de s’évader tout en restant tranquille sur une chaise.
Mes études ne pouvaient pas me rapporter autant. Je me trouvais prospère et protégé de pouvoir là pour aider les amis et les connaissances.
Je me prélasse sur la galerie et plein d’objets attirent mon attention.
Les pieds non pendant au bout du quai mais sur le garde de la galerie je fouine avec mon troisième œil la vie qui m’entoure.
Cette journée à pu enregistrer un bon nombre de moments quotidien disparus dans le temps.
Chaque moment se vie et on l’oubli sans difficulté car plein d’autres sautent sur le vide pour le remplir.
Une histoire ce sont ces moments que le temps à bien voulu laisser à la mémoire.
Ces deux moments gravés au coin de la rue me rappel que après le calme arri8ve l’abondance d’activité autour de ce magasin. Les livreurs de liqueurs les clients, le propriétaire qui observe le déroulement de ce qui se produit dans et près de son magasin.
Les convertibles existent encore et parade sur les rues de mon pays.
Les gens stationnaient pour aller à l’épicerie de Mr Pépin.
Je dois me lasser des gens car je me permet quelques paysages, Ces deux là font l’ornement, de cette partie, de ce saignement de la journée à dessiner avec la lentille ces moments a qui je redonne vie.
La côte se descend pas à pas…
Dans cet appartement depuis que Serge y demeure de nouveaux amis viennent sur la galerie.
Des journées le petit d’espace se gonfle comme une balloun soufflé pour son envole.
Cette maison à disparue du décor de ce coin de Chicoutimi
Ces souvenirs se racontent grâce à ces photos.
Plein de mots se glissent dans ce texte. Chaque explication est le fruit de mon imagination. Il veut dire et souvent tout se mêle.
Une chose est certaine pour moi en ce moment le temps arrange les aventures de ce texte
Je me dirige vers une autre partie de l’histoire presque inachevable.
Allons de l’avant dans un nouveau tournant de la vie avec le contact 6
Je passe au moment de souvenir sentimental. Le bonheur de découvrir une amoureuse. Cette série de photos me permet de vous parler de cette personne cher à mes vingt ans. Michelle une fille rencontré dans uns discothèque dans une hôtel de Chicoutimi sur la rue Bossé. Je dansais et cuvais mon vin. Son énergie m’a charmé. Elle avait un chum une connaissance mais tout s’est fait comme par magie (amour). Comme je voyageais dans les vapeurs de l’alcool et des substances du temps. Un clic, non photographique, s’est fait entre nous. Nous sommes entré à l’appartement ensemble. Cela à durer le temps que dure une jeune relation de débutant dans la vie affective.
Depuis un certain temps seul dans la ville immense je suis seul. Je reçois mon ancienne amoureuse de Chicoutimi Michelle Simard venu dans la ville pour me voir et aussi des amies. Ou amis je n’en sais pas plus.
Je la bénis qu’un jour il y eu cette rencontre. Voici la glissade au parc Lafontaine lors de sa visite.
Près de l’école protéger par la clôture le parc donne sa glissade.
Projeter dans ses rêves elle attend le moment.
J’espère de partir comme les oiseaux…Ce dit elle.
Elle va s’envoler. Sa course ne la laisse pas partir. Elle veut. Rien ne marche l’attraction de la terre la tient dans la glissade.
L’espoir renaît et voici Micelle de plus en plus léger dans ses pensés,
Un pied semble être parti les bras le manteau ses cheveux sont espoir ne lâche pas.
Quelle belle essaie.
Remettant ses mitaine elle me dit dans son excitation c’est la première fois que je suis si prêt du départ.
Son explication me semble réaliste. Comme elle le dit bien mon cœur voulait rester dans ces moments de désirs. La respiration de l’air froid de l’hiver 1972 là garder sur terre.
Le tour du carré héberge une foule de personne.
Plein d’enfant joue dans la neige. Je remarque dans le carré Saint Louis plein cette enfant d’espoir marche, tirant son traîneau vers ?.
Ses pas ne se pressent pas ils vont trouvé le but.
La neige couvre la terre de ce terrain de verdure. Les maisons de la rue qui borne le carré st «Louis se tiennent présentes encore debout aujourd’hui.
Elle semble me dire tu aimerai ça avoir mon traîneau.
Ça me rappel mon jeune temps. L’enfant à grandi où la corde à rapetisser. Il n’y a pas tellement de temps de ça. Je ne rêvais même pas à me ramasser à Montréal et à fouiner au carré. St Louis et y prendre cette scène d’hiver que je redécouvre en 2020 mars.
Je me rends en bas de mes escaliers du deuxième étage sur Henri Julien où j’habit depuis mon aménagement dans Montréal. Ce que voie par la fenêtre de la porte d’entré c’est, cette image, déjà sans tarder mon œil clic je cherche puis je trouve la caméra traînant comme un collier dans mon cou puis voilà.
Le char silencieux derrière ce silence d’enfant se posant des questions sur les nouvelles aventures de la vie me sourie de son air d’interrogation.
Sur ces mots mon présent me demande de passer au déjeuner. La vie commence dans la maison les chiens sont réveillés et leur maîtresse se lève. Moi je reprends mon jeu de la vie. Me préparer pour recevoir cette belle dame.
La journée s’est déroulée comme chaque jour. Une chose nouvelle se passe pour plein de monde qui vivent cette journée avec une certaine surprise. Dans cette fenêtre l’enfant surpris attend.
Ce silence interrogateur me transporte à aujourd’hui. 2020 ont parle d’un danger de contamination de masse par un virus dont je taie le nom. Mes croyances sont mes raisons. Il était loin de chez nous. Maintenant il s’installe dans le pays sans invitation. Alors les gens informé par les médias se précipitent dans les marchés et le tralala d’un début de panique collectif.
Je ne pensais jamais être dans une telle situation. Je me sens comme l’enfant. Toutes les questions, les informations qui résonnent dans les médias. Mon éducation sur les dangers créer, par la vie, dans la vie.
Je prie pour que tout se place. Je suis impuissant devant cette situation je vais faire de mon mieux. Mon mieux c’est d’aider par le respect des mesures qui nous sont demandées (imposées).
Je l’entend me dire : ‘laisse la vie se transformé pour le mieux. Tu te rappel le moment de la prise de cette photo comment tu te sentais? En ce moment ce que tu vie est important. Merci de nous le décrire. C’est une vision de ce qui se passe dans ta vie pendant l’écriture de cette histoire. Continu de nous faire voir ce qui se passe. Écrit !’ Je l’écoute. En silence les mots se glissent sur la page.
Ma promenade se continue. Je sors du Carré St Louis le chemin qui me dirige vers la rue St Denis. Les grands se baladent vers leur destination de grand. Les bâtisses de la St Denis se laissent dorer par le soleil qui monte dans le ciel pardessus les maisons. La neige comme aujourd’hui règne dans l’environnement. La rue dégagée de neige ressemble à une ligne noire tranchante. L’enfant décrit avec son traîneau me donne ce nouveau décor presque par magie. Une femme habillée avec un manteau de vison une jupe carotté, sac en bandoulière, les mains dans les poches de son manteau. Elle marche.
Elle circule doucement j’entend encore ses pas dans la neige durcie de cette journée.
Le x sur cette arbre du coin de la rue le voue à une transformation radicale : devenir des bûches. Cette réalité ne dérange aucunement la vie des gens qui passent près de cet observateur silencieux, depuis quelques générations, sans le voir.
On la nomme la st Denis. Ma connaissance me porte à parler d’elle comme étant l’artère du peuple qui y vive autour et en long. Ces habitants l’on orné de balcons et d’escaliers et de portes…
Le piéton semble immobile mais le moteur de cette voiture me parle de la vitesse qui permet à celle ci de rouler sur cette ligne noire dégagée par les grattes de la ville. Les pneus déplacent en silence ce gros tas de ferraille que les hommes ont peuplé sur ses lignes des systèmes routiers. Même dans ce temps là cette réalité germait. .
Main dans les poches cette homme se protège du temps frisquet il semble bien au chaud
Je vais me rendre au métro Sherbrooke semble dire les piétons. Bien oui je me rappel il se trouve de l’autre côté de la rue dans la bâtis abritant l’école Hotellière de la ville.
Quand je marche et que je regard partout plein de vie bourgeonne c’est la vie de la ville. Le silence des escaliers et des trottoirs raisonne au passage des gens se dirigeant vers leur but. Plein d’histoires s’accumulent dans ces objets inanimés.
Je passe et ces gens déjà disparues me parlent de leur présence dans ma vie il y a des années et encore aujourd’hui. Merci la photo.
Les enfants comme les autos sont stationnés. Leurs jeux les font paraître en attente.
On y va faire un tour dans la rue ce matin? Les chars sont sur le bord de la rue en stationnement pour un bout.
Je suis bien sur mon bicycle
Je regard Claude il a bien du plaisir avec la neige. Tu sais il n’a pas de mustang lui.
Je sais les gars mais il à une gang qui eux aussi n’en on pas. Alors je joue avec eux. C’est pas mal plus intéressant ils sont plus grand et on joue autrement.
Les portes s’habillent tous différemment. Pas une ne porte le même décor. Les idées diffèrent d’une porte à l’autre.
Je suis pas mal petit encore je dépasse à peine le devant du char. On sait ça le petit mais tu es pas mal débrouillard dans nos activités de la vie.
Une grosse bosse qui ne se trouvais pas là hier. Tu vois il a encore ses pneus d’été.
Lâche ta mustang et vient jouer avec nous! Allez chum.
Je vais te pousse sur la trottoir on va se dégeler.
Non pas par là tu cours où avec cet entrain là? Je cherche à me réchauffer.
Un jour il va avoir d’autre genre de véhicule avec des ailes et des ballons pour le propulse dans l’avenir.
Pourquoi me joindre a vous la gang moi se suis bien avec mes amis.
Dans la rue autour des autos l’hiver se joue.
Un ami de perdu dix de retrouver.
Je le répète j’ai du plaisir avec mes amis.
J’aime la rue je grandi au contact d’elle
Dans la foulée de la découverte me voici sur Cherrier me dirigeant vers la rue St Denis. Une neige déjà pilotée par les passants. Certaine marches s’orne de cette belle neige que le sol près des maisons tient le blanc pur de traces.
Une gang se dessine pas loin de l’entré du Métro
Je les sens voilant se mettre à l’abris. Comme une bonne jeune Femme de la ville manteau ouvert et cigarette elle marche elle d’un pas énergique vers sa destination.
Chaque marche que j’observe à le style de la personne qui à pris place sur la pellicule de cette journée.
L’arbre semble grandiose dans le contexte. près de celui-ci la femme dégage une allure de pas presser.
Une réalité du froid ne semble pas la déranger.
Madame d’un certain age elle de son côté ressemble plus à l’hivers et discrètement longe le haut du trottoir.
Les pierres des maisons dessinent le décor de la rue. Les escaliers enneigés signent de joies hivernales. Les balcons garnis de poutres souteneurs des structures agrémentent la beauté des bâtiments.
Elle marche sans voir le bonheur qui l’observe lui demandant en silence pour faire un bout de chemin avec cette belle marcheuse rempli de savoir et d’espoir. La photo me montre tout ça.. Je la voie remonter sa fermeture éclaire en marchant. Il fait peut être froid pour faire sa fraîche de la ville. Chez nous en région je pense que l’on est emmitouflé dans nos manteaux et la tuque. Je me sens plus frileux qu’eux le gens de la grande ville.
Les poteaux endroit pour coller des paroles des rassemblements des avis de recherche j’ai perdu mon …
Les arbres arborent la dignité. L’espace est spacieuse.
J’ai un petit frisson. Un manteau long peut être exagéré mais plus confortable pour vivre heureuse en hiver.
Je suis nouvelle dans cette ville pour quelques heures. Je retourne d’où je viens car ma venu ne durera que le temps d’un court séjours chez des amis et une courte visite chez toi
Errol.
J’ai manqué de glisser sur le trottoir.
Je me nomme Michelle et je vis dans la liberté total.
De plus en plus de monde dans la rue ou plutôt sur la rue. Des enfants des jeunes adultes des travailleuses marchant entre les autos immobiles, les maisons stables depuis des années et même des décennies.
La neige est encore fraîche pas trop taper par le va et vient des gens sur cette pellicule blanche. La vu d’ensemble révèle plein de charmes
Le poteaux et son lampadaire veille sur la rue qu’elle à éclairer durant l’obscurité de l’absence de la lumière du soleil parti de l’autre côté y mettre le jour. Les branches chargées de neige rayonnent au grand jour.
Dans cette rue la VW pas mal défraîchi ma conduite un jour dans les rues de Beloeil et
St –Jean Baptiste de Rouville.
Plein d’autos profitent des derniers moments de tranquillité de la nuit avant que les conducteurs en prennent leurs contrôle et les garrochent sur la piste noir sillonnant la ville.
L’émerveillement de l’enfant piétinant la neige dans un escalier lui procurant un jeu qui attire la curiosité de ses amis.
Mains dans les poches, la femme marche dignement lunette de soleil dans les yeux. Elle suit sa destinée. Les arbres font leurs commentaires à son passage. Ces réactions se produiront à chaque passant qui entreront dans la bulle de cet observateur silencieux.
Quelle vision ? je m’en doute avec ce montage .
il se tourne et voie en quadruple la femme au long manteau.
Dignement le statu quo figé sur les images donne des arbres se tordant dans le vent de l’imaginaire et chemise sous le bras elle pose, pour la photo. Je m’en sers, aujourd’hui le 18 mars 2020.
Une flèche passe devant l’objectif trop lent pour prendre clairement cette jeune fille vivant.
Je me demande ce qui va se passer avec la journée. L’école se trouve encore loin et il s’amuse encore dans la neige.
Pas bien presser . Allez on accélère avant que la cloche ne résonne.
Moi je me dépêche je n’aime pas être en retard.
La neige arrive quand c’est le temps et en plus personne ne peut l’empêcher de tomber. Je marche vers l’école en bas de la côte près du parc Lafontaine.
Les maisons retiennent leur élan. On les surchauffe par en dedans. La tôle des autos se teint au frette. Ils restent figer sur leurs pneus noirs.
La monté du parc vers le métro nous montre l’hôpital Notre-Dame.
Pour ma part je me rappel que je me dirige vers le parc. Voici une autre belle couverture de quelques moments dans ce coin réservé à la nature et la méditation.
Vive la neige j’aime ça il fait pas si froid. Je ne pense pas que les fleurs vont s’épanouir dans cette saison.
Pas si vite lance Patricia. Je veux arriver la première en haut de la cote!
Tient un autre groupe les poursuit.
Entre les arbres sous la neige des enfants prennent le territoire pour s’adonner à des jeux d’enfants dans un espace bien naturel.
Allez la gang des rires, des cris retentis dans le silence du parc entourer du bruit de la ville qui semble calme.
La poubelle orne le silence près de l’arbre qui grandi encore il atteint un diamètre assez impressionnant.
Il y a de la vie avec les enfants qui marchent, courent à travers les arbres non loin de l’étendu d’eau mi-geler.
Les arbres font une couronne de protection pour ce petit étang que les enfants contournent pour se diriger vers la glissage
Vient m’aider maman je ne peux me relevé
Je suppose une maman observatrice de cette gang qui se faufile longeant la structure d’eau
Oui je vais essayer!
Le plus petit se demande comment je vais faire pour me rendre là. Les plus grands on déjà commencé l’ascension du monticule qui servira de glissade.
L’espace devient immense dans une tête d’enfant.
Ce qui se passe je trouve ça impressionnant : Un troue dans la neige des arbres plantés dans le terrain. Les grands se préparent à glisser.
Durant cet apprentissage de ce bébé eux les grands traînent le traîneau en position prêt à descendre. Les arbres droits dans les air surveillent les enfants qui par leurs rires, les dérangent dans ce silence de leur vie d’arbres. Les maisons se cachent entre les branches. Eux aussi assistent au bonheur des gens se créant des jeux. Ils forment un écran autour de ce parc protégeant les rires, les cris, les bravos.
Le traîneau se sens tout heureux de pouvoir rendre ce jeu de la glissade plaisant à ces enfants. Leurs efforts reçoivent une appréciation d’avoir pris le temps afin de se rendre sur la cote du parc. Cette belle journée de neige rendit le jeu possible.
Je prends le temps de profité du calme de la mare silencieuse de l’hiver. Rien ne bouge sous la glace, rien ne saute des troues, c’est calme
C’est drôle de regarder comme ça le paysage plein de neige.
‘Lève toi tu peux prendre froid.’ ‘Ah non je suis bien comme ça’.
Encore dans l’espace de méditation Il semble sorti de l’étang.
Je délire de les voir avoir tellement de plaisir dans ce froid. Ils désirent montrer leur joie.
Attendez moi j’arrive
Regard comme je vais vite je me dirige vers toi mon ami.
Je vole presque comme un oiseau lance cette petite poupée apprenant à se débrouiller dans la neige au début de sa vie. On lui lance des bravos.
Les éclats de fun dégager par ces enfants prenant le parc pour leur piste de jeu me rendent fière de les voir se faire du plaisir et le transformer en grand fun. Ce mot raisonne encore plus plus plaisant.
Ah on ta bien eu tu sais bien que l’on va t’attendre. Tu fais parti de la gang.
Je suis prêt à descendre. Son chum le supplie de l’attendre. Il se dépêche depuis le bas de la cote pour arriver lui aussi au sommet.
Il y a place pour nous autres dans ta caméra? Bien certain et je clic sur les sujets.
Regardez comme elle est drôle ses bras comme un pingouin courant sur la banquise au milieu de fleuve st-Laurent.
Le parc semble attendant ses aventuriers de la neige en cette après midi. Le soleil haut dans le ciel permettra à d’autres de se joindre aux plaisirs de l’hiver dans ce magnifique parc Lafontaine.
Je comprends rien à la vie mais le bonheur crie dans son sourire.
On a toujours du plaisir quand on s’amuse ensemble. Elle me fait rire avec ses dents à la merci de la carie.
Des ronds redonnent la vie à l’étang. On attend le saut d’une espèce de bête vivant dans cette eau. Va-t-elle resurgir à la surface ou garde t-elle le suspense.
La tranquillité de cet emplacement aménagé par l’homme pour son repos dans une ville sans repos fait se diriger des hommes et des femmes dans ce monastère à ciel ouvert. Des signes se dessinent sur la glace dans ce bassin incruster dans le décor comme piscine dans la cours derrière ce chez nous ou de chez une connaissance.
Des ronds dans l’eau de Françoise Hardy me rappel cette instant que je regarde. Les reflets dans ses cercles de cette eau gelés nous fait miroiter le ciel par petit morceau, des bouts de tronc d’arbres pas saignement.
Les ronds ovales, ceux de toutes inspirations restent malgré cette froidure résistant à la surface gelée.
Ces formes représentent des tableaux uniques, précieux que tous ses amateurs de la nature dans le parc peuvent admirer lors de leur passage dans cet environnement.
Je me trouve très chanceux d’avoir remarquer ces images. Les savoir soigneusement gardés, dans ce germoir qu’est le temps, pour en apprécier la beauté aujourd’hui.
Le chat dans la mare
Les maisons silencieuses admirent les arbres solides mis en terre par le temps il y a belle lurette.
Des horizons qui retracent cette instant de la présence des marcheurs dans ce parc Lafontaine me montre la limitation d’un caméra dans sa création de capter la vision du photographe.
L’agrandissement des marcheurs, grandeurs surréalistes, me permet de divulguer par cette manipulation la taille réelle des gens dans la vie. Nous sommes tout petit dans cette immensité. La nature vit, elle me donne un vivant message.
Le chemin se trouve souvent silencieux. Plein de gens recherche le silence. Curieux la vie donne ces précieux moments sans rien demander en retour. Elle sais sentir le respire des gens qui y promènent leurs corps. Maman avec bébé se baladent
Les arbres chantent leur chanson soufflée par le vent. Les chants d’oiseaux se joignent à la chanson du temps berçant les baladeux dans leur présent .
Derrière l’arbre l’objectif à capté un autre compagnon du silence. Si je regarde bien ce compagnon devient compagne traînant sa maison.
L’espoir vit. Enfant, mère, femme seule cherchant un repos sans carrière juste pour vivre intensément la recherche intérieure. Cette recherche semble échec, pour nous, mais répond très bien à la démarche vers son bonheur.
La femme marche protégé par les arbres Dans le coin du parc ce couple de jeune amoureux se tenant par la main pour exprimer leur tendresse.
Fruit de l’arbre en suspend.
entre deux
Redécouvrir cette journée passée à graver ces aventures du quotidien de ce monde de tous les jours dans ce quartier me donne un plaisir de vivre l’hiver avec joie.
L’écriture me donne des élans comme : (Dans ma tête j’avais le goût d’écrire cette description dans une envolée de lettre : C’est fait donc c’est de la réussit).
me rappel celui qui rafraîchir mes mains qui se laissent aller sur le clavier de l’ordinateur
Voir ces tableaux de la nature couronner de ses gens qui sont en action. Tous ces immobile qui forment les décors aux moments que le clic gel cette vie.
Cette enfant qui vit son premier temps de froid en compagnie de sa mère bien emmitouflée respirant dans ce parc l’oxygène bienfaisant pour sa santé.
Ces autres qui près de l’étang rempli de troue d’eau qui à oublier de se faire glace. Leurs rire avec dents en moins qui nous dévoilent leur âge. Ses jeunes qui sont enflammés par leur course, leurs glissades leurs chamailleries. Tout cela dans un noir et blanc pris dans cet hiver qui ne sera plus que souvenir.
Ces enfants se promenant les mains nues nous sourissent de leur beaux airs de joies comme on dit si bien d’un air d’enfant.
Ces ouvertures dans la glace nous donne l’espoir de voir resurgir on ne sais quoi du font de cette étang observé par tant de personnes dans cette ville qui fréquentent ce parc Lafontaine. Rire donne un souffle de gratitude. Donc je sourie et mon bonheur rayonne.
L’édifice du coin Berri et Sherbrooke derrière les rois du ciel les arbres.